LA REVUE DE PRESSE SEPTEMBRE 2018 – Pierre Jovanovic et Laurent Fendt

 

 

Pierre Jovanovic reçoit Laurent Fendt pour commenter les principales actualités politiques, économiques et financières : impact des taux négatifs sur l’économie mondiale, hausse des taxes en France, rentrée politique du gouvernement Macron, hyperinflation vénézuélienne, problèmes bancaires, etc.

 

 

Trouvé sur Youtube

  Etincelle

 

UNE NOUVELLE ETUDE CONFIRME QUE LE VOLCAN MONSTRE KATLA SE PREPARE A UNE ERUPTION

 

 

Katla, un volcan géant caché sous la calotte glaciaire du glacier Mýrdalsjökull, est en train de remplir ses chambres magmatiques, confirment de nouvelles recherches. Une éruption du Katla pourrait éclipser l’éruption de l’Eyjafjallajökull en 2010, ont prévenu des scientifiques. L’éruption du volcan est depuis longtemps “en retard”, car il explose historiquement une fois tous les 40-80 ans. La dernière éruption connue du Katla date de 1918.

Un groupe de géologues islandais et britanniques vient de terminer une mission de recherche sur les émissions de gaz du volcan. Les études ont montré que Katla émet d’énormes quantités de CO2. Le volcan libère au moins 20 kilotonnes de CO2 chaque jour. Seuls deux volcans à travers le monde sont connus pour émettre plus de CO2, a déclaré Evgenia Ilyinskaya, un volcanologue de l’université de Leeds, au service national islandais de radiodiffusion RÚV.

Ces énormes émissions de CO2 confirment une activité significative dans le volcan, a déclaré Evgenia à RÚV: “Il est hautement improbable que ces émissions puissent être produites par l’activité géothermique. Il doit également y avoir une accumulation de magma pour libérer cette quantité de gaz.”

Elle souligne que d’autres études sont nécessaires pour déterminer si les émissions de gaz de Katla sont stables ou si elles augmentent. “Il est bien connu que d’autres volcans, par exemple à Hawaï et en Alaska, que les émissions de CO2 augmentent des semaines ou des années avant les éruptions. C’est un signe clair que nous devons surveiller de près Katla. Et ces résultats confirment que quelque chose se passe. ”

Lire la suite: Les autorités s’inquiètent de l’impossibilité d’avertir les voyageurs à temps en cas d’éruption du Katla

Les scientifiques ont également détecté des quantités importantes de méthane et de sulfite d’hydrogène. Ces gaz peuvent être présents en quantités dangereusement élevées lorsque les rivières Emstruá et Múlakvísl émergent du glacier. Les gens doivent faire preuve d’une extrême prudence lorsqu’ils explorent les grottes de glace à Mýrdalsjökull.

source : https://icelandmag.is/

Trouvé sur La Terre du futur

  Etincelle

LE PALAIS DU FACTEUR CHEVAL : UNE ŒUVRE INOUÏE À DÉCOUVRIR

 

 

Ne ressemblant à aucun autre palais, cette construction est le fruit du travail d’un seul homme à la fois patient, courageux et passionné.

Le facteur Cheval n’y connaissait rien à la maçonnerie ni à l’architecture. Pourtant, chaque nuit, pendant trente-trois ans, il s’est construit pierre à pierre un palais comme il n’en existe aucun autre dans le monde. Gros plan sur un chef-d’œuvre de courage, de patience et de fantaisie.

À la fin du XIXème siècle, Ferdinand Cheval a commencé à accumuler toutes les pierres qu’il pouvait afin de se construire son palais, dans la Drôme, à Hauterives. Aujourd’hui, sa création est classée monument historique et continue d’impressionner par sa grandeur et sa folie. Regardez :

 

Long de 26m, large de 14m et haut de 10m, le palais du facteur Cheval ressemble à ça :

Source : Shutterstock / milosk50
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Source : Shutterstock / Pierre Jean Durieu
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Étonnant…

Trouvé sur positivr.fr

 

Et à voir aussi cette vidéo toujours cet incroyable château :

 

Visite au palais idéal du Facteur Ferdinand Cheval à Hauterives (Drôme) – Né en 1836 – A 43 ans le Facteur Cheval commence la construction de son Palais. – Par son métier de facteur, il a été inspiré par toutes les cartes postales qu’il distribuait quotidiennement. Avec une imagination débordante, il a crée son propre rêve qui a pris la forme d’un palais dont la construction lui a demandé une grande partie de sa vie. Ce monument composé de 4 façades, d’une terrasse et d’une galerie, le facteur Cheval y travailla 33 ans. Sa construction est en étroite symbiose avec la nature qu’il côtoie chaque jour dans ses longues tournées. A l’entrée de la grotte, il inscrit la date de commencement des travaux : 1879. .
N’ayant pu être enterré dans ce palais, Ferdinand Cheval se lance à 78 ans dans la réalisation de son tombeau dans le cimetière du village : Le tombeau du silence et du repos sans fin ». Le Palais Idéal apparaît donc non seulement comme un hymne à la vie, mais aussi à la mort que le Facteur défie en construisant une oeuvre qui restera après lui. Ces constructions sont le reflet des lectures et des cartes postales qu’il distribuait dont Ferdinand Cheval s’inspirait volontiers. Sa plus grande amie est sa brouette qu’il appelait sa fidèle compagne de peine. Le Palais fût classé monument historique en 1969. Ferdinand Cheval est décédé en 1924. ( acuellement en recherche de liens de parentés avec feue Marie Rose Cheval, épouse Rey – arrière grand’mère – Les recherches généalogiques étant terminées, il s’avère que Joseph Félicien Cheval (1815) était le cousin germain de Joseph Ferdinand Cheval (1836) (Leurs pères étaient frères) – Mon arrière arrière gd père Joseph Félicien Cheval a épousé Marie Rose Pain. Leur Fille Marie Rose Cheval a épousé Mr. Régis Rey. Ils sont eu trois filles dont ma grand’mère Marie Rose Rey, Augustine Rey, Elisa Alexandrine Rey.

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  Etincelle

NATIONS UNIES : COMMENT L’ADMINISTRATION DE L’ONU ORGANISE LA GUERRE

Pour ceux qui sont convaincus de l’utilité de certaines organisations qui sont censées maintenir la paix, réfléchissez sur ce qui est dit dans ce document. Partagez. Volti  (Et oui en effet et peu de personnes en sont conscientes…. ) Etincelle

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Auteur Thierry Meyssan pour Voltairenet via Aphadolie

 

Le document interne des Nations unies que nous venons de publier atteste que l’administration de l’Organisation travaille contre les buts de celle-ci. La gravité de cette situation appelle à une explication du secrétaire général, António Guterres, a exigé le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov. Faute de quoi les États-membres pourraient remettre l’Onu en cause.

Thierry Meyssan

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Le 2 juillet 2012, l’ancien assistant d’Hillary Clinton, Jeffrey Feltman devient le numéro 2 des Nations Unies. Il prête serment devant le secrétaire général, le très corrompu Ban Ki-moon, sur la Charte de l’Organisation

En octobre 2017, le sous-secrétaire-général des Nations unies pour les Affaires politiques, Jeffrey Feltman, rédigeait secrètement des instructions à toutes les agences de l’Onu sur le comportement à adopter par rapport au conflit en Syrie.

Jamais les États-membres de l’Organisation, ni même ceux du Conseil de sécurité, ne furent informés de l’existence de ces instructions. Jusqu’à ce que le ministre des Affaires étrangères russe, Sergueï Lavrov, les révèle le 20 août dernier [1].

Nous venons de nous en procurer une copie [2].

Ce document trahit la Charte des Nations unies [3dont il inverse les priorités. Alors que celle-ci a pour but principal de « maintenir la paix et la sécurité internationales », il place au-dessus de ce but le « respect des droits de l’homme ». De la sorte, ces droits deviennent un instrument contre la paix.

L’expression « droits de l’homme » existait bien avant de trouver un sens juridique (c’est-à-dire avant d’être opposable dans un tribunal). Le ministère britannique des Affaires étrangères en fit un grand usage, au XIXème siècle, pour justifier certaines de ses guerres. C’est pour les défendre, assurait-il, qu’il était prêt à batailler contre l’Empire Ottoman. En réalité, il s’agissait uniquement d’un choc entre l’Empire britannique et la Sublime porte. Jamais les peuples prétendument « libérés » par Londres, furent plus heureux sous ce maître que sous un autre. Au XXème siècle, les « droits de l’homme » furent d’abord la marque de fabrique des ONG« sans frontières », puis le slogan des trotskistes ralliés à la CIA, les néo-conservateurs.

Si la Charte des Nations unies emploie six fois l’expression « droits de l’homme », elle n’en fait pas un idéal en soi. Leur respect ne peut advenir qu’en temps de paix. La guerre, faut-il le rappeler, est une période de troubles durant laquelle les droits individuels sont occultés. C’est une situation terrible où, pour sauver un peuple, on doit se résoudre à en sacrifier une partie.

C’est pourquoi on distingue la police de l’armée. La police protège des droits individuels, tandis que l’armée protège des droits collectifs. La police doit respecter les « droits de l’homme », tandis que l’armée peut les ignorer. Il semble que nos contemporains, engoncés dans leur confort, ont perdu le sens de ces distinctions élémentaires.

Si le « droit-de-l’hommisme » était initialement un habillage de conquêtes territoriales, poussé à l’extrême, il est devenu l’idéologie de la destruction des structures étatiques nationales. Pour que nos droits soient respectés, nous devons être « citoyens du monde » et accepter une « société ouverte », « sans frontières », administrée par un « gouvernement mondial ».

C’est faire fi de l’histoire et de la culture de chacun de ces « citoyens du monde », leur imposer ce qui nous semble être le meilleur pour nous… et donc pour eux.

Dans ce nouveau document de Jeffrey Feltman, les « droits de l’homme » sont encore une fois un prétexte. Cette personnalité a participé au gouvernement de l’Iraq au sein d’une société privée conçue sur le modèle de la Compagnie des Indes, la mal-nommée Autorité provisoire de la Coalition [4], montrant ainsi le peu de respect qu’elle avait pour les droits des Iraquiens. Il a exprimé son véritable but à propos de la Syrie dans une série de documents connus comme le « Plan Feltman » [5]. Il s’y propose d’abroger la souveraineté du peuple syrien et d’instaurer, comme en Iraq, une gouvernance étrangère.

Avec aplomb, il écrit : « Le Plan d’action humanitaire doit rester humanitaire afin de garantir que l’ONU puisse mener à bien les activités humanitaires essentielles pour sauver des vies et assurer les besoins essentiels des populations. Les activités de développement ou de reconstruction en dehors de cela devront être reflétées dans d’autres cadres qui, par nature, seront des négociations plus longues avec les gouvernements. Cela est essentiel compte tenu des questions juridiques et politiques complexes en cause ». En d’autres termes, donnez à manger aux réfugiés, mais ne combattez pas la famine qui les ronge ; qu’elle reste pour nous un argument lors des négociations avec l’État syrien.

Les Jordaniens, les Libanais, les Turcs et les Européens seront surpris de lire : « L’ONU ne favorisera pas le retour des réfugiés et des personnes déplacées, mais soutiendra les rapatriés en vue de garantir le caractère sûr, digne, informé, volontaire et durable du retour et de la réintégration, ainsi que le droit des Syriens de chercher asile ». Reprenant à son compte la théorie du professeur Kelly Greenhill [6], Feltman ne souhaite pas aider les exilés à revenir dans leur pays, mais entend utiliser leur exode pour affaiblir leur patrie.

« L’assistance des Nations Unies ne doit pas aider les parties qui auraient commis des crimes de guerre ou des crimes contre l’humanité. », précise-t-il, interdisant à titre conservatoire toute aide à quelque pouvoir que ce soit.

Il pose que : « Ce n’est que lorsqu’une transition politique véritable et inclusive sera négociée par les parties que l’ONU sera prête à faciliter la reconstruction. ». On est bien loin de l’idéal de la Charte.

Source Thierry Meyssan pour Voltairenet.org via Aphadolie

Référence :

[1] Sergey Lavrov news conference with Gebran Bassil, by Sergey Lavrov, Voltaire Network, 20 August 2018.[2] « Paramètres et principes de l’assistance des Nations Unies en Syrie », par Jeffrey D. Feltman, Réseau Voltaire, 3 septembre 2018.[3] « Charte des Nations unies », Réseau Voltaire, 26 juin 1945.[4] « Qui gouverne l’Irak ? », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 13 mai 2004.[5] “Draft Geneva Communique Implementation Framework”, “Confidence Building Measures”, “Essential Principles”, “Representativness and Inclusivity”, “The Preparatory Phase”, “The Transitional Governing Body”, “The Joint Military Council and Ceasefire Bodies”, “The Invitation to the International Community to Help Combat Terrorist Organizations”, “The Syrian National Council and Legislative Powers during the Trasition”, “Transitional Justice”, “Local Governance”, “Preservation and Reform of State Institutions”, “Explanatory Memorandum”, “Key Principles revealed during Consultations with Syrian Stake-holders”, “Thematic Groups” (documents non publiés). « L’Allemagne et l’Onu contre la Syrie », par Thierry Meyssan, Al-Watan (Syrie), Réseau Voltaire, 28 janvier 2016.[6] “Strategic Engineered Migration as a Weapon of War”, Kelly M. Greenhill, Civil War Journal, Volume 10, Issue 1, July 2008.Voir notamment :

Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948

Et aussi :

 

 

Trouvé sur les moutons enragés

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  Etincelle 

ON S’EST PEUT-ÊTRE TROMPE SUR LA SOURCE DU SUPER VOLCAN DE YELLOWSTONE

 

 

Le supercolcan du parc national de Yellowstone pourrait être le résultat du frottement des plaques tectoniques après tout, comme le suggère une nouvelle étude – remettant en question l’explication privilégiée qui l’associe à la chaleur qui s’échappe des profondeurs de la croûte.

La géologue Virginia Tech Ying Zhou a identifié des anomalies dans la croûte qui suggèrent que les couches de glissements de roches sont responsables de la production d’une énorme quantité de chaleur, et non d’un panache magmatique comme on le pensait auparavant. Cette étude ne règle peut-être pas l’argument, mais elle montre que le débat est loin d’être terminé.

S’il y a une chose pour laquelle le Yellowstone du Wyoming est célèbre dans le monde entier – autre que sa beauté naturelle immaculée – c’est la chambre magmatique qui pourrait un jour se libérer lors d’une éruption catastrophique.

Mais il y a un débat en cours sur les forces géologiques qui sont principalement responsables du sous-sol volcanique de la région.

Dans un coin, il y a le modèle du panache magmatique, qui attribue à un canal de roche en fusion s’élevant du manteau à travers une faille ou s’affaiblissant dans la croûte pour le désordre chaud sous la surface.

Dans l’autre, il y a l’explication de la subduction. D’énormes morceaux de la croûte terrestre glissent les uns sur les autres, créant les énormes quantités de frottement de fonte des roches nécessaires pour remplir les chambres magmatiques de Yellowstone.

Naturellement, les volcans qui se trouvent près du bord des plaques tectoniques – comme ceux de l’Indonésie – sont supposés être alimentés par le modèle des roches de frottement. Pour d’autres, comme la chaîne d’îles volcaniques d’Hawaï, le modèle du panache magmatique est un modèle plus sûr.

Yellowstone a toutes les caractéristiques d’un volcan produit par un point chaud de magma ascendant, assis au bout d’une ligne pointillée de calderas – les creux creux qui se forment après l’éruption d’une chambre magmatique.

Ces caldeiras font allusion à une histoire d’éruptions de bégaiement alors que la croûte dérive lentement à travers le panache.

Sans parler du fait que l’état du Wyoming se trouve quelque part au milieu de la plaque tectonique nord-américaine, loin de l’endroit où l’on pourrait imaginer des morceaux de croûte qui pourraient poser problème.

Il n’y a qu’un seul problème : personne n’a pu trouver la preuve directe d’un véritable panache magmatique qui s’étend à partir du manteau.

Plus récemment cette année, un chercheur de l’Université du Texas a utilisé des ondes sismiques provenant de tremblements de terre pour décrire une colonne de 3 000 kilomètres (1 900 milles) de roches chaudes qui pourrait bien convenir.

Mais tout le monde n’est pas convaincu, et le débat se poursuit sur la question de savoir si les scientifiques ont été trop rapides à rejeter d’autres modèles.

Zhou a également utilisé l’activité sismique pour esquisser une image de ce qui pourrait se cacher sous les profondeurs de Yellowstone. Appliquant une technique appelée tomographie par diffraction, elle a cartographié les discontinuités de la croûte.

“C’est la première fois que la nouvelle théorie de l’imagerie a été appliquée à ce type de données sismiques, ce qui nous a permis de voir des structures anormales dans le manteau terrestre qui, autrement, ne pourraient être résolues par les méthodes traditionnelles “, explique M. Zhou.

Il n’y avait aucun signe de panache. Au lieu de cela, ces anomalies ont suivi le chemin des caldeiras. Les vagues décrivaient également un modèle qui suivait à peu près la forme d’une ancienne plaque de croûte océanique enfouie appelée la plaque de Farallon.

Cette roche dense a commencé son voyage sous la plaque nord-américaine il y a environ 175 millions d’années, lorsque le supercontinent de la Pangaea a commencé à se disloquer.

Quelques morceaux de cette ancienne plaque subsistent, se cognant et se broyant sous les Etats-Unis comme des flotsam géologiques sous la coque d’un énorme bateau.

“Cette ancienne plaque océanique s’est brisée en morceaux, ce qui a entraîné la perturbation de roches inhabituelles dans le manteau, ce qui a entraîné des éruptions volcaniques au cours des 16 derniers millions d’années “, explique M. Zhou.

Tout le processus a démarré près de ce qui est maintenant la frontière entre l’Oregon et l’Idaho, la chaleur de la plaque de Farallon engloutie frottant contre la plaque nord-américaine, provoquant la montée du magma en une série de points faibles dans la croûte.

Yellowstone est simplement le dernier point sur la carte pour sentir la chaleur du voyage en cours de Farallon.

L’idée que les restes de la plaque de Farallon pourraient être derrière le volcanisme de Yellowstone n’est pas nouvelle. En fait, une autre étude publiée plus tôt cette année a utilisé des simulations informatiques pour montrer comment le modèle est parfaitement adapté.

Il est peu probable que l’étude de Zhou soit un coup de poing pour le modèle du panache. Mais elle a l’intention de trouver plus de preuves en augmentant la résolution de ses scans.

“Des images plus détaillées des roches inhabituelles de la terre profonde nous permettront d’utiliser la simulation par ordinateur pour recréer la fragmentation de la gigantesque plaque océanique et tester différents scénarios de fonctionnement de la fonte des roches et du système d’alimentation en magma pour les volcans de Yellowstone “, explique M. Zhou.

Adaptation TDF

source : https://www.sciencealert.com/

Trouvé sur La Terre du Futur

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