MAY EL-KHALIL: FAIRE LA PAIX EST UN MARATHON

 

Au Liban, il y a chaque année un coup de feu qui n’est pas lié aux scènes habituelles de violence : c’est le signal de départ du Marathon International de Beyrouth. Dans un discours émouvant, la fondatrice du marathon, May El-Khalil, explique pourquoi elle a imaginé qu’une course de 42 kilomètres pouvait rassembler un pays divisé depuis des décennies par la politique et la religion, ne serait-ce qu’un jour par an.

 

 

Trouvé sur TED  Ideas worth spreading

 

Il y a différentes manières de créer la paix

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Etincelle

LE GRAND BARNUM (Le climat et le Giec)

 

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Le cinquième rapport du GIEC, bien éventé par les fuites de 2012, nous promet, encore une fois, l’enfer. Le réchauffement climatique anthropique … pardon, la terminologie a changé mais pas la finalité … donc, disais-je, le changement climatique est, avec 95 % de certitude, l’œuvre malveillante de l’homme. Les décideurs pour nos décideurs, à grands coups de données, d’études, de graphiques effrayants et de projections alarmistes, nous ont concocté l’apocalypse … rien de différent du précédent rapport, me direz-vous … en effet, bien que moins extrême pour un proche avenir mais tout aussi alarmant pour la fin du siècle.

Les océans vont nous submerger, la banquise Arctique va disparaître, les sécheresses vont nous dessécher pendant que des moussons noieront d’autres lieux, le co2 va réchauffer notre planète à des niveaux jamais atteints, … , etc,etc . En un mot, la cuisson ne se fera plus au barbecue … mais au bain marie !

Cet article n’est nullement destiné à nier le réchauffement climatique, qui est d’ailleurs incontestable et incontesté, il est là pour relativiser … sortir de cette spirale alarmiste et de ces projections ( et pas prévisions, le GIEC fait le distinguo, bien que le fait d’annoncer 95 % de certitude revient à de la prévision … ) d’événements extrêmes en tous genres. Oui, le réchauffement climatique est réel mais est-il inédit ? Oui, le co2 a sa part de responsabilité, au même titre que les variations climatiques naturelles (l’ENSO, la PDO, l’AMO, la QBO, la DBC, les océans, l’activité solaire, l’activité volcanique, la météo spatiale rapportée à la très haute atmosphère, etc … ), quels sont les forçages radiatifs induits à ces différents acteurs du climat ?

Nous tacherons de donner des réponses objectives par l’intermédiaire d’études et de graphiques – en conclusion, nous verrons pourquoi une telle défiance peut exister face à un rapport sensé démontrer que nous allons droit dans le mur et sensé nous apporter les solutions « miracles » à la sauvegarde de l’humanité …

1 – Le réchauffement climatique

La fin du XXème siècle a confronter la Terre à un réchauffement climatique notable, inutile de le nier, les données observées en sont les garantes mais cet événement remarquable était-il si inédit qu’on bien voulu nous le faire croire les premiers rapports du GIEC ?

Je vous ferai grâce des différentes affaires ayant émaillé cette période, plutôt noire pour la communauté scientifique, pour m’en tenir aux faits scientifiques. Donc, unique ou récurrent ? Récurrent de la variabilité du climat semble s’imposer à notre logique, sur le seul siècle passé, la copie conforme de notre réchauffement climatique s’est produite.Voici deux courbes d’anomalies de températures, issues du même organisme et du même siècle ( le XX ième ) … cela se passe de commentaires.

 

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On pourrait remonter le temps pour s’apercevoir que le climat de la Terre n’a rien d’un long fleuve tranquille et que la stabilité n’est absolument pas la norme, la succession de réchauffements et de refroidissements en est le fondement. En premier lieu sur la base de cycles millénaires (ères glaciaires et interglaciaires ), puis sur la base de cycles séculaires ( cycle de Eddy, par exemple ) et sur la base de cycles décennaux ( voire annuels, PDO, AMO, etc .. ), l’histoire est marquée de ce genre de fluctuations, plus ou moins intenses et plus ou moins longue ( on peut rajouter les changements climatiques brutaux, tels que les événements de Heinrich ).

 

 

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2 – La stagnation des températures

Suivant les organismes, Hadcrut, NASA, Giss, RSS, UAH, etc … les données font le consensus sur une stabilisation des anomalies de températures depuis au minimum le début du XXI ième siècle, on ne va pas chercher à être plus précis que la quinzaine d’années, cela n’apporte rien au débat ( quoi que … pour les pinailleurs,15 ans ne seraient pas suffisants pour définir une tendance, bien que 10 années de réchauffement a suffi pour crier au loup … passons, c’est ainsi )

 

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Vous remarquerez l’écart d’anomalies entre les différentes agences, ce n’est dû qu’aux choix de périodes de références différentes ( l’OMM avait préconisé de s’en tenir à la période 1981/2010 ), le problème résidant, par la suite, de confronter ces différentes données ( le GIEC a une préférence pour GISS … on se demande bien pourquoi ? )

Je vous livre les données avec du recul sur le siècle précédent, pour une meilleure lisibilité, j’aurais aisément pu m’en tenir au années 2000/2013 pour marquer la stagnation mais je tiens à rester objectif.

3 – L’élévation du niveau des océans

Les données sont assez contradictoires, pour le GIEC cette élévation serait de 3 mm/an avec pour 1/3 de dilatation thermique ( due au réchauffement climatique ),1/3 de fonte des glaciers ( continentaux ) et …. pour au moins 40 % ,de la fonte de la calotte glaciaire du Groenland et de la péninsule ouest de l’Antarctique ( cette fonte serait en très forte accélération ) … ces données proviennent de J. Jouzel ( vice président du GIEC ) … qui semble avoir plus de facilité avec la communication qu’avec les mathématiques : 33 % + 33% + 40 % minimum = 106 % !!!!

http://www.thinkovery.com/

Suivant des études récentes (ne faisant pas parties du « cherry picking » : NDR. Façon de choisir les informations qui tendent vers le but désiré ), cette élévation ne serait, en fait, que de 1,3 mm par an .

4 – L’Arctique et l’Antarctique

Après les déclarations du Dr Maslowski sur la BBC en 2007,faisant suite au record de disparition de glace de mer arctique, affirmant qu’en 2013 le pôle nord serait libre de glace, il est de bon ton de constater que les projections les plus pessimistes sont restées lettres mortes. Certes 2012 fut catastrophique mais ce surplus de glace de mer perdu n’était dû qu’à une extraordinaire tempête comme en connaît l’Arctique régulièrement chaque été boréal. L’année 2013 retient notre attention par une perte de glace de mer la moins élevée depuis l’ère des relevés satellites même si à son minimum, elle reste la 6ème la plus basse en surface, bien entendu, il faudra plusieurs années pour vérifier si la tendance s’inverse ( à noter que la décision a été prise de changer les méthodes de calcul pour la surface de la banquise … cette opération fait perdre 250 000 km2 de surface à la banquise !!! ), toujours est-il que l’été boréal a été bien plus froid que les précédents, avec une température moyenne au delà de 80° de latitude sous les moyennes (1981/2010).

 

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L’Antarctique n’a pas fait la une des journaux et pour cause … cette année a vu la banquise battre tous les records de surface … il n’y a rien à rajouter là dessus.

 

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On va passer rapidement sur les effets d’annonces, tels que : « La calotte glaciaire du Groenland fond entièrement » en 2012 ( annonce de la NASA , dessin à l’appui !! ).

 

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Pour une correction, bien plus tard, sur le fait qu’il ne s’agissait que de la surface de contact avec l’atmosphère ( sur quelques mm ), en pleine journée ensoleillée et à un moment X !!!

5 – Les événements extrêmes

Que dire, si ce n’est que l’on se retrouve, là, avec les plus grandes erreurs du GIEC (avec les projections modélisées des précédents rapports ). En dehors de phrases convenues et qui n’ont aucun sens scientifique, du genre il y a eu, et il y aura des canicules chaque année mais impossible de les situer car le climat est très mouvant …. on peut juste dire que les tendances des différents événements extrêmes ne sont pas à la hausse comme prévu par le GIEC … bien au contraire.

– les ouragans et tempêtes (cette saison est très représentative avec aucun ouragan sur l’atlantique !! ) sont en diminution sensible et ce au niveau global .Le continent américain ( côte est ) n’a plus été touché par un ouragan > ou = à une force 3 depuis katrina.

 

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– les sécheresses et inondations. Guère de variations ont été observées au cours de ces dernières années.

http://www.nature.com

– les tornades. Si on a remarqué une recrudescence de ce genre d’évènements en Europe (tornades et trombes), côté USA, la tendance est à la baisse également.

 

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– tempêtes de neige et grands froids. 2013 a connu l’un des plus forts enneigement global enregistré ( avec 2008 et 2010 ), les cinq derniers hivers, dans l’hémisphère nord ( surtout côté vieux continent ) ont connu des températures plus basses que les moyennes.

 

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6 – Raisons des errances du GIEC

A sa création, en 1988, le GIEC était une bonne idée, pleine de « bons sentiments », quoi de plus valorisant que de voir le monde se lier pour trouver une solution à ce qui faisait monter la crainte chez tous les hommes : le réchauffement climatique. Effectivement, les températures moyennes augmentaient et ce, en parfaite corrélation avec l’augmentation de la concentration de co2 … le coupable était là, sous nos yeux … le co2 anthropique. Bien que des désaccords existaient entres les scientifiques (forçages radiatifs et modulations des anomalies de températures ), il semblait que le consensus était quasi intégral. Tout le monde y trouvait son compte, les scientifiques, le GIEC, les décideurs et le quidam … jusqu’aux premières études contradictoires, qui, non seulement mettaient à mal le GIEC (et sa batteries d’employés bénévoles !! ) mais également les politiques environnementales des pays souscripteurs financiers de ce dernier. Trop d’argent en jeu (à venir et déjà dépensé) pour faire marche arrière … d’où le climagate qui à permis de découvrir les falsifications, les petits arrangements et autres magouilles sur les données (Mann et Hansen pour ne citer qu’eux ). La politique avait pris le pas sur la science … pour ne plus lâcher le morceaux, avec l’appui du lobbying de toute sorte. Aujourd’hui, l’embarras provient de la dissociation co2 / températures qui détruit purement et simplement le fond de commerce sur laquelle il était basé … des théories plus ou moins farfelues ont vu le jour pour tenter de justifier la stagnation des températures, le GIEC lui-même conseille aux décideurs de passer sous silence cette dernière … pourquoi pas ? mais à l’heure d’internet … peine perdue. Je vous passe des extraits d’un site qui donne la parole à des scientifiques connus et reconnus .

Judith Curry

« « Les causes nobles,

« Les scientifiques peuvent, ou bien biaiser subtilement leurs recherches dans le sens des préoccupations des politiques publiques environnementales ou bien ils peuvent opérer activement dans le sens de la suppression des éléments de preuve, et, dans certains cas, ils peuvent agir de manière préventive en inventant des éléments de preuve destinées à discréditer leurs opposants. »[…]

« Cette année, j’ai eu l’occasion d’observer un exemple frappant de ce que je viens de dire. Un de mes collègues envisageait de publier un article qui remettait en question l’interprétation de la pause précédente qui allait des années 1940 aux années 1970. Mon collègue a envoyé une présentation Powerpoint sur ce sujet à trois collègues, chacun d’entre eux étant un scientifique expérimenté et très respecté et aucun d’entre eux ne s’était particulièrement signalé en matière d’activisme sur le sujet du changement climatique (je ne donne pas les noms pour protéger les innocents/coupables).

Chacun de ces scientifiques a fortement conseillé à mon collègue de NE PAS publier son article car cela pourrait seulement fournir des arguments aux sceptiques. (Note : Mon collègue n’a pas encore publié son article mais pas parce qu’il a été découragé par ces collègues).

Ce qui est en question ici est un conflit entre la micro-éthique de la responsabilité individuelle pour une conduite responsable de la recherche et des questions éthiques plus vastes, associées au bien-être du public et de l’environnement. La plupart des exemples de ce type sont en relation avec la suppression des éléments de preuve en y incluant des tentatives pour asphyxier les recherches effectuées par les sceptiques (en particulier leurs publications et leur dissémination dans le domaine public). Les courriels du Climategate en ont fourni de nombreux exemples. »

Dans le cours de son billet sur ce sujet, Judith Curry rappelle des extraits édifiants de ses propres écrits antérieurs : source http://www.pensee-unique.fr

« Ces scientifiques étaient-ils des chercheurs assidus faisant de leur mieux pour répondre aux attentes impossibles des décideurs ? Oui, beaucoup d’entre eux l’étaient.
Cependant, au cœur du GIEC, il existe un corps de scientifiques dont les carrières ont été faites par le GIEC. Ces scientifiques ont utilisé le GIEC pour passer par dessus le processus normal de la méritocratie grâce auquel les scientifiques acquièrent de l’influence auprès des décideurs qui œuvrent pour la politique de la science. Non seulement cela a propulsé un certain nombre de personnes assez peu connues, inexpérimentées et même peut-être douteuses, dans des situations influentes, mais ces personnes se sont investies dans la protection du GIEC, lequel est devenu vital pour leurs propres carrières et a légitimé leurs jeux politiques sur la base de son expertise.
Quand je fais allusion au dogme du GIEC, c’est à l’importance religieuse que le GIEC représente pour ce corps de scientifiques. Ceux-là ne toléreront aucun désaccord et ils chercheront à écraser et à discréditer quiconque remet en question le GIEC. Certains sont des scientifiques de niveau moyen, à mi-carrière ou en fin de carrière, qui ont dit adieu au processus de méritocratie académique. D’autres n’étaient encore que des étudiants doctorants lorsqu’ils ont été recrutés comme auteur principal pour le GIEC. Ces scientifiques ont utilisé le GIEC pour obtenir un siège à la « table des grands » où ils peuvent jouer à la politique avec les organes de pouvoir en utilisant l’expertise collective du GIEC afin d’obtenir une renommée personnelle et pour faire progresser leurs propres carrières. Cette progression de leurs carrières se fait avec la complicité des sociétés professionnelles et des institutions qui financent la science.
Avides de publicité, des journaux à fort impact comme Nature, Science et le PNAS publient fréquemment des articles sensationnels mais douteux qui contribuent à l’histoire de l’alarme climatique. » »

Mike Hulme

« L’établissement du consensus par le GIEC ne représente plus un critère primordial pour les gouvernements comme [l’est] une analyse complète des incertitudes. A défaut d’une explication précise de ce que ceci signifie, la tendance au consensus peut rendre le GIEC vulnérable aux critiques extérieures. Les affirmations telles que ‘2500 des meilleurs scientifiques du monde sont parvenus à un consensus sur le fait que les activités humaines ont une influence significative sur le climat’, sont fallacieuses. Ce jugement particulier relatif au consensus, comme beaucoup d’autres dans les rapports du GIEC, n’est obtenu que par seulement, quelques douzaines d’experts dans le domaine particulier des études de la détection et des attributions. Les autres auteurs du GIEC sont experts dans d’autres domaines. « 

Richard Lindzen

« Bien qu’étant une démarche bénéfique, la science, en tant qu’institution, est toujours problématique. Charles Darwin a souvent fait part de sa gratitude d’avoir pu être un gentleman scientifique dépourvu du besoin de dépendre d’une affiliation institutionnelle. Malheureusement et dans la réalité, le gentleman scientifique n’existe plus. Même au cours du XIXè siècle, la plupart des scientifiques avaient besoin d’affiliations institutionnelles et, de nos jours, la science a inévitablement besoin de financements externes. Dans certains domaines, y compris en climatologie, c’est le gouvernement qui a le monopole de ce financement.

L’accroissement des budgets est activement recherché, mais l’augmentation des budgets pousse les scientifiques ainsi que les administrations des universités et les bureaucraties gouvernementales, à rechercher des sources financières pérennes. La sphère publique contribue avec sa dynamique propre, au processus scientifique et de manière plus importante lorsqu’il s’agit de couplage de la science avec des questions politiques. Ceci constitue un élément crucial du problème climatique mais des exemples comparables ont existé dans d’autres domaines jusque dans l’eugénisme et l’immigration et dans le Lysenkoïsme et l’agronomie.

Bien qu’il existe de multiples raisons pour lesquelles quelques scientifiques peuvent désirer introduire leur champ de recherche dans la sphère publique, les cas décrits dans cet article apparaissent plutôt comme des cas où ceux qui ont des objectifs politiques ont trouvé utiles d’utiliser la science. Ceci implique immédiatement une distorsion de la science à un niveau très basique, c’est à dire que la science devient une source d’autorité plutôt qu’une méthode de recherche. L’utilité réelle de la science provient de cette dernière. L’utilité en matière de politique relève de la première.

Pour que la science soit politiquement utile, il faut que plusieurs éléments soient réunis :

  • De puissants groupes de pression affirmant représenter, à la fois, la science et la sphère publique au nom de la morale et d’un savoir supérieur. 
  • Des descriptions simplistes de la science sous-jacente de manière à faciliter une « compréhension » très répandue. 
  • Des « événements », réels ou imaginaires, interprétés de telle manière qu’ils promeuvent le sentiment de l’urgence dans le grand public.
  • Des scientifiques flattés d’obtenir l’attention du public (y compris avec des soutiens financiers) et complaisants vis à vis de la « volonté des politiques » ainsi que de la reconnaissance publique de leur caractère vertueux. Ainsi que, Un nombre significatif de scientifiques désireux de produire de la science réclamée par le « public ».

 

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Ces éléments ne sont pas réellement indépendants. De fait, ils interagissent de manière importante. (Voir la Figure 1).

Le processus illustré par cette figure n’est pas destiné à expliciter un quelconque abus de la science mais plutôt de démontrer pourquoi le système est vulnérable vis à vis des abus.

Les scientifiques dont les domaines sont éloignés de la science climatique sont encouragés à obtenir une part des financements.

Par exemple, une dotation de 197.000 a $ été attribué à un psychologue qui avait écrit que « le changement climatique représente un défi moral pour l’humanité et un de ceux qui suscitent un degré élevé d’émotion. Ce projet étudie comment les émotions et la moralité influencent la manière dont le public reçoit et fait passer le message du changement climatique, et il le fait dans la perspective de développer des stratégies applicables et concrètes pour amorcer un changement positif. »
[…]
Les conséquences du Triangle de Fer impliquent l’ascension des médiocres politiquement corrects ou des incompétents tels que T.D. Lysenko ce qui est inévitable compte tenu de l’incapacité du public à juger de la science. Malheureusement, souvent, ceci pousse des scientifiques de meilleure qualité à rejoindre le groupe dans le but de préserver leur statut. Les activistes exagèrent grossièrement les résultats afin de promouvoir leur cause. Une focalisation obsessionnelle sur des sujets sans intérêt ou des aspects déconnectés, se met en place. Une dégradation profonde du niveau de la discussion (y compris avec l’abdication de la logique) interagit avec l’ascension des incompétents (NdT : Dans sa conférence orale, Lindzen a donné des exemples (et des noms) de ces derniers, parmi les plus connus de la climatologie mainstream ainsi que quelques explications complémentaires à ce sujet) »
[…]

J’irai de mon petit mot … pour rire

Le GIEC me fait penser aux trois singes de la sagesse,Mizaru qui ne vois pas ce qu’il ne faut pas voir,Kikazaru qui n’entend pas ce qu’il ne faut pas entendre et enfin Iwazaru qui ne dit pas ce qu’il ne faut pas dire … ou comment faire l’autruche … la symbolique prend un sacré coup de pied où je pense !!!

Conclusion : Pour ceux qui avaient encore des doutes sur le bien fondé de notre démarche sur « La terre du futur » et notre capacité à rester objectifs,sérieux et scientifiquement crédibles … je vous laisse méditer sur cet article,concocté par un ignare sans diplôme … qui vous offre un papier que vous serez à même de comprendre … A bon entendeur !

Cartésien66.

Article Exclusif de la Terre du Futur pour répondre aux interrogations de ceux qui doutent. Discussion en cours dans les forums de la Terre du Futur ICI

Trouvé sur La Terre du Futur

 

Voilà pour l’info

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Etincelle

LES BALEINES BLANCHES, DES SPECIMENS MYSTERIEUX ET PARTICULIREMENT RARE

 

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Migaloo, ce nom ne vous dit peut-être rien, pourtant, il est particulièrement connu chez les amoureux des baleines. Car Migaloo est actuellement la seule baleine à bosse totalement blanche connue. Non, elle n’est pas sortie des pages de Moby Dick, mais elle a déjà suscité de nombreuses interrogations. D’où vient sa couleur blanche ? Est-elle la seule dans ce cas ?

 

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Aperçue pour la première fois en 1991, Migaloo a, depuis, fait de nombreuses apparitions sur les photos d’amateurs. Mais, telle une diva, ses spectacles ne sont pas faciles à dénicher. Photographiée cet été aux alentours de la Grande Barrière de Corail, en Australie, Migaloo est la seule baleine entièrement blanche jamais observée

Quatre baleines blanches observées

Depuis 22 ans, les scientifiques ont eu le temps d’étudier Migaloo, qui montre un comportement particulièrement social. En 1998, ils ont ainsi déterminé à partir de son chant que Migaloo est une baleine mâle. En effet, seules les baleines à bosse mâles produisent des chants mélodieux. Son sexe a ensuite été confirmé par l’étude d’échantillons de peau prélevés en 2004. Selon les estimations des chercheurs, le cétacé aurait actuellement entre 25 et 27 ans, précise le Smithsonian Mag.

Les baleines à bosse blanches sont particulièrement rares. En effet, à part celle-ci, seules trois autres baleines ont été repérées. Willow se déplace dans l’océan Arctique. Elle a été vue pour la première fois en 2012 au large des côtes de la Norvège. Bahloo, partage le territoire de Migaloo, dans la Grande Barrière de Corail et a été aperçue en 2008. Mais plus timides que Migaloo, les deux baleines ne sont pas totalement blanches puisqu’elles possèdent des taches noires.

Ces dernières aident notamment les chercheurs à identifier les baleines puisqu’elles sont uniques pour chaque animal, blanc ou non. La troisième baleine est en fait un baleineau, repéré en 2011 près des récifs de la Grande Barrière. Surnommée Migaloo Junior, il se peut qu’elle soit le petit de Migaloo. Un échantillon ADN sera nécessaire pour comparer les deux profils génétiques.

Il existe probablement d’autres baleines blanches, mais elles se font discrètes puisqu’elles ne sont encore apparues sur aucune photo.

D’où vient cette couleur blanche ?

Albinisme ou non ? Les scientifiques sont encore indécis sur la réponse. Si la plupart des sources décrivent les baleines comme albinos, cette affirmation est loin d’être simple à vérifier. L’albinisme est due à une mutation génétique. Chez les spécimens atteints, la protéine tyrosinase, responsable de la production de mélanine qui donne à la peau sa couleur, est absente ou endommagée. Les personnes ou animaux albinos ne possèdent donc pas du tout de mélanine. Ils sont blancs, parfois roses, de la tête aux pieds et les yeux sont rouges ou violacés.

En revanche, concernant les baleines, il est certain que ni Willow ni Bahloo ne sont albinos. En effet, elles possèdent plusieurs taches noires sur le corps, marquant la présence de mélanine. Elles seraient donc plus probablement atteintes de leucistisme. Liée à un déficit des cellules pigmentaires, cette condition se caractérise par une couleur blanche sur toute la surface ou certaines zones du corps. En revanche, les iris sont pigmentés de façon normale même s’ils sont souvent plus clairs.

Pour Migaloo, le cas est plus compliqué car il est totalement blanc. Néanmoins, les chercheurs penchent également pour du leucistisme. La baleine n’a les yeux ni blancs, ni roses, mais marrons, comme ses congénères. Migaloo pourrait également être un cas extrême hypopigmentation, où la peau perd sa coloration habituelle.

Grâce aux échantillons, les scientifiques devraient en découvrir un peu plus plus sur les caractéristiques génétiques de Migaloo. Mais Megan Anderson, de la Southern Cross University, prévient tout de même que « le processus de test pour le gène de l’albinisme chez cette baleine à bosse sera long et complexe car il n’a jamais été réalisé auparavant ».

Des troubles qui touchent aussi d’autres animaux

À noter que cette couleur blanche n’est pas exclusive aux baleines à bosses. En effet, plusieurs autres espèces avec la même teinte ont déjà été observées. Au début du mois d’août, des surfeurs ont pu repérer le petit d’une baleine franche, complètement blanc. En avril 2012, c’est un orque blanc qui avait été aperçu alors qu’un dauphin entièrement rose est connu des chercheurs depuis plusieurs années. L’albinisme et le leucistisme touchent de nombreux autres animaux comme les lions, les tigres, les pingouins, les lémuriens, les gorilles…

En savoir plus:

http://www.maxisciences.com/baleine/les-baleines-blanches-des-specimens-mysterieux-et-particulierement-rares_art30857.html

Trouvé sur Gentside

Voilà pour l’info

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Etincelle

VACCINS : MAIS ALORS ON NOUS AURAIT MENTI! L’AVIS D’UN AVOCAT

 

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Maître Jean-Pierre JOSEPH :
Est avocat au Barreau de Grenoble.
À été chargé de cours de Droit comparé à l’Université de Glasgow, dans les années soixante-dix, puis président de Maison pour tous de quartiers dits « sensibles » pendant 10 ans, et animateur bénévole de quartier. Il est un des fondateurs de la 1re expérience d’autogestion d’un Centre socioculturel en 1973, avec baisse de plus de 70 % de la délinquance sur un quartier

 

Est l’auteur des ouvrages suivants :

  • Le show business français, un État dans l’État (Éditions les cahiers de la pensée sauvage)
  • Améliorer notre santé par une méthode qui ne coûte rien
  • Les radis de la colère (Éditions Louise Courteau).

VACCIN, mais alors on nous aurait menti ?
Ils sont inefficaces, nous rendent malades, détruisent notre immunité naturelle, mais ils sont obligatoires

Par Maître Jean-Pierre JOSEPH
Édition Poche Vivez Soleil, NOUVELLE ÉDITION parue à TESTEZ ÉDITIONS

Est instructeur fédéral de karaté, diplômé de la Fédération française de karaté (F.F.K.A.M.A.), membre du jury des grades de la ligue Dauphiné-Savoie de la F.F.K.A.M.A.

Est parti en urgence en République d’Haïti en janvier 2001, et a été le 1er avocat français à être autorisé, depuis l’indépendance de 1804, à plaider devant une Cour d’Assises haïtienne, pour défendre le navigateur grenoblois, accusé de meurtre sur sa femme qui, en fait, s’était suicidée. Après une semaine d’un procès médiatisé (TF1, Le Figaro, Paris-Match, etc.), à la suite duquel le navigateur fut acquitté, Jean-Pierre JOSEPH, qui n’avait aucun vaccin et qui n’a pris aucun traitement préventif contre le paludisme, est revenu criblé de piqûres de moustiques, et n’a pas été malade.

Cet ouvrage se contente de rassembler des dizaines de citations scientifiques et professionnels de la santé. Aucun d’entre eux ne faisant partie de la moindre secte, ce livre ne contient donc, ni procédé hypnotique, ni virus décérébrant. Il peut être lu sans crainte…

 DE GRAVES INTERROGATIONS :

  •  Les vaccins contiennent des l’hydroxyde d’aluminium à des doses 30 fois supérieurs au seuil toxique, du sérum de veau, des cellules cancérisée, et des dérivés du mercure. Ils sont responsables de milliers de maladies neurologiques graves, sclérose en plaques, encéphalites, morts subites du nourrisson… Le personnel des hôpitaux, les rares fois où il fait la relation de cause à effet entre le vaccin et la maladie, aurait la consigne de ne rien dire aux familles.
     Depuis 1994 les substances d’origine bovines sont interdites dans les produits pharmaceutiques. Or, le B.C.G. est fabriqué à partir de la bile de bœuf. Ainsi la Loi nous oblige à administrer à nos enfants des produits qu’elle interdit par ailleurs !…
  • Bien plus, la Loi oblige avant tout acte vaccinal, de prendre « toutes les précautions », c’est-à-dire de procéder à) des examens destinés à dépister d’éventuels risques graves pour chaque individu. Mais seuls les vétérinaires le font pour les animaux !…
  • Ces risques valent-ils la peine d’être courus ? Depuis un siècle, à chaque campagne de vaccination, tant en Europe qu’en Afrique ou en Asie, le nombre de cas de la maladie que l’on combattait s’est toujours multiplié par 4, voire par 6 dans les mois qui ont suivi (variole aux Philippines en 1918, polio en France en 1956, récemment méningite en Afrique, etc.).
  • Pourquoi nous l’a-t-on caché en nous faisant croire le contraire ? Quand les épidémies s’arrêtent (comme elles l’ont toujours fait dans l’histoire de l’Humanité), l’on crie alors victoire, en attribuant cela au vaccin.
  • Si au Moyen Âge, au plus fort des épidémies de peste et de choléra, un alchimiste avait distribué de la bave de crapaud à toute la population, lorsque celles ci se sont arrêtées (car toutes les épidémies se sont arrêtées naturellement) tous les survivants auraient cru avoir été sauvés grâce au produit !
  • Le chien qui avait mordu le petit alsacien « sauvé » de la rage par Pasteur, avait aussi mordu tout la famille, qui n’a été ni vaccinée, ni malade. Mais alors, on nous aurait menti ? Mais pourquoi donc ? Quel hasard ! La France est un des plus gros pays producteurs de vaccins du monde !
  • 11 pays en Europe ont abandonné l’obligation vaccinale. En France, on ne connaît même par cette information. Comme par hasard chez nous, le vaccin est une religion (ensemble de « vérités » que, par définition, l’on s’interdit de vérifier). François Mitterrand n’a-t-il pas dit : « La santé des Français est une marchandise qui se vend… ».

 

AVANT-PROPOS

Il y a encore quelques années, je ne connaissais rien du tout à la question des vaccinations : certes, le simple fait de n’avoir été vacciné que contre la variole, générait chez moi une inquiétude permanente, tempérée par le fait qu’au cours des 30 ans pendant lesquels j’ai étudié, puis enseigné les arts martiaux, les experts asiatiques que j’avais pu rencontrer, m’avaient toujours indiqué qu’il fallait se méfier des vaccins, mais je ne savais pas pourquoi. Ils ajoutaient que dans les arts martiaux traditionnels, l’être humain est capable de maintenir un taux vibratoire élevé, et ne craint donc pas les maladies.

J’avoue qu’à l’époque, j’étais un peu sceptique et j’eus de grandes hésitations, lorsque j’entendis parler d’un « danger de contamination par l’hépatite B ».

Un jour, je fus amené à défendre un groupe d’anciens universitaires grenoblois, qui s’étaient retirés à la campagne afin d’appliquer une méthode vieille de plusieurs millénaires, leur permettant de produire de l’agriculture biologique géante à haut rendement, sans engrais chimiques, sans pesticides ni insecticides. Cette méthode qui ne coûtait rien permettait d’avoir la même rentabilité à l’hectare que si l’on utilisait massivement des engrais chimiques. Mais c’était du bio, et vraiment délicieux !
Cette expérience quasi-unique en Europe aboutit immédiatement au fait que ce groupe fut classé secte, fut l’objet de procédures judiciaires hallucinantes, de reportages de télévision honteusement truqués, de faux témoignages, à tel point que j’ai écrit Les radis de la colère (Éd. Louise Courteau).

Cet ouvrage mentionne, notamment, une affaire que j’appelle « le vrai-faux tétanos », dans laquelle un hôpital, harcelé par la « psychose imbécile anti-sectes » qui sévissait à ce moment-là, a diagnostiqué un tétanos, alors qu’il est clair que l’enfant avait simplement fait une grosse réaction allergique à une piqûre de tique. Certains journalistes, qui avaient écrit sans savoir qu’un enfant « était mort du tétanos dans la secte », furent étonnés de le voir gambader par la suite, dans les prés… Mais ces journalistes ne manifestèrent aucun étonnement, en marchant sur des fraises qui poussaient sous des flocons de neige, ou en voyant des plantes qui ne poussent habituellement que dans les régions tropicales.
Mais ce qui m’étonna le plus fut tout d’abord l’absence totale des mouvements écologistes au soutien de ces gens là, qui, dans la région Rhône-Alpes, faisaient de la véritable écologie, à la différence de ceux qui en parlent, mais qui n’en font jamais. Je n’ose pas croire qu’eux aussi, aient pu adhérer à la psychose imbécile…

Le 2e objet de mon étonnement fut ensuite qu’à l’occasion de cette affaire de « vrai-faux » tétanos, je découvris que non seulement le problème des vaccins était très controversé, mais qu’en plus l’existence même de la controverse était totalement absent de tous les débats concernant la Santé Publique.

40 ouvrages étaient déjà accessibles à tous, dans les librairies ou dans les FNAC, et un silence total recouvrait notre pays, comme si ce sujet était interdit. Alors je décidais de mettre les pieds dans le plat, en rassemblant des citations extraites de ces 40 ouvrages. Sachez que je n’ai rien inventé. Je me suis contenté de rassembler tout ce qui a été écrit sur ce sujet par des dizaines de professionnels de la santé. Vous verrez que finalement, ce sont eux qui mettent les pieds dans le plat, pas moi. Quoique…

J’ai toujours mis les pieds dans le plat, lors de ma scolarité : je ne le faisais pas exprès, mais je répondais naïvement aux reproches, et ce que je disais déclenchait souvent la consternation, voire la colère.

Un jour le médecin scolaire, voyant que je n’étais pas vacciné contre la polio (dans ma vie, je n’ai eu qu’un seul vaccin : l’antivariolique), me dit : « Libre à toi d’attraper la maladie, mais ce qui est grave est que tu risques de contaminer tes camarades… ». Très naïvement je lui demandais : « Comment pourrais-je les contaminer, puisqu’ils sont vaccinés ? ».
Ce n’est pas la paire de claques que j’ai reçue à ce moment-là qui m’a marqué le plus, mais son air consterné, presque effrayé. Je crois que c’est ce jour-là que j’ai décidé qu’à l’avenir je serai toujours insolent, d’autant plus que, les années suivantes personne ne me reparla des vaccins…
Toutefois, ce n’est que 40 ans plus tard que j’ai compris pourquoi mes camarades qui ont eu la polio, étaient pourtant vaccinés, et pourquoi je ne l’ai pas eu, alors que je ne l’étais pas.

Quand j’étais en Première, au Lycée de Guebwiller, un prof d’Histoire-géo, un comme on n’en trouve plus de nos jours, un qui nous faisait réellement aimer ce qu’il enseignait, nous précisa un jour :

« De nombreuses vérités sont fausses. Mais ceux qui le disent sont pourchassés, même en Démocratie.

Au début du siècle, l’Académie de Médecine déclarait qu’au-delà de 100 km/h. un organisme humain ne résisterait pas. C’était une Vérité, et tout étudiant en médecine prétendant le contraire avait zéro.
L’Académie des Sciences indiquait également que le plus lourd que l’air ne pourrait jamais voler. Il était donc inutile de donner des crédits à la recherche sur les « aéroplanes » (futurs avions). L’avenir était les ballons et les dirigeables. Enfin l’électricité ne serait qu’un lamentable gadget et ne servirait jamais à rien.

Souvenez- vous de cela, et sachez que ces imbéciles ont aujourd’hui des successeurs aux mêmes postes, et qui ont le même talent… ».

Aujourd’hui, des lois spéciales interdisent de parler de tel ou tel sujet, ou de remettre en cause certaines vérités historiques. Pourquoi avoir eu besoin de textes, alors qu’une démocratie devrait savoir gérer l’expression de toutes les opinions ?

J’ai bien peur que dans peu de temps, l’on n’ait même plus le droit d’écrire un livre comme celui que vous avez actuellement sous les yeux.
Déjà l’on n’a pas le droit, par exemple, d’inciter ses concitoyens à ne pas payer ses impôts, ou ses cotisations sociales. On n’a pas le droit de déclarer publiquement que l’on est pour la consommation de drogue. Comme si ceux qui écoutaient les rares qui ont encore quelque chose à dire, n’étaient plus majeurs.

Après tout c’est peut -être vrai. L’on est en train de faire de nous des veaux.
Mais le jour où je n’aurai même plus le droit d’écrire un tel livre, j’irai demander l’asile politique soit en R.F.A. (ce qui devrait m’être accordé facilement, vu que mon grand-père fut sujet allemand jusqu’en 1918, année où la France récupéra l’Alsace-Lorraine), soit en République d’Haïti, où, lors de mon séjour, les étudiants en Droit, dont une délégation était venue me rencontrer me déclarèrent : « La différence entre nos républiques, que vous appelez bananières, et les vôtres, est que chez nous le principe est « ferme ta gueule, tu n’as pas le droit de parler. .. » ». Cela a le mérite d’être clair.
Chez vous le principe est « Cause toujours… ».

« Une population malade rapporte plus d’argent au système dit de santé publique qu’une population en bonne santé »

INTRODUCTION

Près de 2000 personnes souffrent actuellement de graves maladies neurologiques, ou sont décédés, et les victimes (ou leur héritiers) accusent le vaccin contre l’hépatite B (Eric GIACOMETTI, La santé Publique en otage, Ed. Albin Michel).

Des plaintes pour empoisonnement et administration de substances nuisibles à la santé ont été déposées, notamment à l’encontre de ceux qui ont obligé les victimes à recevoir un vaccin tant inefficace que dangereux. Elles sont actuellement centralisée chez un Juge d’Instruction à Paris.

Malheureusement, une étude approfondie de cette question, montre que tous les vaccins sont concernés, et pas seulement celui contre l’hépatite B.

Alors que la quasi-totalité des pays d’Europe a supprimé les vaccins obligatoires, la France (1er pays producteur mondial de vaccins), en a maintenu 4, malgré les protestations de millions de scientifiques de tous bords, criant à l’empoisonnement collectif, devant leur dangerosité, et surtout leur inefficacité.

Voilà plus de 20 ans, que des médecins, biologistes, etc., du monde entier, tentent d’alerter les pouvoirs publics pour leur donner des informations extrêmement graves concernant les vaccins :

  •  Des épidémies de coqueluche aux U.S.A. ont atteint des centaines d’enfants vaccinés contre la coqueluche,
  •  Des épidémies de polio dans le monde entier ont touché des milliers de personnes, pourtant correctement vaccinées,
  •  En 1993, 100 infirmières des Hôpitaux de Paris, atteintes de tuberculoses, avaient toutes reçu le B.C.G. …

Des scientifiques du monde entier semblent dire aujourd’hui :

  •  Que les produits appelées « vaccins » seraient totalement inefficaces,
  •  Qu’ils seraient dangereux, responsables de scléroses en plaques, encéphalites, méningites, maladies neurologiques:
  • Fabriquée avec du sérum de veau, des cellules cancérisées, et de l’hydroxyde d’aluminium, à des doses 30 fois supérieurs au seuil maximum de toxicité, ainsi que de dérivées du mercure, ils ont pour effet général de baisser nos défenses immunitaires, et pourraient être liées à l’apparition du Sida.
  •  Que souvent, même, ils nous transmettraient les maladies qu’il sont censés prévenir !
  •  Que l’on nous aurait menti depuis 50 ans au moins, pour des raisons sordides et honteuse, en nous faisant croire, notamment que les vaccins auraient enrayés les épidémies.

Or, il semblerait que l’arrêt des épidémies n’ait rien à voir avec les campagnes de vaccination.

Ainsi, 1200 personnes ont été victimes de la Polio en France, en 1956, année où la campagne de vaccination a débuté. Et en 1957, la France a connu plus de 4000 cas.

Personne, d’ailleurs, n’est capable d’expliquer pourquoi les épidémies de peste et de choléra du Moyen Âge, de suette picarde (qui a sévi de 1718 à 1906), et plus récemment, de scarlatine, se sont arrêtées sans vaccin, et sans décimer toute l’humanité…

Depuis  http://rustyjames.canalblog.com/

Trouvé dans La Presse Galactique

 

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LE PRESIDENT D’EQUATEUR APPELLE A UN BOYCOTTAGE DE CHEVRON

 

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La compagnie a été condamnée à payer 13,5 milliards d’euros. En vain…

Rafael Correa hausse le ton. Le président d’Equateur a appelé mardi à un boycottage mondial du géant pétrolier américain Chevron, en litige avec le gouvernement de Quito pour un cas de pollution en Amazonie.

«Un des pires désastres environnementaux»

«Les outils que nous allons utiliser pour combattre Chevron sont la vérité et l’appel solidaire aux citoyens du monde à ne pas acheter les produits de Chevron», a annoncé Rafael Correa, en lançant une campagne contre la multinationale depuis Aguarico, une localité de la province de Sucumbios (nord).

«C’est un des pires désastres environnementaux de la planète», a clamé le chef de l’Etat, exhortant aussi les actionnaires de Chevron à ne pas être complices et à «vendre leur actions».

Rafael Correa a symboliquement plongé la main dans une des mares de brut laissées à l’abandon dans cette région amazonienne et dont l’Equateur attribue la responsabilité à la compagnie Texaco, acquise par Chevron en 2001. Baptisée «la main sale de Chevron», la campagne a aussi pour objectif d’attirer sur place des personnalités mondiales telles que des prix Nobel de la paix ou des vedettes engagées du cinéma et de la musique.

 

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Les tribunaux internationaux ont été saisis

La compagnie américaine a été condamnée en 2011 par la cour de de Sucumbios à une amende record de 9 milliards de dollars dont le montant a été confirmé l’année suivante en appel, puis doublé au motif que l’entreprise n’avait pas présenté ses excuses. Toutefois Chevron récuse cette décision et a saisi des tribunaux internationaux, invoquant l’absence de preuves scientifiques ainsi que la corruption d’un magistrat équatorien. Selon la compagnie américaine, les dégâts environnementaux ont été provoqués par la compagnie d’État équatorienne Petroecuador.

«Pour économiser quelques dollars, Chevron a utilisé les pires techniques d’extraction. Il y a près de 1.000 piscines comme celle-là dans notre Amazonie», a encore dénoncé Rafael Correa lors de sa visite. «Elles n’ont jamais été traitées, seulement dissimulées sous une couche de terre pour tromper l’Etat équatorien», a poursuivi le chef d’Etat socialiste, connu pour ses positions critiques envers les États-Unis et les multinationales.

 

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«J’ai vu mourir dix personnes»

A l’origine de cette affaire, quelque 30.000 indigènes et petits agriculteurs avaient porté plainte contre la compagnie Texaco pour avoir pollué de vastes zones de la forêt amazonienne durant une période d’exploitation de 1964 à 1990. Plusieurs riverains ont accompagné le président lors de son périple afin de témoigner des effets de la pollution.

«En 16 ans, j’ai vu mourir dix personnes, la plupart d’un cancer», affirme Wilmar Moreno, un professeur de 45 ans, en exhibant ses jambes recouvertes d’ulcères, dus selon lui à la consommation d’eau contaminée. «Texaco nous a condamné à une mort lente», s’indigne Carmen Perez, une paysanne de 61 ans.

De son côté, Chevron a réagi à la campagne lancée par Rafael Correa en déplorant qu’il ait «décidé une fois de plus d’interférer dans cette affaire». Le président équatorien «offre une version tronquée et erronée de l’histoire de ces champs pétroliers et de l’auteur de ces dégâts environnementaux», a ajouté la compagnie dans un communiqué.

La condamnation de Chevron en Equateur représente l’amende la plus forte dans l’histoire du droit de l’environnement, dépassant celle de 4,5 milliards de dollars infligée à ExxonMobil pour la marée noire de l’Alaska en 1989.

 

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source : http://www.20minutes.fr

Trouvé sur La Terre du Futur

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Etincelle

MAMAN TERRE

 

Nadia vous invite à vous poser une question, vous propose sa définition, d’un point de vue humain et divin.

La terre.
Par ce poème honorant la terre, je vous invite à la remercier.
Comme vous le pouvez, comme vous le savez, comme vous voulez, dans vos prières ou dans vos activités.
Juste une pensée pour celle sans laquelle rien n’est.

 

La terre.

5740898-8558843Maman terre,
Prends-moi dans tes bras.
Que tu me fais du bien, maman terre.
Que tu es belle et bonne.
Dans tes bras, tout est beaucoup plus plaisant.
Tous mes soucis disparaissent comme par enchantement.
Quelle fraîcheur !
Quel accueil !
Quelle puissance!
Je regarde tes rivières glisser sur tes bras.
Je regarde la mer danser au rythme des claquements de tes doigts.
Tu as fait des montagnes des dépassements de soi.
Tu as fait de volcans des feux d’artifices.
Tu as fait de tes bois des cachettes bien gardées.
Tu as fait de ton vent une musique unique.
Regarde comme les étoiles essaient de te toucher.
C’est à celle qui brillera le plus pour se faire remarquer.
Par toi, maman terre, reine de beauté.
Je mange dans tes mains, je bois à tes pieds.
Rendons grâce à celle, sans laquelle rien n’est.

Nadia Lalaoui
Photos: Nadia Lalaoui

Nadia vous propose une série d’ateliers appelés: « Les ateliers: l’éveil du cœur ». Cliquez ici si vous êtes intéressé(e)

Trouvé sur Humaty’s team

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PERE AMET, EXORCISTE : UN GUERRIER PACIFIQUE

 

Dans nos villes et nos campagnes, des prêtres exorcistes officient et selon l’Eglise catholique, la demande est croissante. Loin des clichés scabreux, le père jésuite Henri Amet, exorciste pendant dix ans au diocèse de Lyon, nous confie son expérience.

 

346Le père Amet se souvient comme si c’était hier de ce dernier rendez-vous au terme d’une longue journée de consultation. Fabien, 38 ans, célibataire, s’assoit en face de lui et dit : « Mon père, j’ai fait un pacte avec le diable. » Attiré par le satanisme, familier des rites d’envoûtement, l’homme a acheté un livre de formules en latin, et a demandé entre autres la mort de ses parents avec qui il ne s’entend pas. Lorsqu’ils sont tombés malades sans raison apparente, que sa propre santé s’est dégradée, il a paniqué. Souffre-t-il de troubles psychiatriques ? Peut-être. Mais c’est sur les conseils d’un psychiatre qu’il vient voir le prêtre. Le suivi de Fabien va durer plusieurs années.
Assis à son bureau, dans sa chambre de la communauté François de Salles à Lyon – un espace sans télévision ni rien de superflu – le père Henri Amet poursuit sa réflexion sur l’homme, créature partagée entre volonté de faire le bien, et incapacité de ne pas faire le mal. La doctrine de l’Eglise fournit des explications du mal. Mais la fonction d’exorciste interroge perpétuellement.
« On ne sort pas indemne d’un entretien avec un consultant qu’on considère comme un frère ou une sœur et non comme un cas à traiter » explique le Père Amet. Les gens qui se présentent sont avant tout des blessés de l’âme, dont certains attribuent leur malheur à la sorcellerie ou à l’oeuvre du diable.
Pour des milliers de gens en France en effet, la question du diable n’est pas « un combat d’arrière-garde ». Après mai 68, le rituel était tombé en désuétude, avec moins de dix exorcistes pour l’ensemble du pays. Mais la demande va croissante. Aujourd’hui, chaque diocèse – il y en a autant que de départements – en compte au moins un. Ils sont peu actifs dans des régions comme la Haute-Loire. Il en va autrement en Ile-de-France, où une équipe de treize personnes voit environ 2 000 consultants par an. A Lyon, le père Amet en a reçu plus de 2 000 entre 1997 et 2006.

On s’imagine trop souvent l’exorciste en « prêtre guerrier qui brandit son goupillon au-dessus d’une jeune fille très agitée » dit-il en souriant. « Mais c’est Jésus-Christ qui guérit. Le prêtre, ajoute-t-il, n’est pas un gladiateur, ni un médecin, ni un sorcier. Il prie, c’est son seul rôle. »
Pourtant, le Père Amet a bien quelque chose du guerrier pacifique. Solide comme un roc, il est ancré dans sa foi et dans une histoire familiale qu’il décrit à la fois paisible et structurante. Né en 1928 au Puy-en-Velay où il devient étudiant dans un pensionnat catholique, Henri Amet suit son inclination naturelle, encouragé par une famille unie. Son père est un modeste fabricant de dentelles. Ses deux frères seront préfet et général de gendarmerie, des fonctions qui comme celle d’exorciste, exigent qu’on sache faire preuve d’autorité.
Henri Amet aiguise cette compétence en dirigeant plusieurs établissements scolaires, à Vannes, Bordeaux puis Marseille, après avoir été ordonné prêtre en 1960. Une maladie cardiovasculaire et l’âge de la retraite l’obligent à interrompre cette carrière. Il est alors nommé à Lyon comme supérieur d’une communauté, et « trouve du travail » en s’agrégeant à une équipe de prêtres confesseurs. Il développe des qualités de conseiller spirituel qui lui valent de nombreuses amitiés.
Intéressé depuis toujours par la question du mal, « vieille comme l’humanité », il croit en l’existence du diable, « un être spirituel, perverti et pervertisseur » qui jouit d’une « liberté figée dans le mal » et influence les actions des hommes. Au risque d’être traité « d’arriéré », il pense que les histoires de sorcellerie ont une réalité sous-jacente, et qu’il y a une « complicité de personnes qui font du mal avec le diable ».
Alors certes, Henri Amet n’était « pas programmé pour être exorciste », d’autant que « ce n’est pas une charge qu’on brigue ». Mais lorsqu’à l’aube de ses 70 ans, il se voit proposer le poste par l’archevêque, il accepte sans hésiter. Charles Chossonery, seul exorciste du diocèse de Lyon avant sa nomination, sera son ami et aussi son mentor.

Une humanité malheureuse

L’exorciste est toujours un prêtre expérimenté, « c’est-à-dire un vieux ». Lorsqu’il pense qu’une personne est possédée, il pratique le rituel du grand exorcisme ou exorcisme majeur. L’ancien datait de 1614. Réformé en 1998, il a été publié en latin en 1999, puis en français en 2006. « Il ne s’agit pas d’un rite magique, mais d’une prière bien structurée », voie royale du désenvoûtement. Le prêtre prononce beaucoup plus souvent la prière de délivrance qui se trouve en annexe du livre. L’Eglise retient plusieurs critères pour identifier les cas de possession : la personne doit avoir une force herculéenne, parler des langues inconnues d’elle, prédire l’avenir et être capable de dire ce que pense l’exorciste. Autant de caractéristiques qu’on retrouve dans les films sur le sujet, depuis L’Exorcisme d’Emily Rose jusqu’au récent Rite.
Reste que les ingénues de 19 ans qui insultent les prêtres en araméen ne courent pas les rues. Bien sûr, les exorcistes racontent des histoires terrifiantes. Certains ont constaté des réactions violentes à l’eau bénite, d’autres affirment garder dans leurs tiroirs les clous rouillés crachés par les victimes. Le père Amet a assisté à des scènes au cours desquelles quatre hommes peinaient à contenir une femme. Mais pour lui, « le critère le plus authentique est l’aversion des gens qui avaient la foi et qui soudain, ne peuvent plus prier ».
Ces cas sont loins d’être la majorité. Avant d’être possédée, l’humanité qui se présente au cabinet du Père Amet est percluse de malheurs, population étrangère comme française, ouvriers, chômeurs, mais aussi avocats, scientifiques, psychologues, commerçants… La misère n’est pas seulement matérielle ou physique, elle est aussi spirituelle et morale. « Il n’y a que deux catégories socioprofessionnelles que je n’ai jamais reçues, résume le Père Amet : les médecins et les curés. » Les femmes forment le gros de la troupe des consultants « parce qu’elles osent plus parler d’elles » estime le prêtre. Paul, quarante ans, célibataire et cadre commercial, a perdu en deux ans son travail, son appartement et sa santé. Il est revenu chez ses parents, souffre d’un état dépressif et est persuadé qu’une amie jalouse l’a envoûté ; Josiane, camerounaise sans travail, sans mari, sans permis de séjour, va de foyer en foyer : « Je suis mal dans ma tête, dans ma peau, dans ma vie spirituelle… », écrit-elle.

Souvent, prendre le temps d’écouter sans juger, puis de réconforter, procure un soulagement suffisant. Une parole autoritaire peut dissiper les craintes de ceux qui se pensent à tort possédés. Mais quand vient le moment de la décision, « même si on est formé pour ça, on est seul » souligne l’exorciste. « Vous ne pouvez pas renvoyer la personne en disant : je ne sais pas, je ne peux rien faire. Même si vous lui conseillez de voir un psychiatre ou un psychologue – et nous avons des adresses – il faut tout de même s’engager et donner une parole libératrice. »
Schématiquement, les prêtres exorcistes se divisent en deux tendances : les « diabolisants » qui penchent plus volontiers en faveur de l’explication par la possession, les « psychologisants » qui rattachent les maux des consultants à l’expression de pathologies ou de traumatismes. « Il faut éviter les deux abîmes, tranche le père Amet, et savoir si le problème est davantage psychologique ou davantage spirituel. » Il dit se fier à un raisonnement éclairé par la prière pour établir une distinction entre, par exemple, un début de schizophrénie et un véritable problème spirituel. Lorsqu’il était exorciste « officiel », jusqu’en 2006, le Père Amet se rendait tous les deux mois à une rencontre avec des psychiatres pour discuter des cas. Un professeur de médecine à Lyon lui dit un jour : « Les cas que les exorcistes m’amènent, je n’en ai jamais vu de tels. Il semble que nous, psychiatres, n’atteignons pas ce domaine.» Pas toujours facile, la collaboration avec les psychiatres et les psychologues est selon le prêtre indispensable.

L’esprit de discernement

D’autant qu’en matière de possession, l’habit ne fait pas le moine. L’exemple d’Amélie, 30 ans, est éloquent. Elle se présente accompagnée de deux prêtres de sa paroisse et de sa sœur. Tous les trois sont convaincus que la jeune femme est possédée. Lorsque le père Amet leur propose de prier ensemble, Amélie se met à hurler, et à s’agiter à tel point qu’il faut la tenir. « A ce moment-là, j’ai une intuition, se souvient le Père Amet : inconsciemment, elle se donne en spectacle. » Un suivi psychologique réglera le problème.
Avec Anna, c’est une autre histoire. La jeune fille se trouve dans un hôpital psychiatrique lorsque deux de ses amis viennent trouver Henri Amet. Ils sont inquiets. Anna est très déprimée, a des tics, se taillade les veines. Lorsqu’à l’hôpital, il lui propose une prière de délivrance, elle accepte avec beaucoup de scepticisme. Elle nous affirme pourtant avoir ressenti un changement, une amélioration, même si elle a eu encore bien « des moments pénibles par la suite » selon le père Amet. Aujourd’hui, elle s’apprête à prendre le voile. De l’hôpital psychiatrique au couvent, la trajectoire peut prêter à discussion. Mais Anna la vit comme une réalisation. Pourquoi l’exorciste lui a-t-il proposé la prière de délivrance, alors qu’elle-même ne se pensait pas possédée ? Un esprit est intervenu, « l’esprit de discernement » cher à l’exorciste.
C’est ce même esprit qui l’incite à utiliser avec parcimonie l’exorcisme majeur, moins d’une trentaine de fois au cours de sa carrière. Il a pratiqué un tel rituel à la demande de Fabien, le consultant qui avait fait un pacte avec le diable afin de se débarrasser de ses parents. « Il y avait une vraie coopération de sa part et je pense que ça a réussi » dit le père Amet. D’autres fois, c’est l’échec. Mathilde, chef d’entreprise d’une quarantaine d’années, souffre de troubles psychiques après avoir pratiqué une technique orientale énergétique. Cinq ans après l’exorcisme solennel, elle lui écrit de l’hôpital psychiatrique où elle est internée. Rien n’a changé pour elle, elle est au plus mal.

Décrié, le ministère d’exorciste est parfois frustrant, car le prêtre sait rarement si ses efforts ont porté leurs fruits. Les consultants ne donnent pas toujours de nouvelles. L’expérience reste souvent subjective, à jamais prisonnière de l’intime conviction des envoûtés, psychotiques, schizophrènes, et des gens égarés dans leurs peurs, au détour d’une expérience ou parce que le malheur les frappe. Mais pour le père Amet, l’essentiel est ailleurs, dans le réconfort prodigué à ceux qui se pensent oubliés du monde et de Dieu. « Etre exorciste m’a forcé à être toujours droit dans ma foi, dans mes convictions, dit-il, ce fut pour moi un ministère de la miséricorde. »

Trouvé sur INREE

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L’OEIL DE L’AMOUR

 

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Rédigé par : Jenny

L’oeil de l’Amour est toujours présent en nous. Il suffit d’une étincelle pour nous révéler à nous-même, aux autres, à la Vie. Dans ces moments-là nous ressentons une telle force en nous, inconnue, puissante, élévatrice de notre âme. Plus nous avançons plus la lumière est forte, intense mais douce et apaisante, rassurante, enveloppante. C’est petit à petit que nous nous transformons et découvrons que de créateur, nous sommes aussi instructeur des leçons que la Vie nous a apprise. Tout est échange dans notre monde.

Sous la Lumière du Coeur de l’Amour nous sommes sur la voie de notre âme. Restons connectés à elle, malgré le chaos qui règne autour de nous, qu’il soit tout proche ou très lointain.

« Bon courage à tous ceux qui en ces temps de renouveau souffrent dans leur corps et dans leur âme sans pouvoir l’exprimer. Bon courage à tous ceux qui aident et soutiennent ceux qui souffrent, qui sont dans le besoin quel qu’il soit. Pour chacun l’Amour est le guide dans le sillon de la Vie. Qu’il soit donné à chacun de vous Lumière et Amour en Abondance. »

Jenny-Louise_avatar

Jenny

Médium.Tarologue, Magnétiseuse
Site web: https://sites.google.com/site/larcheetoilee
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Mes Chroniques (18) – Source: La Presse Galactique

Trouvé dans La Presse Galactique

Elle a raison en cette période difficile il faut que nous restions connectés à notre intérieur…

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POURQUOI SE TOURNER VERS DES MEDECINES ALTERNATIVES ?

 

De plus en plus, dans nos sociétés, la quête de la santé devient aussi une quête de sens. Cherchant à comprendre les épreuves qu’ils traversent, les patients se tournent vers des thérapies alternatives. Entretien avec Jean-Dominique Michel, spécialiste en anthropologie médicale.

 

medecinesalternativesPeut-on dire que de plus en plus de gens, en plus de la médecine conventionnelle, s’adressent à des praticiens de médecine alternative ?
Dans l’univers occidental, 60 à 80 % des gens s’adressent à d’autres recours de soins que la médecine scientifique pour leurs besoins de santé. Nous n’avions que peu de statistiques dans le passé, il est donc difficile de dire s’il s’agit réellement d’une émergence. Cela dit, l’offre de soins s’étant beaucoup étendue au cours des quinze dernières années, on peut penser qu’il y a une augmentation de la consommation.

Quelles sont les techniques vers lesquelles les patients vont en priorité ?
Nous disposons de statistiques par rapport au recours à certaines pratiques de soin : par exemple, 53 % des français consomment de l’homéopathie. Nous avons aussi des données sur la croyance que les gens investissent : 70 à 75 % des gens pensent que l’acupuncture peut avoir un effet bénéfique sur leur santé. En ce qui concerne la médiumnité, on est à 35 % d’adhésion dans la population. C’est évidemment sur la base de la croyance en l’utilité d’une pratique de soin que les gens choisissent de s’y adresser.

Quand on parle d’homéopathie, d’acupuncture, les gens restent dans un cadre de soin officiel. Mais lorsqu’ils vont vers les guérisseurs, ne s’aventurent-ils pas sur des chemins moins balisés ?
C’est une question de familiarité. L’homéopathie et l’acupuncture sont dans le paysage depuis plusieurs décennies. Cela dit, l’acupuncture repose sur une anatomie fantastique, c’est-à-dire une représentation du corps humain en lien avec un schéma énergétique qui n’est pas du tout appréhendable par la démarche biomédicale. Et il s’agit d’une discipline qui a une efficacité réelle. Mais les guérisseurs sont aussi efficaces. Si ces sortes de soins sont moins privilégiées actuellement, c’est essentiellement à cause des représentations qu’on se fait quant à la crédibilité et à la respectabilité de ces démarches.

Qu’est-ce qui explique à votre avis cette tendance en Occident à consulter de plus en plus non seulement des acupuncteurs et des homéopathes mais aussi des chamanes et des guérisseurs ?
Deux perspectives me paraissent éclairantes à cet égard : la première, c’est que ces pratiques répondent de manière très nourrissante au besoin de construction existentielle dans lequel sont les gens face à leurs difficultés de santé, qui est une dimension pour l’essentiel désertée par la médecine. D’autre part, elles s’adressent à cette part d’imaginaire, de symbolique, de subjectivité qui est très effacée dans notre culture.

Quand vous parlez d’efficacité symbolique d’une pratique, que voulez-vous dire ?
Toute pratique rituelle qui mobilise un sens au travers d’une intention a un certain impact positif. C’est vrai d’un chamane qui met en place un rituel de guérison, d’un homéopathe qui va chercher dans la matière médicale homéopathique un remède congruent avec les symptômes d’une personne, ou d’un médecin qui va puiser dans la recherche scientifique les derniers traitements médicaux. La médecine se réapproprie ce mécanisme à travers tout le questionnement sur l’effet placebo. Mais pour les anthropologues, l’explication est un peu courte. Aujourd’hui on réfléchit beaucoup plus à l’effet de sens : comment les attentes subjectives des deux acteurs de la relation de soin et la médiation du remède proposé vont-elles générer une amélioration ?

Comment les médecins réagissent-ils à cette évolution ?
Relativement bien, d’après mes observations. A une époque, il y a eu un vertige du médecin tout-puissant. Mais on en est revenu. Je crois qu’aujourd’hui on est à un moment intéressant où les médecins, tout en ayant qualifié et validé leurs connaissances, reconnaissent aussi les limites de ce qu’ils peuvent apporter. Ils sont dans une tolérance éclairée, tout en mettant bien sûr des garde-fous par rapport à des recours qui peuvent être abusifs ou dangereux. La plupart des médecins que je connais encouragent les patients qui en ont besoin à s’adresser à d’autres pratiques, même si chacun a sa grille de lecture.

Quel regard portez-vous sur la multiplication des thérapeutes en tout genre ?
Je crois qu’il y a beaucoup de bonnes choses dans ce mouvement, d’autres qui sont plus critiquables, mais cela fait partie de l’évolution naturelle des sociétés. Cela pose toute la question de la certification, de la surveillance. Actuellement le code pénal tel qu’il existe propose une ligne de démarcation assez saine entre les abus réels qui se doivent d’être sanctionnés avec toute la rigueur requise, et ce qui va relever d’une maladresse ou d’un manque de construction chez certains thérapeutes mais qui à mon sens ne gagnerait pas à être judiciarisé. Je plaide pour une compréhension collective de ce qui est en jeu dans la santé individuelle et à un niveau communautaire, afin qu’on ait une représentation plus construite, plus ajustée, plus efficiente par rapport à cet univers de la guérison. Il y a une espèce de clivage idéologique entre d’un côté la biomédecine et de l’autre tout ce qui relève de « l’irrationnel » et qui n’est pas en fait irrationnel !

En résumé, il faut sortir du cliché qui veut que le médecin vous soigne et que les autres vous dupent ?
C’est vrai que dans la mentalité collective, on reste encore très clivé entre ce qui relèverait du connaissable, du certain et du sérieux, et ce qui relèverait de l’irrationnel et du subjectif, alors que dans les faits, on observe un tissage entre ces deux dimensions. La démarche objective génère une efficacité dont on profite tous. Mais le savoir symbolique génère aussi beaucoup d’efficacité, il est agissant en politique, en médecine, dans la consommation et l’économie. Ce serait important de pouvoir se réapproprier une vision des choses qui respecte cet entrelacs entre le subjectif et l’objectif.

Une approche indifférenciée basée sur la méfiance n’oblige-t-elle pas les gens à aller complètement seuls au-delà de ce que la médecine peut proposer ?
Absolument. Pour cette raison, il est important qu’on construise un discours intelligent, sensible et raisonnable autour de ces réalités précisément pour qu’il soit possible de discuter les choses, de les élaborer ensemble. La caricature, qu’on observe parfois dans les trajectoires de santé, c’est le patient qui n’ose pas dire à son médecin qu’il a été voir un guérisseur parce qu’il a peur de le fâcher. C’est une situation qui reflète à quel point la désertion du discours et de l’intelligence dans ces domaines est nocive. Ce sont les patients qui en paient le prix en dernière analyse.

couv_670Chamans, guérisseurs, médiums, Jean-Dominique Michel
Editions Favre (Octobre 2011 ; 210 pages)

Trouvé sur INREE

 

Toujours pour votre info

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COUP DE GUEULE DE MARIE MONIQUE ROBIN

 

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Voici ce qui nous attend avec l’accord transatlantique, si nous ne disons pas NON…. (voltigeur)

Ce soir je suis en colère, et je l’assume. Comme l’a écrit le philosophe, écrivain, et poète, George Bataille :

« Le coeur est humain dans la mesure où il se révolte ».

L’humanité va crever de l’indifférence, des discours mous-du-genou, de l’incapacité des pauvres bipèdes que nous sommes à nous lever pour arrêter la barbarie et défendre la vie.

Ce soir je suis en colère car j’ai reçu des nouvelles terribles de Colombie. Et ces nouvelles nous concernent tous !

Je les résume en quelques mots : la Colombie a signé un « accord de libre échange » avec les États Unis qui est récemment entré en vigueur. Cet accord contient une clause qui oblige les paysans à cultiver des « semences certifiées », c’est-à-dire produites par les « sélectionneurs » comme … Monsanto ou Syngenta.

Pour remplir cette « clause », l’Institut agroalimentaire colombien a publié un texte – la résolution 970- qui menace d’amendes et de poursuites judiciaires tout paysan qui continuerait de faire ce qu’il a toujours fait : garder une partie de sa récolte pour ensemencer ses champs.

Depuis le 19 août, des dizaines de milliers de Colombiens – paysans, étudiants, mineurs, chauffeurs routiers, médecins- se sont lancés dans les rues pour dénoncer cette violation d’un droit humain fondamental : celui de se nourrir soi-même.

De violents affrontements ont eu lieu à Bogota, où le président Santos a déclaré le couvre-feu et mobilisé 50 000 membres des forces armées et de la police militaire pour « mater les vandales » et défendre la loi d’airain imposée par Monsanto et consorts.

Je connais bien la Colombie : cet immense pays à l’extraordinaire biodiversité a la capacité de nourrir sa population, s’il laisse ses paysans faire leur travail. Pour cela, il leur faut de la terre, et la majorité d’entre eux en est privée. Si maintenant, on les empêche de sélectionner leurs graines, c’en est fini de l’agriculture vivrière colombienne.

Comme ce fut le cas au Mexique après l’entrée en vigueur de l’Accord de libre échange nord-américain (l’ALENA), le pays sera envahi par les produits agricoles bas de gamme et subventionnés des États Unis, les magasins Walmart et autres chaînes de discount qui pousseront à la rue des millions de petits paysans.

 

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J’invite tous ceux et celles qui me lisent à regarder le reportage “Les déportés du libre échange” que j’ai consacré à l’ALENA, et qui a été diffusé sur ARTE en février 2012 . Je l’ai mis en ligne sur mon site web, et on peut aussi le trouver comme bonus sur le DVD des Moissons du futur.

Vous trouverez sur ce Blog d’autres billets concernant l’ALENA ainsi que des extraits du chapitre que je lui ai consacré dans mon livre Les moissons du futur. Ce soir, je mets en ligne un autre extrait de ce chapitre (voir ci-dessous).

Par ailleurs, je rappelle que l’Union européenne s’apprête à négocier un accord de libre échange avec les États Unis, dont j’ai aussi commenté les effets dévastateurs qui ne manqueront de s’abattre sur le vieux continent (voir aussi sur ce blog).

C’est pourquoi j’ai accepté de prêter mon image et mon nom à une affiche réalisée par le Collectif des Engraineurs qui s’est associé à la campagne qu’ATTAC et d’autres organisations ont décidé de lancer dès l’automne. Rejoignez-les !

Un article de arte.tv, relayé par Jacques pour SOS-planete

Voir aussi:

PROJET D’ACCORD TRANSATLANTIQUE : UN NOUVEL OTAN ÉCONOMIQUE

Communiqué du Mouvement politique d’émancipation populaire (M’PEP).

Le 15 septembre 2013.

Les États-Unis d’Amérique ont proposé à l’Union européenne un accord commercial bilatéral à l’occasion de la réunion du G8 qui s’est tenue à Lough Erne, en Irlande du Nord, les 17 et 18 juin 2013. Il n’y aurait rien à redire si ces négociations entre les États-Unis d’Amérique et l’Union européenne avaient pour objectif de rapprocher les peuples des deux côtés de l’océan. Un tel partenariat, s’il avait pour ambition d’améliorer la prospérité générale, de s’attaquer radicalement aux désastres environnementaux, d’établir des normes de haut niveau en matière de protection sociale, tant du point de vue des soins de santé que de retraites ou de conditions de travail, d’éradiquer définitivement le chômage et la précarité, et donc la pauvreté, susciterait un enthousiasme universel. Il serait un exemple pour le reste du monde……………………….

[…]

Source m-pep.org/

Trouvé sur les moutons enragés

 

Voilà pour l’info  dont  évidemment  les médias officiels ne parlent pas…

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Etincelle