DE LA PEUR A LA JOIE – DOCUMENTAIRE

 

 

En ces temps de grands changements, il est urgent de reconsidérer notre rapport au monde. Huit penseurs, chercheurs, auteurs, conférenciers nous livrent un autre regard sur la réalité. Une rencontre inédite, une transmission essentielle, des clefs pour s’affranchir des croyances limitatives, redéfinir nos priorités et ré-enchanter nos vies. Êtes-vous prêts à lever le voile?

Avec la participation de Jacques Antonin, Christian Tal Schaller, Johanne Razanamahay, Michel Odent, Jacques Collin, Laura Uplinger, Christine Louveau et Pierre-Yves Albrecht.

Entièrement financé par des dons et soutenu par une équipe bénévole,
“De la Peur à la Joie” est un film indépendant diffusé gratuitement.

 

 

 

Trouvé sur Youtube  via AMSHA

  Etincelle

 

LA SCIENCE CONFIRME QUE LES GENS ABSORBENT L’ENERGIE D’AUTRES PERSONNES…

 

C’est nouveau ça ? Qui ne s’est pas senti mal à l’aise, selon le contexte et l’entourage ? Tout est énergie et on est sensible à ce que propagent certains groupes, personne ou lieu, selon le degré de résistance de chacun. Personne ne peut se dire insensible, nous sommes des éponges et absorbons les bonnes ou mauvaises énergies. Il ne nous reste plus qu’à s’entourer d’un bouclier « mental » serein et, de propager les bonnes énergies. On en a bien besoin en ce moment non?. (Voltigeur)

 

 

Une équipe de recherche biologique à l’université de Bielefeld a fait une découverte révolutionnaire montrant que les plantes peuvent tirer une autre source d’énergie venant d’autres plantes. Cette constatation pourrait également avoir un impact majeur sur l’avenir de la bioénergie en fournissant éventuellement des preuves montrant que les gens absorbent l’énergie des autres de la même façon.

Les membres de l’équipe de recherche biologique du Professeur Dr. Olaf Kruse ont confirmé pour la première fois qu’une plante, l’algue verte Chlamydomonas reinhardtii, se sert de la photosynthèse, mais possède également une autre source d’énergie : elle peut l’extraire d’autres plantes. Les résultats de la recherche ont été publiés cette semaine dans le journal en ligne Nature Communications publié par le célèbre journal Nature.

Les fleurs ont besoin d’eau et de lumière pour se développer et les gens ne sont pas différents. Nos corps physiques sont comme des éponges, absorbant l’environnement. « C’est exactement pourquoi il y a certaines personnes qui se sentent mal à l’aise dans des contextes de groupe spécifiques où il y a un mélange d’énergie et d’émotions », a déclaré la psychologue et la guérisseuse d’énergie Dr. Olivia Bader-Lee.

Les plantes s’engagent dans la photosynthèse du dioxyde de carbone, de l’eau et de la lumière. Dans une série d’expériences, le professeur Dr. Olaf Kruse et son équipe cultivaient les petites espèces d’algues vertes Chlamydomonas reinhardtii et observaient qu’en cas de pénurie d’énergie, ces plantes unicellulaires peuvent tirer l’énergie de la cellulose végétale voisine à la place. L’algue sécrète des enzymes (les enzymes dites cellulosiques) qui « digèrent » la cellulose, la décomposant en de plus petits composants de sucre. Ceux-ci sont ensuite transportés dans les cellules et transformés en une source d’énergie : l’algue peut continuer à croître. «C’est la première fois qu’un tel comportement a été confirmé dans un organisme végétal», dit le professeur Kruse. «Le fait que les algues peuvent digérer la cellulose contredit tous les manuels scolaires précédents. Dans une certaine mesure, ce que nous voyons, c’est les plantes qui mangent des plantes. » À l’heure actuelle, les scientifiques étudient si ce mécanisme peut également être trouvé dans d’autres types d’algues. Les résultats préliminaires indiquent que c’est le cas.

« Lorsque les études sur l’énergie deviendront plus avancées dans les années à venir, nous allons éventuellement voir cela aussi chez les êtres humains », a déclaré Bader-Lee. « L’organisme humain ressemble beaucoup à une plante, il élimine l’énergie requise pour alimenter les états émotionnels et cela peut essentiellement alimenter les cellules ou provoquer des augmentations du cortisol et cataboliser les cellules selon le déclencheur émotionnel. »

Bader-Lee suggère que le domaine de la bioénergie est en constante évolution et que les études sur le monde des plantes et des animaux se traduiront bientôt et démontreront ce que les métaphysiciens de l’énergie ont connu tout au long de l’humanité : que les humains peuvent se guérir simplement par le transfert d’énergie tout comme les plantes. «L’humain peut absorber et guérir par d’autres humains, des animaux et n’importe quelle partie de la nature. C’est pourquoi le fait d’être autour de la nature est souvent inspirant et énergisant pour tant de gens », a-t-elle conclu.

Voici cinq outils énergétiques à utiliser pour nettoyer votre espace et éviter les drains énergétiques tout en libérant l’énergie des personnes :

Restez centré et relié à la terre. Si vous êtes centré dans votre soi spirituel (au lieu de votre ego), vous sentirez tout de suite lorsque quelque chose s’est déplacé dans votre espace. Si vous êtes complètement relié à la terre, vous pouvez facilement libérer l’énergie et les émotions d’autres personnes avec votre intention.

Soyez dans un état de non-résistance. Si vous vous sentez mal à l’aise autour d’une personne ou d’un groupe, n’hésitez pas à vous protéger, car cela ne fera que garder l’énergie étrangère dans votre espace. Déplacez-vous dans un état de non-résistance en imaginant que votre corps est transparent et translucide comme un verre transparent ou de l’eau. De cette façon, cela passera à travers vous.

Possédez votre espace d’aura personnel. Nous avons chacun une aura énergétique qui entoure notre corps. Si nous ne possédons pas cet espace personnel, nous sommes vulnérables à l’entrée d’une énergie étrangère. Prenez conscience de vos limites d’aura (à peu près à une longueur de bras tout autour de votre corps) comme moyen de posséder votre espace personnel.

Offrez-vous un nettoyage de l’énergie. La couleur or a une forte vibration qui est utile pour éliminer l’énergie étrangère. Imaginez un pommeau de douche en or au sommet de votre aura (quelques mètres au-dessus de votre tête) et allumez-le, permettant à l’énergie claire de circuler à travers votre aura et votre corps et relâchez votre mise à la terre. Vous vous sentirez immédiatement nettoyé et rafraîchi.

Rappelez votre énergie. Lorsque nous avons notre énergie dans notre propre espace, il y a moins de place pour que l’énergie d’autre entre. Mais comme nous nous concentrons sur d’autres personnes et des projets, nous diffusons parfois notre énergie. Créez une image d’un soleil or clair à plusieurs mètres au-dessus de votre tête et laissez-le être un aimant, attirant votre énergie (et la purifiant dans l’énergie aurifère). Ensuite, faites-la descendre dans le haut de votre aura et dans votre espace corporel, relançant votre énergie dans votre espace personnel.

Source : TruthTheory relayé par Anguille-sous-roche

 

Trouvé sur les moutons enragés

 Etincelle

 

SPIRITUALITE : UN CHEMIN SIMPLE

« La Spiritualité : Un Chemin Simple »

Auteur de « Prends Conscience et Avance… » et « Un Même Souffle », Conrad a toujours été en harmonie et en contact avec la nature. Dès son plus jeune âge, il ressentait beaucoup de respect et d’Amour pour la Terre. En observant la Nature, les animaux, les saisons, il sut que ce Tout étai(en)t des « cadeaux » et qu’ils pouvaient révéler beaucoup de choses à l’être humain, transmettre des leçons, des enseignements essentiels, des messages, une compréhension sur la vie, sur l’existence, offrir une grande sérénité et une connexion à son « SOI » intérieur et à la « SOURCE ».

Pour lui, il est évident, nécessaire et primordial de préserver cet ensemble, ce « Grand Tout ». Cela ne peut se faire que dans l’Unité et ensemble, car nous sommes tous responsables, co-acteurs et co-créateurs du monde de demain.

Site officiel : https://sites.google.com/site/conrada…

Trouvé sur Nurea TV

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DU VOYAGE ASTRAL À MON EXPÉRIENCE DE MORT IMMINENTE » AVEC GUNDAL

Ceci arrive tous les jours à beaucoup de personnes dans le monde,  on en parle de plus en plus.  

Voici ce qui vient d’arriver à Gundal le mois passé (Etincelle) :

« Bonjour à tous,
Vous avez été nombreux à me demander des nouvelles, car je ne poste plus sur ma page facebook depuis samedi dernier.
Je suis en fait tout juste de retour d’une hospitalisation d’urgence qui devait m’être fatale, étant donné la gravité de mon état; j’ai fait une embolie pulmonaire suite à un coup porté sur mon mollet gauche qui a de suite causé une phlébite. Étant sportif, je ne me suis pas écouté et des caillots de sang se sont formés pour directement se loger dans mon coeur.
Je suis allé à la Clinique pour mon mal au mollet et incroyable mais vrai, aucun symptôme de gêne du côté du coeur!
Arrivé aux urgences, le diagnostic vital était déjà engagé et j’étais donc déjà considéré comme condamné par tous les médecins.
Famille, ami(e)s, proches ont été prévenus le soir même, le samedi.
Je me suis éteint dans la soirée du samedi 16 juillet 2016 et j’ai été déclaré mort!
Ce que j’ai vu et où je suis parti, je vous en parlerai plus longuement à ma prochaine intervention chez mon amie Nora, sur NuréaTv.
Contre toute attente, j’ai regagné mon corps physique comme attiré fortement.
Actuellement, je reste un mystère, car j’ai regagné mon corps qui est toujours au stade d’embolie pulmonaire, déclarée fatale.
Aucun docteur ne peut expliquer cela, c’est au-delà de la science et de la médecine!
Je suis à présent rentré chez moi, soigné comme il se doit et me voilà à vous écrire pour ne rien vous cacher, vous qui m’avez donné votre confiance et qui aimez ce que je suis.
Je tiens à remercier pour le soutien que j’ai reçu de certaines personnes très proches et qui m’ont fait comprendre combien elles tiennent à moi, Merci encore!
Je vais reprendre ma vie, mais j’ai changé profondément et je vois maintenant encore plus clairement le monde qui nous entoure.
Fidèle au poste, je vais reprendre mes activités dessins, peintures de mes voyages astraux et intricités, afin bien sûr d’honorer vos demandes d’intricités vibratoires sur marque-pages.
Merci encore une fois à vous tous.
Heureux d’être ici et maintenant.
Gundal »

Conférence du 16 août 2016 sur Nurea TV

Trouvé sur Nuréa TV

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LES PROPHETIES AMERINDIENNES : LA PROPHETIE DES SEPT FEUX

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Un message de paix et d’unité selon la tradition des amérindiens algonquins et ojibwés

La prophétie algonquine des sept feux décrit l’évolution de l’humanité depuis des siècles jusqu’à nos jours. Nous sommes dans la période du septième feu, une période cruciale de choix de vie. La prophétie incite à choisir un monde de paix et d’union entre les races et les peuples. Ce message est délivré activement par plusieurs Grands Chefs Algonquins, dont le Grand-Père William Commanda et Dominique Rankin. Il est en accord avec une autre prophétie des Lakotas, celle de la femme Bison Blanc.

Sept prophètes sont venus chez les Anishinabés.

Ils sont venus quand le peuple vivait une vie paisible et bien remplie sur la côte nord-est de l’Amérique du Nord. Ces prophètes ont laissé au peuple sept prophéties sur ce que serait le futur. Chacune de ces prophéties fut appelée un feu, et chaque feu représente une période différente qui se produira dans le futur. Voilà pourquoi les enseignements des sept prophètes sont maintenant nommés les Sept Feux.

Le premier prophète dit au peuple:

« Dans la période du Premier Feu, la nation Anishinabé s’élèvera et suivra la voie du Coquillage Sacré de la Loge du Midewiwin. La loge du Midewiwin servira de point de rassemblement au peuple et ses traditions seront la source de beaucoup de force. Le Mégis Sacré les conduira à la terre choisie pour les Anishinabés. Vous devrez chercher une île en forme de tortue [l’Amérique du Nord] reliée à la purification de la terre. Vous trouverez une telle île au début et à la fin de votre voyage. Il y aura sept endroits où vous vous arrêterez sur votre parcours. Vous saurez que vous avez atteint l’endroit choisi quand vous aurez atteint une terre où la nourriture se développe sur l’eau. Si vous y restez, vous périrez. »

Le deuxième prophète dit au peuple:

« Vous reconnaîtrez le Deuxième Feu parce qu’en ce temps là, la nation sera cantonnée près d’une grande étendue d’eau. En ce temps là, la direction du Coquillage Sacré sera perdue. Le Midewiwin diminuera en force. Un garçon naitra pour indiquer la voie de retour aux traditions. Il montrera la direction des marches vers le futur du peuple Anishinabé. »

Le troisième prophète dit au peuple:

« Pendant le Troisième Feu, les Anishinabés trouveront la voie vers leur terre choisie, une terre à l’ouest de laquelle la nourriture pousse sur l’eau. »

Le quatrième feu:

Le Quatrième Feu fut originalement révélé au peuple par deux prophètes. Ils sont venus comme un seul. Ils ont parlé de la venue de la race à la peau blanche.

L’un des prophètes dit:

« Vous connaîtrez le futur de notre peuple par le visage que la race à la peau blanche affiche. S’ils viennent en affichant le visage de la fraternité, alors viendra une période de merveilleux changements pour plusieurs générations. Ils apporteront de nouvelles connaissances et objets qui pourront se joindre aux connaissances de ce pays. De cette façon, deux nations se joindront pour créer une puissante nation. À cette nouvelle nation se joindront deux autres, et les quatre nations formeront la plus puissante de toute les nations. Vous reconnaîtrez le visage de la fraternité si la race à la peau blanche vient sans porter d’armes, s’ils viennent en apportant seulement leurs connaissances et une poignée de main. »

L’autre prophète dit :

« Méfiez-vous si la race à la peau blanche vient en affichant le visage de la mort. Vous devrez faire attention parce que le visage de la fraternité et celui de la mort se ressemblent beaucoup. S’ils viennent en portant des armes, méfiez-vous. S’ils viennent souffrants, ils pourraient vous tromper. Leurs cœurs pourraient être remplis de convoitise pour les richesses de cette terre. S’ils sont véritablement vos frères, laissez-les vous le prouver. Ne les acceptez pas en toute confiance. Vous saurez que le visage qu’ils affichent est celui de la mort si les rivières sont empoisonnées et si les poissons deviennent impropres à la consommation. Vous les reconnaîtrez par ces multiples signes. »

Le cinquième prophète dit:

« Pendant la période du cinquième Feu, viendra un temps de grandes difficultés qui affectera la vie de tous les Autochtones. Quand les signes de ce Feu apparaitront, viendra parmi le peuple une personne qui promettra une grande joie et le salut. Si le peuple accepte ces promesses d’une nouvelle façon de vivre et abandonne les enseignements anciens, alors les difficultés du Cinquième Feu resteront avec le peuple pendant plusieurs générations. Les promesses qui vous seront faites se révéleront de fausses promesses. Tous ceux qui accepteront ces promesses causeront la presque totale destruction du peuple. »

Le prophète du Sixième Feu dit:

« Pendant la période du sixième Feu, il sera évident que les promesses du Cinquième Feu sont venues d’une fausse manière. Ceux qui auront été trompés par ces promesses éloigneront leurs enfants des enseignements des Sages. Petits-fils et petites-filles se retourneront contre leurs Ainés. Aussi, les Sages perdront leur raison de vivre, ils perdront leur rôle dans la vie. Pendant cette période, une nouvelle maladie fera son apparition parmi le peuple. L’équilibre de nombreuses personnes sera dérangé. La coupe de la vie sera presque renversée. La coupe de la vie deviendra presque la coupe de l’amertume. »

Quand ces prédictions furent faites, beaucoup se moquèrent des prophètes. Ils détenaient alors les remèdes nécessaires pour se préserver de la maladie. Ils étaient alors un peuple en bonne santé et heureux. Ils étaient ceux qui choisirent de rester en arrière lors de la grande migration des Anishinabés. Ces personnes furent les premières à entrer en contact avec la race à la peau blanche. Il en souffrirent le plus.

Quand le Cinquième Feu arriva, de grandes difficultés survinrent dans la vie de tous les Autochtones. La race à la peau blanche lança des offensives militaires contre les Autochtones dans tout le pays pour s’emparer de leurs terres et de leur indépendance comme peuple libre et souverain. Nous savons maintenant que les fausses promesses qui ont été faites à la fin du Cinquième Feu, se référaient au matériel et aux richesses inhérents au mode de vie de la race à la peau blanche. Ceux qui ont abandonné les anciennes méthodes et accepté ces nouvelles promesses furent un facteur important qui causa la presque totale destruction des Autochtones de ce pays.

Quand vint le Sixième Feu, les paroles du prophète s’avérèrent vraies, les enfants furent privés des enseignements des Sages. L’ère des pensionnats qui « civilisaient » les enfants indiens avait commencé. Le langage des Indiens et leur religion furent enlevés aux enfants. Les personnes commencèrent à mourir jeunes. Ils avaient perdu la volonté de vivre et leur raison de vivre.

Pendant l’ère confuse du Sixième Feu, il est dit qu’un groupe de visionnaires vint chez les Anishinabés. Ils rassemblèrent tous les prêtres de la Loge du Midewiwin. Ils dirent aux prêtres que la méthode Midewiwin était en danger d’être détruite. Ils ont rassemblé tout les Objets Sacrés. Ils ont rassemblé tous les écrits qui décrivent les cérémonies. Toutes ces choses furent placées à l’intérieur d’une bûche taillée dans l’arbre de fer. Des hommes furent suspendus à une falaise par de longues cordes. Là, ils creusèrent un trou dans la falaise et y enterrèrent la bûche là où personne ne pourrait la trouver. C’est ainsi que les enseignements des Sages furent cachés à la vue mais gardés en mémoire. Il est dit que le jour où les Indiens pourront pratiquer leur religion sans avoir peur, un petit garçon aurait un rêve qui indiquerait où la bûche de bois dur contenant les Objets Sacrés et les écrits a été enterrée. Il guiderait son peuple à cet endroit.

Le septième feu

Le Septième prophète qui rendit visite au peuple il y a bien longtemps, est décrit comme étant différent des autres prophètes. Il était jeune et avait une lumière étrange dans ses yeux. Il dit:

« Quand viendra la période du Septième Feu, de Nouvelles Personnes apparaitront. Elles retraceront leurs pas pour redécouvrir les traces laissées sur la route. Leurs pas les conduiront vers les Ainés à qui elles demanderont de les guider dans leur voyage. Mais beaucoup de Ainés se seront endormis. Ils s’éveilleront dans ce nouvel âge sans rien à offrir. Quelques-uns des Ainés seront muets parce que personne ne leur demandera quoi que ce soit. Les nouvelles personnes devront faire attention à la manière dont elles s’approcheront des Ainés. La tâche des nouvelles personnes ne sera pas facile.

Si les nouvelles personnes restent fortes dans leur quête, le Tambour à Eau de la Loge du Midewiwin fera de nouveau entendre sa voix. Il y aura une renaissance de la nation Anishinabé et les vieilles flammes seront attisées. Le Feu Sacré brulera de nouveau.

Le huitième feu

C’est en ce temps là qu’on donnera le choix à la race à la peau blanche entre deux chemins. Si elle choisit le bon chemin, alors le Septième Feu allumera le Huitième et dernier Feu, un Feu éternel de paix, d’amour, de fraternité et de sororité. Si la race à la peau blanche fait le mauvais choix de route, alors la destruction qu’elle a apportée avec elle en venant dans ce pays, se retournera contre elle et causera beaucoup de souffrance et de morts parmi tous les habitants de la terre. »

Les sages de la nation Ojibwé et des personnes d’autres nations ont interprété les deux chemins auxquelles la race à la peau blanche doit faire face, comme étant la route de la technologie et la route de la spiritualité. Ils pensent que la route vers la technologie représente une continuation de la ruée tête baissée vers le développement technologique. C’est cette route qui a conduit la société moderne vers une planète endommagée et brûlée. Serait-il possible que la route vers la technologie représente une ruée vers la destruction? La route vers la spiritualité représente un chemin plus lent, celui que les Autochtones traditionnels ont suivi et qu’ils cherchent à retrouver. La terre n’est pas brûlée sur ce sentier. L’herbe y pousse encore.

Le prophète du Quatrième Feu a parlé d’une ère où deux nations se joindraient pour créer une puissante nation. Il parlait de la venue de la race à la peau blanche et du visage de la fraternité que les Frères à peau blanche pourraient afficher. Il est évident d’après l’histoire de ce pays que ce n’était pas le visage que présentait généralement la race à la peau blanche. La puissante nation mentionnée dans le Quatrième Feu n’a jamais été formée.

Si le peuple naturel de la terre pouvait simplement porter le visage de la fraternité, nous pourrions délivrer notre société du chemin de la destruction. Pourrions-nous faire en sorte que les deux chemins qui représentent deux points de vue du monde diamétralement opposés s’unissent pour former cette puissante nation?

Serait-il possible de former une nouvelle nation qui serait guidée par le respect pour toutes les êtres vivants?

Sommes-nous les personnes du Septième Feu?

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Danse des indiens algonquiens (gravure de John White, 1590)

La Prophétie amérindiennes:

« Les prophéties amérindiennes disent que des métissés et des blancs qui laissent pousser leur cheveux long et portent des colliers viendront vers les guérisseurs indigènes et demanderont des directives….
Les prophéties disent qu’ils reviendront comme le peuple de l’Arc-en-ciel dans des corps de différentes couleurs : rouges, blancs, jaunes ou noirs.
Les anciens ont dit qu’ils reviendront et s’uniront pour aider à restaurer l’équilibre de la terre.
L’histoire de ces Guerriers de l’Arc-en-ciel est racontée par plusieurs peuples de plusieurs manières différentes.
Nous sentons que nous sommes maintenant à cette époque où les Guerriers de l’Arc-en-ciel arrivent.
C’est donc un temps où nous devons reconnaître que nous sommes tous des êtres humains sur la même planète
et c’est ce en quoi consistent les Guerriers de l’Arc-en-ciel » . Sun Bear.
« Au temps du Septième Feu, un Nouveau Peuple émergera. Ils retraceront leurs pas pour retrouver la Sagesse qui a été laissée derrière le long de la route il y a longtemps.
Leurs pas les mèneront vers les Anciens, auxquels ils demanderont de les guider dans leur voyage. Si le Nouveau Peuple demeure fort dans sa quête, le tambour sacré fera de nouveau entendre sa voix. Il y aura un éveil des gens et le feu sacré sera de nouveau allumé.
En ce temps-là, la race à la peau claire devra choisir entre deux voies. Une des voies est la voie de l’avidité et de la technologie sans sagesse, ni respect pour la Vie. Cette voie représente une course à la destruction. L’autre voie est la spiritualité, un sentier plus lent impliquant le respect pour toutes les choses vivantes.

Si nous choisissons le sentier spirituel, nous pourrons allumer encore un autre feu, le Huitième Feu et commencer une longue période de Paix et de croissance saine ».

« Le temps est venu d’allumer le huitième Feu »

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PROPHÉTIES AMÉRINDIENNES

Ce que Don Marcelino, qui est un Médecin traditionnel amérindien et originaire des NationsAmérindiennes dit à propos des prophéties:

EXTRAITS:

Avant de disparaître, les Hommes de Connais­sance Maya, ont laissé un manteau de protection autour de leurs livres, de leurs calendriers et de leurs prophéties. Afin de pouvoir déchiffrer ces messages, il faut commencer par traverser des symboles et des chiffres qui, en fait, ne veulent rien dire. Ce ne sont que des fioritures destinées à camoufler la simplicité des textes sacrés aux intrus avides de découvertes et de fausse magie.

La civilisation maya a laissé :

— Les Chilam Balams ou Livres des devins des choses occultes. Ce sont des prophéties.

— Le Popol Vuh : Livre du Conseil, recueil de mythes et légendes quichua.

Les Mayas adoptèrent la numérotation vicésimale (unités croissant de vingt en vingt) ce qui leur permit des calculs astronomiques très poussés et d’établir un calendrier solaire très précis. Chaque jour avait un nom et un caractère bénéfique ou maléfique.

La prophétie de 2012, traduite dans notre langue dit ceci :

Les portes de la planète Terre s’ouvriront afin de recevoir des énergies cosmiques d’un nouveau type. Ce champ d’énergie traversera la Terre en enveloppant très doucement tout ce qui vit. Cette ouverture dans l’œuf terrestre durera plusieurs millénaires : de 20 à 50 000 ans environ.

Chacun de nous, au cours de sa vie, a ressenti l’expérience de se sentir envahi dans tout son être par une onde de joie, joie impossible à traduire par des mots. Notre être se sent uni à la Terre et au Cosmos dans un état d’Harmonie, de Paix et d’Amour. C’est de cela qu’il s’agit.

La deuxième Prophétie est celle de l’Arc-en-Ciel

Elle annonce la transformation du genre humain en un Arc-en-ciel, mélange de toutes les couleurs et de toutes les races, synthèse cosmique de toute la Connaissance :

L’enracinement et la joie de vivre de l’Afrique,

La sagesse de l’Orient,

L’amour de la Terre et l’identification avec la nature des Amérindiens

Savez-vous que les arbres parlent ?
Ils le font, pourtant !
Ils se parlent entre eux
Et ils vous parleront si vous les écoutez.

Nous sommes semblables aux plantes : ni elles, ni nous, ne sont plus importants. Les plantes, croit-on, sont vivantes. La sève est leur sang. Elles s’accroissent, se multiplient. Elles peuvent communiquer avec nous et nous ne pouvons les détruire. Les arbres, quant à eux, sont aussi des êtres vivants.

Mais, pour compléter l’Arc-en-ciel, il manque une tradition. Toutes les anciennes traditions attendent le réveil de l’Occident, de la tradition européenne avec son savoir druidique, ses sorcières, le savoir et les tech­niques de ses alchimistes et la sagesse de son guide Jésus. Ce réveil est indispensable pour compléter le puzzle de la mémoire cosmique. Je pense que les civi­lisations amérindiennes savent depuis des millénaires que tout réveil de l’humanité est très lent.

L’Homme n’existe pas encore. L’être incarné est une espèce en mutation qui se réalisera en retrouvant sa mémoire cosmique.

Face à ces réalités apocalyptiques, les adeptes du nouvel âge, alors que la Terre brûle sous leurs pieds, sont à côté de leurs pompes. Je crois qu’ils sont sincères dans leur recherche. Malheureusement, une grande majorité d’entre eux n’est pas enracinée. Ils prennent leurs désirs pour des réalités quand ils disent, par exemple:

Le 21ème siècle sera religieux ou ne sera pas.

Ce millénaire de l’ère du Verseau sera d’Amour et de Lumière.

En 2012 la Terre va totalement changer (inter­prétation erronée du calendrier Maya).

Les sociétés amérindiennes gardent une distance devant le nouvel âge. Je crois que la Terre brûle sous les pieds de tous les habitants de cette planète et qu’il est temps de s’informer pour agir.

Les travaux des scientifiques occidentaux nous plongent dans la réalité. Par exemple, prenons le rap­port intergouvernemental sur l’évolution du climat, un texte de mille pages d’analyses techniques, publié par deux mille spécialistes. Ses rédacteurs envisagent une hypothèse moyenne sur les dangers encourus par la Terre, hypothèse bien en dessous de la réalité.

Selon tous ces scientifiques, le climat va radica­lement changer.

Je crois que le moment que nous vivons est très grave. Il est urgent d’assurer nos responsabilités d’ha­bitants de cette Planète bleue.

DON MARCELINOin « LA MÉMOIRE COSMIQUE AMÉRINDIENNE ».

  « Le temps est venu d’allumer le huitième Feu » Grand-père William Commanda (Algonquin)

Sources : site de Rachel Louve et cercledevie

Trouvé sur esprit science metaphysiques

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IL ETAIT UNE FOIS LES CATHARES

saint-jean

On les appelait les « bons hommes », parfois les « parfaits ».Du XIe au XIIIe siècle, les cathares fleurirent en pays d’Oc,
jusqu’à leur éradication. Qu’avaient-ils donc
de si particulier et de si dérangeant ?

 

Mystérieuse et solitaire, la cité de Montségur contemple les contreforts des Pyrénées. Entre terre et ciel, les lieux pulsent encore de la mémoire des deux cents cathares qui y périrent sur le bûcher en 1244. Leur faute ? Ne pas avoir épousé la doctrine de l’Église catholique. Les cathares étaient pourtant éminemment spirituels. « Chrétiens, ils se posaient une question fondamentale : si Dieu est bon et tout-puissant, alors pourquoi y a-t-il le mal sur terre ? », explique le guide conférencier Fabrice Chambon. À leurs yeux, le monde matériel est l’œuvre du diable. Dieu n’y règne pas ; Son royaume est purement dans l’au-delà. La vie terrestre est une prison où les âmes (fruits immortels tombés du Ciel) sont recluses dans des corps. « Le jour de la mort physique, soit l’âme est jugée parfaite, et elle peut quitter ce monde de souffrance pour retrouver sa place au paradis, soit elle doit refaire un passage sur terre », indique Fabrice Chambon.

Embrassant une vision proche des sagesses orientales, les cathares croyaient en une forme de réincarnation comme outil de progression, ainsi qu’en la nécessité de se détacher de l’illusoire pour rejoindre l’essentiel. Leur spiritualité ne tenait pas dans l’obéissance à des règles extérieures, mais dans un engagement personnel à la qualité d’être. Ne pas mentir, ne pas juger, ne pas médire, ne pas voler, ne pas tuer, mener une vie ascétique, dans la chasteté et la pauvreté, respecter une non-violence totale, y compris à l’égard des infidèles, des criminels et des animaux (au point d’être végétariens)…

La vraie église de Dieu, c’est le cœur de l’homme…

Ne s’estimant pas supérieurs aux autres, leurs religieux vivaient au cœur des bourgs et travaillaient. N’accordant d’importance qu’à l’âme, ils ne faisaient aucune discrimination entre les sexes. Exit aussi les messes en latin, les dîmes à verser, les ordres des curés à respecter sous peine de châtiment céleste – Dieu n’étant que bonté, Il ne pouvait être vengeur ! Exit encore les croix et les symboles tendant à sacraliser le visible, qui n’avait aucune valeur à leurs yeux, ainsi que les édifices religieux – car « la vraie église de Dieu, c’est le cœur de l’homme », disaient-ils.

Leur seul sacrement était le consolament : union de l’âme et de l’Esprit par imposition des mains, il servait de baptême, d’ordination et d’absolution. En fin de vie, il était l’unique rite de passage vers le monde spirituel. Que sont devenues les âmes des victimes de Montségur ?

Trouvé sur INREES

 

Pour plus d infos sur le sujet voici un autre article :

L’autre visage des Cathares

Origine et influence de ces hommes et femmes hors du commun

Les Cathares… Voilà un nom qui a fait couler beaucoup d’encre, beaucoup de sang aussi. Ce nom a surtout rayonné une grande lumière sur la Terre, à une époque d’obscurantisme religieux et séculier sans précédent, ce qui rend l’œuvre des Cathares d’autant plus grande et héroïque ! Mais que savons-nous réellement de ces hommes et femmes hors du commun qui œuvraient ensemble pour l’avènement d’une nouvelle société, libre et heureuse ?

En effet, nous connaissons surtout les Cathares à travers les écrits de leurs bourreaux… Mais avons-nous réellement regardé ces Bons Hommes et ces Bonnes Dames* dans leur âme, à travers les traces lumineuses qu’ils ont laissées derrière eux, comme un sillon impérissable dans la mémoire du temps ? C’est là, dans le miroir révélateur des rivières et des montagnes qui les ont vu marcher, parler, chanter et danser, que se tient, caché, le véritable trésor des Cathares…

L’Ariège fut le berceau du Catharisme. C’est là, dans cette région à la fois rude et majestueuse, que les Cathares décidèrent d’implanter ce qui allait devenir le centre rayonnant de leur enseignement et de leur culture solaires. Au bout de quelques décennies, ce foyer lumineux rayonnait déjà jusqu’aux confins de l’Europe !
De toute évidence, les Cathares n’ont pas choisi cette région par hasard, mais pour des raisons bien particulières et précises dont il faut chercher l’origine plus de 1000 ans avant leur apparition…

La filiation secrète du courant de saint Jean et la tradition druidique en Ariège

Il existe une forêt enchantée en Ariège, près du petit village de Nébias, où les 2 plus proches disciples du Christ – saint Jean et Marie-Madeleine – rencontrèrent les grands Druides et prêtres du peuple celte. C’est là qu’ils avaient établi leur principal centre d’étude et d’initiation depuis plusieurs siècles.
Dans cette forêt enchantée, qui n’a rien à envier à la légendaire forêt de Brocéliande, les Druides étaient les gardiens d’un haut savoir qu’ils se transmettaient oralement de génération en génération dans le plus grand secret. Ils puisaient ainsi leur savoir et leur force magiques de l’alliance et du lien vivant qu’ils avaient su établir avec les deux règnes minéral et végétal. Ce sont d’ailleurs principalement ces 2 règnes que l’on retrouve dans les légendes celtiques à travers l’évocation de grandes pierres dressées, les fameux ‘menhirs’, ainsi que de grands chênes sacrés et millénaires.

Saint Jean et Marie-Madeleine reconnurent tout de suite ces sages gardiens du pays de Kal comme des frères et sœurs, car venant du même Père et de la même Mère et héritiers de la même et grande Tradition des Fils du Soleil, qui remonte à la nuit des temps.

Ces sages avaient une conscience beaucoup plus élargie que notre conscience actuelle, limitée aux seules perceptions de nos sens physiques. La nuit, ils voyageaient dans d’autres mondes, avec ce véhicule plus subtil que le corps physique, que Paracelse et les occultistes de la Renaissance ont appelé le « corps astral ».
Par cet élargissement de la conscience et par leur observation constante de la voûte étoilée, ils avaient une vision globale de ce qui se passait sur la Terre et pouvaient ainsi lire les événements importants en cours ou à venir. C’est par ces moyens supra-physiques qu’ils avaient déjà eu vent de la naissance et de l’avènement du Christ dans une contrée lointaine. Dans les prophéties qu’ils se transmettaient par tradition orale, les Druides parlaient depuis longtemps de l’incarnation à venir du Dieu solaire qu’ils appelaient et vénéraient sous le nom de « Esus », étonnamment proche de celui de « Jésus » !

Quand donc saint Jean et Marie-Madeleine leur parlèrent du maître Jésus et du nouvel enseignement qu’il apporta en Judée, les Druides furent touchés au plus profond et accueillirent ces révélations comme un présent sacré. Ils savaient en effet qu’une nouvelle lumière était apparue sur la Terre, mais ils ne pouvaient pas réellement mettre de mots dessus et cela demeurait un mystère… Pour rendre hommage à ce présent, les Druides de l’Ariège leur partagèrent à leur tour les trésors précieux de leur enseignement millénaire afin qu’ils puissent contribuer à renforcer la naissance de ce nouvel enseignement du Christ..

A travers cet échange si riche de sagesse et de fraternité, saint Jean et Marie-Madeleine virent un signe que cette région de l’Ariège – cœur de la future Occitanie des Cathares et Troubadours – était une terre fertile pour la nouvelle révélation divine dont ils étaient maintenant les principaux dépositaires. Ensemble, suivant les conseils des Druides, ils partirent en direction des montagnes sacrées surplombant l’actuel château de Montségur, qui n’existait pas encore et qui devait devenir plus tard le « phare du Catharisme ».

C’est là, dans ces montagnes sacrées, que saint Jean et Marie-Madeleine accomplirent tout un travail qui peut être considéré comme le fondement caché du futur enseignement et savoir christiques apportés par les Cathares, plus de 1000 ans après… Mais le plus étonnant dans cette histoire, jusqu’ici gardée secrète au sein de la Tradition essénienne, c’est que saint Jean et Marie-Madeleine ne laissèrent aucune trace visible ni orale de leur passage en Ariège. En effet, ils ne se sont pas adressés aux êtres humains, mais aux esprits de la nature qui vivent cachés dans les arbres, les pierres, les montagnes et les rivières et dont les Druides avaient une haute connaissance. C’est donc d’abord dans les mondes invisibles et dans l’âme de la Terre que saint Jean et Marie-Madeleine ont agi, en y déposant les germes authentiques et purs du véritable Christianisme.

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Comment le Catharisme est apparu dans le sud de la France

Après avoir accompli ce travail secret, saint Jean et Marie-Madeleine se séparèrent, conscients de l’importance de leur missions respectives. Marie-Madeleine continua son périple le long de la Méditerranée et s’installa finalement près de Marseille, dans une grotte qui devient célèbre plus tard à cause de sa venue, la grotte de la Sainte-Baume. Quant à saint Jean, il quitta le pays de Kal par la mer, en direction de la Grèce, où il rejoignit la Vierge Marie. Avec son aide précieuse, il fonda la 1ère école des mystères christiques sur les hauteurs d’Ephèse, dans l’actuelle Turquie.

Tout un courant sacré naquit de cette église johannite, que l’on pourrait appeler l’église intérieure de saint Jean. C’est dans le fleuve de l’église johannite que naquit 200 ans plus tard le grand prophète Mani en Perse, dans l’actuelle Irak, non loin de Bagdad. Son enseignement, d’une grande lumière et d’une profonde tolérance, éclaira et réactualisa toutes les révélations divines qui avaient été données avant lui, depuis Zoroastre jusqu’à Jésus, en passant par Bouddha, Moïse… Son influence fut telle que le Manichéisme rayonna pendant plus de 1000 ans une onde de paix, de réconciliation et de dialogue interreligieux et culturel sur toute la Terre, de l’Asie jusqu’en Europe, plus particulièrement en Bulgarie. C’est là que le courant de saint Jean poursuivit son œuvre souterraine et où il prit de nouveau racine, à travers l’Ordre mystique et initiatique des Bogomiles – mot d’origine slave qui signifie « amis de Dieu ».

Au bout de 2 siècles, persécutés et chassés à leur tour de leur pays par l’église orthodoxe, les Bogomiles migrèrent vers l’ouest jusqu’aux portes des Pyrénées orientales. Nicétas, le dernier Patriarche des Bogomiles, avait eu l’intuition qu’il trouverait là des êtres prédestinés et prédisposés intérieurement à reprendre le flambeau du courant de saint Jean et à le conduire vers une manifestation encore plus grande. Il organisa donc une grande rencontre dans le sud de la France, connue historiquement comme le concile de Saint-Félix de Caraman, en l’an 1167.

Lors de ce concile étaient présents quelques uns de ces êtres prédestinés qui avaient grandi près des montagnes sacrées des Pyrénées ariégeoises, là où vivaient encore les Druides et leur école des mystères, qui commençait à entrer en sommeil. Irrésistiblement attirés par ces Bogomiles venus de l’est, ils étaient venus en petit nombre pour les rencontrer et se rallier à leur cause. Cette rencontre spirituelle fut l’élément déclencheur de leur destinée par lequel ils comprirent le sens de leur vie. Ils devinrent alors les premiers missionnés et porteurs de ce qui allait devenir le Catharisme, ce grand mouvement spirituel, culturel, social et hautement civilisateur qui renversa l’ordre établi et illumina l’Europe entière pendant plus de 2 siècles…

Par Loïc Albisetti pour le Magazine Essentiel http://www.magazine-essentiel.com/accueil/articles/au-sommaire/votre-mission-spirituelle-selon-votre-signe-astrologique.html

Trouvé sur les Chroniques d’Actarius

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DES SCIENTIFIQUES ALLEMANDS PROUVENT QU’IL Y A UNE VIE APRES LA MORT

 

Des scientifiques allemands prouvent qu’il y a une vie après la mort

 

Berlin | Une équipe de psychologues et des médecins associés à la Technische Universität de Berlin, ont annoncé ce matin qu’ils avaient prouvé par l’expérimentation clinique, l’existence d’une certaine forme de vie après la mort. Cette annonce étonnante est basée sur les conclusions d’une étude utilisant un nouveau type de médicalement d’expériences de mort imminente contrôlées, qui permettent aux patients d’être cliniquement mort pendant près de 20 minutes avant d’être ramené à la vie.

Ce processus controversé qui a été répété sur 944 volontaires pendant ces quatre dernières années, nécessite un mélange complexe de médicaments, y compris d’adrénaline et de dimethyltryptamine, destinés à permettre au corps de survivre à l’état de mort clinique et au processus de réanimation sans dommages. Le corps du cobaye a ensuite été placé dans un état de coma artificiel induit par un mélange d’autres médicaments qui devaient être filtrés par l’ozone dans son sang durant le processus de réanimation 18 minutes plus tard.La très longue durée de l’expérience a été récemment rendue possible par le développement d’une nouvelle machine de réanimation cardio-pulmonaire (RCP) du nom d’AutoPulse. Ce type d’équipement a déjà été utilisé au cours des dernières années, pour ranimer les gens qui avaient été ‘morts’ entre 40 minutes à une heure.

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Plusieurs hypothèses concernant les expériences de mort imminente ont été émises dans diverses revues médicales dans le passé, comme ayant les mêmes caractéristiques que les hallucinations, mais le Dr Ackerman et son équipe, au contraire, les considèrent comme des preuves de l’existence d’un ‘au-delà’ et d’une forme de dualisme entre l’esprit et le corps.

L’équipe de scientifiques dirigée par le Dr Berthold Ackermann, a surveillé les opérations et a compilé les témoignages des sujets. Bien qu’il y ait de légères variations d’un individu à l’autre, tous les sujets ont quelques souvenirs de leur expérience de mort clinique et une grande majorité d’entre eux ont décrit quelques sensations très similaires.

La plupart des souvenirs communs comprennent un sentiment de détachement du corps, des sentiments de lévitation, de sérénité totale, de sécurité, de chaleur, de dissolution absolue, et la présence d’une lumière écrasante.

Les scientifiques disent que les cobayes sont bien conscients de leur mort et qu’un grand nombre de leurs conclusions choqueraient beaucoup de gens, comme le fait que les croyances religieuses des divers sujets semblent n’avoir eu aucune incidence du tout sur les sensations et les expériences qui ont été écrites à la fin de l’expérience. En effet, les bénévoles comptaient dans leurs rangs un certain nombre d’éminents représentants du christianisme, de l’islam, du judaïsme, du bouddhisme et de l’athéisme.

« Je sais que nos résultats pourraient perturber les croyances de beaucoup de gens », dit M. Ackerman. « Mais dans un sens, nous venons de répondre à l’une des plus grandes questions de l’histoire de l’humanité, donc nous espérons que ces gens seront en mesure de nous pardonner. Oui, il y a la vie après la mort et il semblerait que cela vaut pour tout le monde ».

 World News Daily Report

source:https://resistanceauthentique.wordpress.com/2016/04/27/des-scientifiques-allemands-prouvent-quil-y-a-une-vie-apres-la-mort/

 

Trouvé sur reseauinternational.net

Et voilà un sujet qui nous concerne tous, puis qu à un moment nous passons tous et toutes par là

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L’ALCHIMIE DES PRENOMS

 

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Notre prénom nous colle tellement à la peau qu’il nous porte autant que nous le portons. Par quelle alchimie quelques lettres peuvent-elles nous définir et tracer notre destin ?

 

Quelle aurait été votre vie si vous vous étiez appelé Karim plutôt que Louis, Johnny plutôt que Charles-André, Cunégonde plutôt que Carla ? Notre prénom nous caractérise, il est notre carte de visite. D’un prénom à l’autre, au gré des connotations sociales et culturelles, le regard change, l’imaginaire aussi. « Pas toujours évident de s’appeler Moïse ou Adam sans se sentir porteur d’une injonction d’accomplissement ! », note par exemple la numérologue Françoise Since.

Mais le prénom n’est pas qu’une étymologie ou une sémantique. « Il est une musique,estime l’alchimiste Patrick Burensteinas, dont les notes sont les lettres qui le composent. »Chacune a son importance, toutes ont une valeur et un sens. « Les lettres de l’alphabet sont des dessins, des schémas, rappelle l’alchimiste. Leur tracé est signifiant, il n’est pas le fruit du hasard. » Tout commence par un point. « Lorsque cette singularité se met en mouvement, elle donne la lettre I, l’unité. » Puis la création s’ouvre, elle devient le A, la règle, « le compas qui délimite l’espace ». Celui-ci trace le O, symbole du corps et de l’esprit. Enlevez l’esprit, il reste le corps, C. Le E, lui, représente « le monde, la liaison des plans matériel, spirituel et divin ». Retirez la matière, vous obtenez F, le feu et ainsi de suite : T la terre ; R le souffle ; P le père ; M la création…

Une vibration

De l’agencement de ces lettres, de leurs sonorités mêlées, naît une vibration, une harmonique qui parle de nous autant qu’elle nous modèle. « Chaque lettre a une vertu. Certaines sont matérialistes, d’autres idéalistes, mentales, intuitives… La manière dont elles s’articulent donne des clés, parfois stupéfiantes, qui dévoilent la vie de la personne, confirme Françoise Since. Par exemple, lorsque je vois la journaliste Elise Lucet à la télévision, je suis saisie par la cohérence entre son nom, son physique et son comportement. La plupart des lettres de son identité incarnent la communication, l’enthousiasme. Mais leur combinaison globale manifeste une douceur, une pudeur, une réceptivité. » Tous les Jacques seraient-ils alors porteurs d’un caractère et d’un destin communs ? « La première partie de ce prénom indique un ancrage dans le passé, un cadre strict, peut-être une éducation, des choses éprouvées physiquement, indique Patrick Burensteinas, alors que la seconde partie souligne une curiosité. Ce prénom peut donc révéler un déchirement. Sa clé est de parvenir à se libérer de certaines pesanteurs pour s’autoriser à courir le monde.

 

Notre prénom nous caractérise, il est notre carte de visite.

Se dire que les règles, les responsabilités, n’empêchent pas de s’octroyer les bulles de liberté dont on a besoin. » Mais le prénom n’est qu’une partition. Chacun, en fonction de ce qui le façonne par ailleurs – son nom de famille, son passé, sa généalogie, ses date et lieu de naissance… – en exprime plus ou moins telle ou telle note. « Il faut de l’inspiration pour sentir quelle lettre, chez cette personne, va être importante, convient Françoise Since.Lorsqu’on rentre dans l’intériorité de l’être, toute une alchimie se crée. Nous devons aussi faire attention, dans nos interprétations, à ne rien figer. »

Le programme d’une vie

Choisir un prénom est loin d’être anodin. Quand l’enfant s’annonce, bien des parents en prennent la mesure. Son prénom vibrera de sa naissance au crépuscule de son existence. Que dira-t-il de lui, quel destin lui programmera-il subtilement ? L’enjeu est intimidant. Faut-il suivre son instinct, les conseils, la mode, la tradition familiale ? « Autrefois, on donnait aux enfants les prénoms des aïeux, ce qui ne facilitait pas l’émergence d’une identité propre », note Françoise Since. De nos jours, un prénom reste souvent révélateur de la personnalité des parents, de leurs goûts, de leur appartenance communautaire. « Qui n’a jamais entendu des gens donner à leur fils le nom d’un joueur de foot ou d’un chanteur, avec l’espoir secret d’orienter un peu sa destinée ? », rappelle la numérologue.

S’il est important qu’un prénom ait une racine, s’il signe indéniablement un héritage, il s’impose aussi parfois étrangement, au gré d’un rêve, d’une intuition. « Quand j’ai choisi les prénoms de mes enfants, je pensais être original, témoigne Patrick Burensteinas. Dix ans après, dans la cour de récréation, des dizaines d’écoliers portaient les mêmes ! Dire qu’il s’agit d’un phénomène de mode ne résout pas le problème. À un moment, une musique traverse l’univers. Des milliers de personnes la captent de manière subliminale et en traduisent la vibration sous forme de prénoms. »

D’où vient ce souffle ? Pour les mystiques, c’est « l’âme [elle-même] qui murmure à l’oreille des parents » les sons (et leur agencement) qui l’aideront à tracer son chemin dans cette vie-ci. Dans bien des traditions, la décision de nommer un enfant revenait d’ailleurs aux astrologues ou aux prêtes. En Inde, par exemple, « on faisait le thème astrologique de l’enfant avant sa naissance, afin de connaître son plan d’incarnation, et déterminer le prénom en conséquence », explique Françoise Since. Encore aujourd’hui, dans certaines lignées spirituelles, au bout d’un certain temps, un maître vous donne un prénom. Non comme un aboutissement, mais comme la voie à suivre, l’objectif vers lequel vous devez tendre. « Initier, c’est débuter, pas finir ! Chez les magiciens, ces prénoms doivent rester secrets, afin que personne d’autre n’en connaisse la vibration », souligne Patrick Burensteinas.

De la lettre à l’être…

Nouveau prénom, nouvelle vie ?

Mais que faire lorsqu’on ne se retrouve pas dans son prénom ? Faut-il le troquer pour un autre, s’en trouver une variante ou un diminutif ? « Rien n’est neutre, souligne Patrick Burensteinas. Michel, par exemple, signifie le gardien de la voie du milieu. Si vous l’appelez Mimi, vous le privez de son corps – donc de sa liberté. » En France, 3 000 personnes par an demandent à changer de prénom. Pour éviter les discriminations, Yamina devient Brigitte. Pour assumer sa foi, Guillaume veut s’appeler Salah. Aysel avait 10 ans lorsqu’elle est soudain devenue Aurélie, au gré de la naturalisation de ses parents ; à l’âge adulte, elle a souhaité reprendre son prénom turc, plaidant que ses camarades d’école disaient qu’elle n’avait pas une tête d’Aurélie. « Il n’y a pas de bons ou de mauvais prénoms, estime Patrick Burensteinas. La question est plutôt d’être en accord avec le sien. »

Une Marie-Françoise qui se fait appeler Marie, alors que son prénom initial l’incarnait totalement, se prive d’une partie de sa résonance. Une Marie-Thérèse, fatiguée de s’occuper des autres, qui supprime l’essence maternante de Marie pour ne garder que Thérèse, est en cohérence. La décision est délicate : s’il s’agit d’un simple rejet, sans qu’on ait d’abord complètement intégré pourquoi on portait ce prénom, cette part de soi se représentera. La décision doit donc être le fruit d’une évolution bien comprise, la concrétisation du passage à une nouvelle phase de vie. C’est le cas de la thérapeute Monica Lenhard, baptisée Monique par sa mère en référence à l’héroïne de La Garçonne de Victor Margueritte : « Pour elle, ce prénom incarnait une femme libre. Elle voulait que j’aie un travail, une maison, une voiture. » Ces étapes accomplies, elle décide de rajouter un a, afin de se doter « d’une pointe de douceur et de féminité »… tout en stipulant ainsi « qu’elle prend les rênes de sa vie », commente Patrick Burensteinas.

La tendance est aux vibrations « courtes, nettes et franches », dit Françoise Since : Emma, Lola, Léa, Hugo, Enzo, Théo… L’essor des prénoms féminins en A traduit « l’esprit de décision, l’indépendance, l’action, une énergie traditionnellement plus masculine ». L’arrivée en force chez les garçons de la lettre o marque « un engagement du cœur ». Autre signe des temps : le retour des Raphaël et des Gabriel. « El est la syllabe du souffle divin », rappelle Françoise Since. Ces prénoms dessinent-ils l’avènement d’une génération plus fraternelle et plus spirituelle ? Cela semble être, du moins, l’aspiration de leurs parents. De la lettre à l’être…

 

Trouvé sur INREES

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