LE PASS SANITAIRE, TEMPORAIRE ?

Voilà un article intéressant qui devrait réveiller les endormis de notre monde

Sarah

Et c’est donc à la surprise générale, complète et totale de tout le monde en France que le gouvernement a décidé (pas du tout autoritairement) de prolonger le pass sanitaire en étendant sa période d’utilisation jusqu’au mois de juillet 2022. Vraiment, quelle stupéfaction ! On ne s’y attendait absolument pas !

En effet, qui aurait pu imaginer que ce gouvernement finirait par imposer ce pass dans les activités quotidiennes alors que le Chef de l’État lui-même nous avait promis le contraire quelques mois avant ? Qui aurait pu imaginer un Olivier Véran faire ainsi volte-face complet après ses discours mielleux nous assurant que ce pass serait limité à la fois dans le temps et dans ses applications à la plus stricte nécessité ?

Vraiment, c’est complètement inouï et totalement inattendu : de la part d’un gouvernement jusqu’ici exemplaire, et de politiciens qui ont toujours su respecter leurs promesses avec une ponctualité et une régularité phénoménales, il est presque choquant de découvrir ainsi la prolongation inopinée de ce pass qui sépare les Français entre lépreux irrationnels et obéissants raisonnables auxquels il convient d’attribuer quelques menus privilèges.

En plus, distribués à la population soumise, ces pass/privilèges sont forts commodes tant ils sont, une fois ainsi numérisés, faciles à révoquer à chaque fois qu’on en aura besoin : l’épidémie repart ? Hop, on empêche en quelques minutes l’accès aux restaurants, aux cafés, aux boîtes de nuit. Il reste de gros stocks de vaccins à écouler ? Hop, on invalide le pass/privilège tant qu’une piqûre supplémentaire n’a pas été faite. Etc.

Et puis ensuite, le pass pourra facilement être relié, sous une forme ou une autre, à tout aspect de la vie sociale ou administrative que l’État et ses politiciens malins auront jugé indispensable d’encadrer fermement : un matin, le pass vous autorisera à dépenser votre argent comme vous l’entendez, un matin suivant, pouf, ce ne sera plus le cas parce que vous n’avez pas fait ce qu’il faut, parce que vous avez fait ce qu’il ne fallait pas ou parce que, collectivement et avec tous les individus de votre sexe, de votre âge ou de votre classe, l’État en aura ainsi décidé.

Ah, que c’est bon de voir ainsi se profiler ce Monde d’À Peu Près qui va devenir de moins en moins flou et de plus en plus dystopique !

Certains trouveront que j’exagère et je leur confirmerai qu’évidemment, tout ceci n’est qu’une simple fiction… Qui anticipe de quelques mois, de quelques années tout au plus ce qui est en train de se mettre en place directement sous le nez des cohortes :

  • de syndicats purement et simplement collaborateurs et complètement à la botte des politiciens, comme d’habitude incapables de protéger les droits fondamentaux de ceux qu’ils mentent représenter,
  • de naïfs qui refusent de croire qu’un gouvernement démocratique puisse imposer ceci à toute une population,
  • d’idiots utiles qui persistent à voir dans ce pass une formidable opportunité de brandir leur téléphone dernier-cri pour montrer à quel point ils savent ramper en ne laissant qu’une petite trace de bave,
  • d’industriels trop heureux de se remplir les poches avec ce capitalisme de connivence sans plus aucun frein ni aucune limite.

Eh non, le pass n’est pas temporaire et absolument tout sera fait pour qu’il perdure bien au-delà de ses enjeux sanitaires : il y a trop d’investissements industriels derrière pour qu’il soit mis au placard aussi vite.

J’en veux pour preuve l’explication directement fournie par certains de ces industriels qui entendent jouer un rôle actif, profond et évidemment très lucratif pour installer enfin ce pistage complet, permanent et universel des Français (et probablement de pas mal d’Occidentaux tant la tendance se met obstinément en place). L’exemple de Thales, groupe spécialisé notamment dans la sécurité et la défense, vient immédiatement à l’esprit d’autant que le groupe français ne se cache même pas de ses ambitions de voir un jour un tel pass multi-usages déployé partout : une traduction de leur marketing, disponible en ligne, donne l’image ci-dessous.

Et c’est logique du reste : à partir du moment où le passeport vaccinal numérique européen était déjà dans les tuyaux depuis 2018, que la crise sanitaire du Covid19 n’a fait qu’accélérer (grandement) les efforts envisagés pour le déployer, il était logique que les acteurs qui, à la suite de la Commission en 2018, s’était déjà engagés dans des développements à ce sujet, profitent à présent de l’occasion pour pousser leurs petits projets lucratifs.

Il faut comprendre qu’en réalité, la prolongation du pass sanitaire et son extension à tous les domaines possibles n’a rien de surprenant, tant il s’inscrit dans un projet industriel qui recouvre à la fois le suivi médical complet des individus, leur identité numérique complète (avec un remplacement des passeports et des cartes d’identité par exemple), puis de leur portefeuille voire (ne soyons pas fou) leurs diplômes, leurs feuilles de paie, leurs documents essentiels qui définissent absolument toute leur vie familiale, professionnelle et sanitaire… Puis politique ?

L’avantage pour les industriels est absolument énorme puisque cela leur donnera accès à des marchés publics aussi gigantesques que juteux (on parle d’un demi-milliard d’individus juste pour l’Europe), sans parler même des retombées en termes d’analyse de données que cette numérisation forcenée va amener.

Et si c’est un trésor dodu pour les industriels, il va de soi que c’est une méthode de pistage et de contrôle absolument écrasante, terrifiante et ultime pour les États qui auront absolument toutes les peines du monde à ne pas céder aux sirènes alléchantes que les lobbyistes des industriels précités leur jetteront dans les bras.

Est-ce surprenant alors que l’histoire récente et passée fourmille d’exemple de telles collusions ouvertes et profondes ?

Est-ce inimaginable de voir se mettre en place de tels plans qui vont réduire les libertés des Européens à un vague souvenir sépia alors que la crise a déjà illustré quelques magnifiques exemples de collusions et de corruption profonde ? Par exemple, l’Union européenne ne s’est-elle pas ainsi fendue d’un milliard d’euros pour un remdesivir finalement nocif ?

Plus proche de nous, en France, il faut se souvenir du niveau de collusion entre État et entreprises privées bien introduites lorsqu’il s’est agi d’installer des portiques éco-taxe : le lobbying intense de certains industriels avait permis la mise en place, au frais du contribuable, de portiques qui allaient taxer d’abord les camions puis les voitures sur toutes les grandes routes de France… Les connivences étaient nombreuses et on pourra se reporter à un intéressant résumé ici.

Pour ce pass, nous sommes clairement dans le cas d’un problème créé de toutes pièces par l’État dont seul lui pourra apporter la solution, qui lui aura été soufflée de bout en bout par des industriels à l’éthique globale assez souple puisque la mise en coupe réglée de tout un peuple ne semble pas trop leur poser de souci.

On peut ainsi imaginer que les prochaines étapes, après cette prolongation du pass, incluront la découverte – ô surprise – que le pass est parfois contrefait, ou inefficace puisqu’on ne lui a pas adjoint l’identité réelle du porteur, et qu’il conviendra donc de rendre tout ceci biométrique (par exemple). La numérisation de l’identité sera une formalité.

Comme un cheptel de vaches et de moutons, nous sommes progressivement numérotés et pucés, avant la tonte et l’abattoir. Cependant, rappelez-vous : le projet des portiques « écotax » a finalement été abandonné et cet abandon n’a pas été demandé poliment.

Si l’on veut que le pass et ses avatars suivants disparaissent, il ne saura en être différemment.

H16

Trouvé sur les moutons enragés

Toujours pour votre information

(Etincelle) Sarah

DECODAGE DE L’IMPOSTURE DES CORONA X-FILES – MARC GRAY

Décodage, décryptage et état des lieux sur la prise d’otages des peuples de la planète par le cartel mondial de la maladie et de la finance, et exposé sur ses pratiques et objectifs officiels! Cette première vidéo explique ma démarche. Je m’excuse par avance pour les quelques minutes de léger décalage entre le son et l’image au début, dû à un souci technique de montage. Cette série de vidéos qui sont postées et les prochaines à diffuser très bientôt, est consacrée à la plus grande escroquerie et imposture planétaire, au sein de l’illusion qui nous sert de réalité inversée et pervertie, se veut une voix dissidente dans ce village de prisonniers zombifiés mondial… qui obéissent et n’écoutent que la pensée dominante des médias, pourtant habitués à vous mentir depuis des éons! Il comprendra des « coups de gueule », des enquêtes et observations, et témoignages de personnes du quotidien et d’anciens intervenants déjà invités sur ma chaîne. L’information et la réinformation authentique et sincère nous libérera, ou au moins nous allons tenter de marquer le coup! Bonjour chez vous les numéros 6, vous êtes déjà plus d’un milliard dans ce grand village, retenus confinés simplement par un enfumage hypnotique global persistent! Il ne tiendra qu’à vous de vous réveiller!

 

 

 

Source :  youtube Marc Gray 

             ou  https://freedomufos.com/documents-com…

 

Merci à Marc Gray pour son travail et ses recherches à ce sujet

 

  Etincelle (Sarah)

DES VERITES QUE PEU DE PERSONNES VEULENT ADMETTRE A PROPOS DE TRUMP ET CIE

 

 

 

Pour une fois je ne prendrais pas de gants pour oser dire qu’il vous faut absolument ouvrir les yeux.  A chaque fois, et depuis très longtemps ils se jouent de nous. Ils nous manipulent encore et encore. Quand vos yeux verront enfin ce qui se passe, ce sera probablement un grand choc pour bien des gens qui croient pouvoir être sauvés.  Hélas non, pour être sauver il faut d’abord voir clair dans leur jeu. Il faut accepter beaucoup de choses en question pour qu’enfin apparaisse la nature de nos vrais ennemis …. Et merci à Marc Gray d’avoir publié cet article de James True

Etincelle

 

Je reprends ici un texte de James True, et en voici la traduction :

 

On oublie que Trump porte du maquillage orange. Il s’agit d’un sous-produit de la lutte en col blanc. Nous soutenons les politiciens et les partis de la même manière que nous soutenons les lutteurs. Tous portent maintenant du maquillage. Nous savons tous que DC est une mise en scène mais nous faisons semblant de ne pas comprendre.

J’ai passé du temps à plaisanter sur «Orange man bad» à ressentir la réalité de «Orange man sad». Il semble que chaque président fait en sorte de cacher la réalité. Nous apprenons finalement que voter n’est qu’un moyen apaisant pour nous faire oublier. C’est le résultat du syndrome de Stockholm. Nous reprendrons nos terres et notre espace aérien à notre réveil. Si nous nous réveillons. Nous étions une confédération d’expériences. Nous avons l’habitude d’avoir quelque chose appelé gouvernement unanime. Nous pouvons à nouveau faire du gouvernement un ensemble d’accords. Il ne nous reste plus qu’à ouvrir les yeux et sortir du van.

[ Les mécènes m’aident à produire ce site Web. ]Tulsi, Assange et Trump poussent le récit selon lequel l’ Arabie saoudite était derrière le 11 septembre . Ils prononcent chacun les mêmes mots à l’unisson et les médias ont trouvé le moyen de les opposer. Pourquoi les gens continuent-ils de croire à cela? L’attaque intérieure du 11 septembre a exigé la conformité militaire américaine. Personne n’a été licencié. Personne n’a été puni. Ceux qui savaient que cela allait venir en ont le plus profité. Le 11 septembre était un pillage de manuels. Comme lors d’un ouragan, lorsque les pauvres peuvent voler des livres soutenus par la foule , les riches continuent de voler, profitant du traumatisme généré par un rituel satanique.

Nous avons tort de combattre la cabale. Kabal est une orthographe plus précise. La vraie cabale est dirigée par des kabbalistes. Le sionisme est l’un de leurs appartenance. Le kabal sacrifie la cabale pour se cacher. J’espère que cela a du sens. Steve Bannon est QAnon. Les preuves continuent de s’accumuler. Saviez-vous qu’il est payé à chaque fois que vous regardez Seinfeld? L’homme sait vendre un récit. Epstein devait mourir pour le public sans que QAnon intervienne. Maintenant qu’Epstein n’est plus là, Q a de nouveau fait réapparaître des actes d’accusation prometteurs. Je n’ai jamais douté de la mise en accusation. Ils sont une partie importante du spectacle. Il est crucial qu’ils ressortent APRÈS le fiasco de la destitution. Cela rendrait les actes d’accusation «problématiques» et influencerait  sa réélection. Il est crucial que ces actes d’accusation puissent ressortir car ils sont pour l’instant mis de côté et Steve Bannon (#QAnon) connaît bien ce jeu.

Remarque. Si Donald Trump avait publié les actes d’accusation sous scellés il y a quelques mois, selon Post Mueller, toute l’affaire de la destitution serait morte dans l’eau. Cela aurait été vu comme une réaction des coupables. Cela ruinerait le jeu que nous prétendons être un gouvernement représentatif. Mais on m’a dit que poser des questions me rend négatif et gâche le spectacle.

« Comment le fait de réparer Washington DC l’empêche-t-il de se reproduire dans 4-8 ans? »

Plus nous prenons soin de nous, moins nous avons besoin d’un gouvernement. La délégation est une forme d’abandon. La terre a besoin de nous pour sa milice, pas pour DC. DC ne pouvait même pas protéger son propre Pentagone. La terre a besoin de nous pour protéger son sol et ses eaux. DC continuera de violer la terre sous les auspices de la protection. La terre a besoin de nous pour se connecter avec elle et nos ancêtres enterrés dans le sol. Ils appellent nos ancêtres démons pour que nous les abandonnions. Une fois que nous l’avons fait, ils les ont remplacer par Washington. Déléguer notre souveraineté, c’est abandonner nos ancêtres. Les vrais patriotes sont réveillés. Ils comprennent ce que fait leur gouvernement et disent «non». Il n’y a rien de juste à faire confiance à un plan que vous ne pouvez pas voir. Ce n’est pas de la confiance, c’est de l’obéissance. Les patriotes sont l’antithèse de l’obéissance.

Pendant 11 ans, les politiciens ont décidé qu’Epstein était si important pour eux et n’ont pas pu raconter toute l’histoire de ce criminel jusqu^à qu’il soit incarcéré . Et à ce il n’a toujours pas fait face à la justice. « Le NOM vit dans un match de catch » Le silence sur Epstein montre maintenant à quel point la cabale a pu faire le silence dans nos esprits. Le nom du jeu est devenu vraiment déroutant maintenant.

(les médias en ont parlé beaucoup et puis plus rien maintenant, Etincelle)

« Profitez du spectacle en faisant confiance à la désinformation nécessaire pour que les patriotes contrôlent. »

Et c’est la stratégie que nous appelons la victoire. Chaque partie joue le jeu. Les gens qui enquêtaient sur la vérité il y a 12 mois joue maintenant du tambour. Leurs produits chimiques ont faits effet. Ils perdent la réputation du Pale Horse qu’ils ne verront jamais. La vérité est une vierge que nous jetons dans le volcan pour le petit déjeuner.

Tout d’abord, Washington vous limite à l’une des deux parties. Ensuite, ils parrainent un défilé de lanceurs d’alerte pointant à l’unisson l’Arabie saoudite. Personne dans les médias ne vous dit que le gouvernement l’a fait. Pas Snowden. Pas Assange. Pas Trump. Pas Tulsi. Non Q. Personne ne vous dira la vérité.

Le NOM veut plus de centralisation qu’autre chose . Si la Fondation Clinton dirigeait un réseau mondial de pédophilie et que des témoins comme Epstein ne pouvaient pas rester en vie, nous aurions besoin d’un tribunal mondial. One World Court = One World Order. Ce récit nécessite une putain de Babylone. Je ne dis pas cela pour être insultant. Une sorcière qui brûle ramène chaque fois le bétail à la maison. Le rôle d’Hillary est très important. Crucial. «Ils n’ont jamais pensé qu’elle perdrait»,c’est la chose magique fondamentale sur laquelle tout le reste est construit. Trump est l’outsider, champion renégat qui ne peut pas encore montrer ses vraies couleurs. Pas encore. Il doit jouer un peu plus longtemps. Ils ont dit la même chose à propos d’Obama.

La politique est une lutte professionnelle mise en scène.

Nous devons nous poser une question d’une importance vitale. Quelle chose magique s’est produite entre Obama et Trump qui a mis fin à la cabale? S’agit-il d’une guerre civile? S’agit-il d’une arrestation massive? Ou était-ce simplement un changement du bleu au rouge? Quelle chose magique est arrivée pour nous faire penser que tout est profondément et fondamentalement différent maintenant avec Trump? Tout ce que nous pouvons souligner, c’est une élection générale. Une élection générale où seuls quelques États décident qui est le candidat. Où une poignée de membres des collèges électoraux votent sans examen.  Si j étais un membre de ce collège. Est ce que vous entendriez un candidat perdant blâmer le collège pour fraude? Mon point est que le collège électoral est au-dessus de tout contrôle aux yeux de nos contrôleurs parce que cela fait partie de l’illusion que nous avons en place. Il s’agit de lutte entre collègues sans ceinture dorée géante.

Ce serait cool si nous avions une journée «les leaders d’opinion tweetent la vérité». Où une seule fois tous les grands comptes pouvaient en fait tweeter une dure vérité sur le 11/9, les dangers du sionisme, comment Q est attaché à Israël, ou pourquoi les républicains ne peuvent pas être les bons. Jusque-là, nous mourons ici. Nous pourrions travailler en équipe, mais les grands comptes trouvent trop risqué de briser ces lignes. Alors ils soutiennent de vieux ennemis épuisés et font semblant de les détrôner encore et encore pour leurs intérêts. C’est le même genre de lutte entre collègues que nous voyons à Washington ici même dans le mouvement de la vérité. Ils mettent ensemble leur propre lumière pour la dépenser sur l’échelle qui monte. Une fois que vous commencez à faire des compromis, cela devient plus facile pour eux à chaque fois.

Mon nouveau livre est maintenant sur les étagères! Achetez votre copie sur broché,  eBook ou je peux vous envoyer une  copie autographiée

 

Source  James True, Orange Man Sad

 

Désolée plutôt non, pour toutes les personnes qui rêvent encore trop, qui croient aux mensonges

  Etincelle

 

 

ENTRAVES A LA LIBERTE D’INFORMER : APRES LE SECRET DES AFFAIRES, LE SECRET DE LA REPRESSION

 

Voilà un article qui explique ce qui se passe de nos jours, et oui en Europe et en France …

Etincelle

 

 

La justice française vient d’interdire de fait à un journaliste indépendant d’exercer son métier : couvrir mouvements sociaux et manifestations de rue. Une nouvelle entrave, qui s’ajoute à la quarantaine de journalistes et photographes blessés par les forces de l’ordre dans le cadre du mouvement des gilets jaunes. Et une nouvelle inquiétude dans un climat qui, entre violences de rue et secret des affaires, commence à devenir pesant pour le droit à une information pluraliste.

Ce 23 avril, la justice a interdit à un journaliste indépendant, Gaspard Glanz, de couvrir les manifestations de gilets jaunes le samedi, ainsi que les mobilisations sociales du 1er mai. Gaspard Glanz a été interpellé place de la République lors de l’acte 23 des gilets jaunes à Paris, le 20 avril, puis placé en garde à vue au motif d’avoir adressé un doigt d’honneur à un policier, qui le repoussait alors que le journaliste tentait de s’adresser à son supérieur après avoir reçu une grenade de désencerclement dans les pieds.

« Gaspard Glanz est interdit de paraître à Paris tous les samedis et le 1er mai jusqu’à l’audience du 18 octobre. Nous regrettons cette décision qui porte atteinte à la liberté de la presse et à celle de travailler. Nous allons la contester », ont déclaré ses avocats, Raphaël Kempf et Aïnoha Pascual. « Je fais confiance à mes avocats pour aller librement samedi prochain ou le 1er mai, mais avec ou sans autorisation, j’y serai, quelles qu’en soient les conséquences. Parce que je suis journaliste en France, dans un pays de liberté », a dit Gaspard Glanz, interrogé par Reporterre à la sortie de sa garde-à-vue.

 

 

Vidéo de l’arrestation de Gaspard Glanz

Un autre journaliste indépendant, Alexis Kraland, a lui aussi été arrêté et placé en garde à vue pendant huit heures ce 20 avril. Les deux reporters se sont fait une spécialité de couvrir manifestations et mouvements sociaux, de Notre-Dame-des-Landes aux gilets jaunes, en passant par les évacuations de campements de réfugiés, et participant également à documenter les violences policières grâce à leurs images.

Silence assourdissant du ministre de la Culture et de la Communication, censé soutenir la liberté de la presse

Une vingtaine de rédactions ont apporté « leur plein soutien à Gaspard Glanz, empêché de couvrir les prochaines manifestations parisiennes, c’est-à-dire de travailler et d’informer ». Leur texte, intitulé « en soutien à notre confrère », fait suite à une controverse contestant la qualité de journaliste à Gaspard Glanz, au prétexte que la précarité de son statut ne lui permette pas de bénéficier d’une carte de presse. Les sociétés de journalistes « déplorent également le silence assourdissant du ministre de la Culture et de la Communication, pourtant censé soutenir la liberté et l’indépendance de la presse ».

Depuis le début du mouvement des gilets jaunes, des journalistes ont été à plusieurs reprises insultés ou molestés par certains manifestants. Le pouvoir politique et les forces de l’ordre ne sont pas en reste : depuis le 17 novembre, qui marque le début du mouvement, au moins 45 journalistes et photographes ont été blessés par les forces de l’ordre, dont quatorze à la tête, notamment par des tirs de Lanceur de balle de défense (LBD). « Yann Foreix, un photographe du Parisien a reçu un tir de LBD dans la nuque à une distance de tir inférieure à celle réglementaire. Il a perdu connaissance et a été évacué par les pompiers vers l’hôpital. Un autre photographe, Thomas Morel-Fort, a eu la main cassée par un tir de LBD. Des journalistes, dont Véronique de Viguerie et Boris Allin, se sont vu confisquer leur matériel de protection », rappelle le photographe Yann Castanier, sur Street Press.

Des journalistes « confrontés pendant le mouvement des gilets jaunes à un niveau de violence inédit en France »

Ce climat particulier inquiète l’association Reporters sans frontières : « L’année 2018 a vu le nombre des attaques et des pressions contre les médias d’information et contre les journalistes croître dangereusement. Insultés, menacés, agressés, voire blessés par des manifestants ou par les balles de défense des forces de l’ordre, des journalistes ont été confrontés pendant le mouvement des gilets jaunes en novembre 2018 à un niveau de violence inédit en France. Mécontents de la couverture du mouvement, certains groupes de gilets jaunes ont cherché à bloquer des imprimeries pour empêcher la distribution de médias. »

Défiance, voire insultes, à l’encontre de journalistes, de la part de personnes « mécontentes », ne peuvent être cependant mises sur le même pied que l’attitude du pouvoir politique, des institutions et de l’administration vis-à-vis de la liberté d’informer. Et sur ce point, le gouvernement semble se crisper. Le 4 février, la rédaction de Médiapart s’était opposée à une tentative de perquisition, suite à de nouvelles révélations dans l’« affaire Benalla ». La loi sur le « secret des affaires », adoptée à l’été 2018 par la majorité, permet d’entraver de manière bien plus discrète les enquêtes journalistiques. Ce « secret des affaires » a déjà été invoqué à deux reprises, dans l’affaire du Levothyrox, puis dans le scandale des implants files. En ciblant photographes et journalistes qui essaient d’exercer leur métier – photographier et filmer – dans le cadre de manifestations de rue, le gouvernement viserait-il à instaurer graduellement un « secret de la répression » ?

Article trouvé sur bastamag.net

 

Toujours pour votre information

  Etincelle

VOUS NE VERREZ PLUS LA SERIE GAMES OF THRONE DE LA MEME MANIERE (video de l’Archiviste)

 

game-of-thrones-hbo-mesures-empecher-fuites

 

 

LES JEUX DU TRONE IRL – MYTHES, LEGENDES ET REALITES

 

PARTIE 1 : Les jeux du trône IRL – De la monarchie aux gilets jaunes https://www.youtube.com/watch?v=vg6Qt…
PARTIE 2 : Les jeux du trône IRL – Le dragon et son royaume https://www.youtube.com/watch?v=Z56ED..
#GOTIRL#Partie3

Trouvé sur youtube l’Archiviste

 

Et voilà alors que cette série très connue passe sur nos chaînes TV, des explications avec cette vidéo, et les liens vers les autres qui remettent aussi en question ce que l’on nous montre ou pas ….

Etincelle

IMPRIMERIE ARJOWIGGINS, LE SCANDALE CACHÉ ! Pierre Jovanovic

Et si la France était dans l’incapacité de fabriquer ses propres billets de banque ? La question doit être posée après l’incroyable liquidation judiciaire de l’imprimerie Arjowiggins qui produisait les passeports, les cartes grises, les chèques de banque de la France. Pierre Jovanovic a mené une enquête sur le terrain. Il a découvert la détresse des 240 salariés abandonnés, le jeu trouble du gouvernement Macron et du ministre de l’Economie Bruno Le Maire. Et si l’on avait liquidé sciemment cette entreprise, stratégique pour les intérêts de la France ? Pierre Jovanovic fait cette révélation : »Ce que j’ai vu là, je l’ai vu en Grèce ! »

 

 

Trouvé sur Youtube

 

Encore pour votre information 

  Etincelle

LA BOLIVIE, A L’AUBE DE SES PREMIERES PRIMAIRES – Guillermo Montano

 

sans-titre.png

Les premières élections primaires de l’histoire de la Bolivie auront lieu le 27 janvier prochain. Anciens ministres, militantes féministes, journalistes, artistes, hauts fonctionnaires, commerçants, enfants de la rue, universitaires… Guillermo Montano s’est rendu en terres boliviennes pour recueillir un large éventail de points de vue dans la perspective de ce grand rendez-vous citoyen. Il nous livre son analyse.


 

Le 24 août 2018, avec l’adoption de la nouvelle loi sur les partis politiques, le parlement bolivien approuvait aussi l’obligation faite aux formations souhaitant participer aux joutes électorales de se soumettre à l’exercice encore inédit en Bolivie des élections primaires internes. Opportunité d’approfondir la démocratie pour certains, manœuvre pour mettre en difficulté l’opposition pour d’autres, toujours est-il que les premières primaires boliviennes auront bien lieu le 27 janvier prochain. Le Tribunal suprême électoral (TSE), entité chargée de leur organisation, vient de valider la participation de neuf binômes, dont celui très controversé du président et du vice-président en exercice, Messieurs Evo Morales et Alvaro Garcia. Au-delà des bienfaits théoriques de l’exercice, comment les Boliviennes et les Boliviens vont-ils investir ce tout nouvel espace d’expression citoyenne ? Survol du contexte et bouts de réponse1.

 

Un pays en transition2

Le 18 décembre 2005 après plus de vingt ans de gouvernements conservateurs incapables d’améliorer la qualité de vie de leurs populations, la Bolivie, en choisissant Evo Morales comme président, s’engageait avec espoir dans l’aventureuse voie du changement. La concrétisation de cet extraordinaire projet – fragilisé par des discordances au niveau de ses fondements idéologiques3 et furieusement malmené par l’hostilité viscérale de milieux minoritaires capables d’une très active et pernicieuse résistance4 – s’annonçait pourtant compliquée. Malgré ces vents contraires, la promesse de « temps nouveaux » faite par le Mouvement vers le socialisme (MAS) eut le mérite d’enchanter des pans entiers de la société bolivienne et parvint, lors de sa formulation, à susciter un formidable enthousiasme autour d’elle.

La conscience naissante à l’échelle internationale que de nouvelles manières d’envisager la vie en société étaient nécessaires et une approche économique particulièrement originale sont probablement deux des raisons qui expliquent pourquoi un processus aussi téméraire a pu être perçu à un certain moment comme étant plausible5. Par son amplitude et sa profondeur, cette singulière démarche a été à l’origine d’incroyables ouvertures dans l’imaginaire bolivien. Le pays a commencé ainsi à se percevoir et se projeter autrement, ouvrant la voie à une prolifique, étonnante et hétéroclite émergence de contemporanéités nouvelles.

Les grandes majorités, celles historiquement exploitées et discriminées, investissent désormais ces nouveaux créneaux avec engouement. Par contre, une partie des milieux autrefois privilégiés s’accrochent encore aujourd’hui, parfois inconsciemment, à des formes de déni et de résistance empreintes de mauvaise foi, de mépris et d’un racisme insidieux qui n’ose pas dire son nom.

Nul n’ayant l’entière maîtrise des facteurs pouvant déterminer la réussite des mesures envisagées, prises en tenaille entre enthousiasme et sabotage, il était clair depuis le début que la matérialisation du processus de changement bolivien allait être extrêmement laborieuse. C’est surement pour cela que la feuille de route du gouvernement ne visait dans un premier temps qu’une « simple » mise en mouvement via l’application à la fois prudente et volontariste de politiques de transition dans trois domaines prioritaires : la reconquête de la souveraineté, la réactivation productive et la décolonisation des institutions de l’Etat6.

 

 

Quel bilan après 13 ans ?

Traversés par de grands espoirs et de nombreux compromis, les premiers résultats du processus de changement bolivien ne pouvaient être que paradoxaux. Comment expliquer par exemple que cet ambitieux projet de transformation, celui-là même qui a chamboulé de bout en bout le fonctionnement du pays, ait étonnamment débouché sur la plus longue période de stabilité politique et financière de son histoire7 ? Ou comment encore expliquer que la diminution incontestable du niveau de pauvreté ait été accompagnée par des constants accroissements des bénéfices des entreprises privées8 ? Ces déconcertantes réussites et bien d’autres qu’on ne développera pas dans cette analyse9 ne doivent toutefois pas nous faire oublier qu’après plus de dix ans de travail le processus a aussi ses points faibles.

Il y a en effet des dossiers sur lesquels aucune avancée significative n’a été opérée, soit parce qu’il s’agit de problèmes structurels dont la solution ne peut être imaginée que sur la durée, soit parce que le travail fait n’a pas porté les fruits attendus. Relèvent de cette catégorie : l’asymétrie qui caractérise les alliances stratégiques conclues avec des colosses de l’économie mondiale comme la Chine et la Russie, la toujours faible industrialisation du pays, mais aussi et surtout des maux endémiques comme le racisme interne, la corruption, le machisme, la consommation abusive d’alcool ou la violence au sein des familles10.

On peut donc faire le constat que l’évolution des mentalités et des comportements a énormément de peine à suivre le rythme des progrès réalisés en termes d’infrastructure et de matérialité. Ce décalage constitue le principal talon d’Achille du processus et montre avec acuité que les modalités de sa mise en œuvre n’ont pas encore suffisamment incité les citoyens et ceux qui les représentent à adopter des manières de penser et d’agir indispensables à la pérennisation des changements envisagés.

De plus, sur le plan politique, sous l’effet corrosif des résistances conservatrices et des maladresses gouvernementales, des regrettables régressions commencent également à prendre corps : récupération des déceptions au travers de plateformes contestataires dépourvues de substance discursive, neutralisation des mouvements sociaux via l’établissement de liens organiques avec l’appareil d’Etat, refus des partis d’opposition de se repenser dans le cadre du processus en cours, incapacité du gouvernement à renouveler son leadership, durcissement des points de vue, disparition des espaces de concertation et, par conséquent, violente polarisation du climat politique avec la résurgence, de part et d’autre, de pratiques très en dessous du rêve d’une Bolivie habitée par la sagesse11.

Tout bien considéré, la Bolivie de 2018 n’est plus celle de 2005 et même si la tant souhaitée transition vers le changement n’est pas encore un fait irréversible, le pays a déjà bougé et continue à le faire. Indépendamment du fait qu’une partie significative de la population souhaite un renouvellement à la tête du pays, il est indéniable que ceux qui trouvent encore du sens aux mouvements en cours et se disent prêts à en découdre pour les préserver sont toujours nombreux12.

 

 

Les enjeux du moment

En relevant de gros défis, la Bolivie s’est créé des opportunités exceptionnelles : nombreuses initiatives gouvernementales ont aujourd’hui le statut de véritables politiques d’Etat et certaines d’entre elles ont même acquis une envergure continentale13. Dans ce nouveau contexte, il est plus sensé pour le pays d’aller de l’avant que de retourner en arrière. Se rediriger vers la république féodale du XXe siècle serait absolument absurde. Après un premier pas extrêmement difficile et indépendamment des résultats des prochaines élections présidentielles, la majorité de la population semble en effet ne pas avoir envie d’en rester là et rêve d’un deuxième pas qui consolide les avancées obtenues tout en corrigeant les dérives déjà repérées. Un certain nombre d’enjeux sont cruciaux dans cette perspective.

Le premier est celui d’une meilleure compréhension par les citoyens boliviens de la profondeur éthique des changements visés et de la part de responsabilité de tout un chacun au niveau de leur concrétisation. Un projet de la stature du processus bolivien ne peut pas aboutir sans qu’un changement de mentalités s’opère. Or la passivité des citoyens sur ce plan et le reflexe qui consiste à rendre le gouvernement seul responsable des maux qui affectent le pays condamnent la société bolivienne à un dangereux immobilisme.

Un deuxième enjeu concerne la nécessité de rendre plus cohérente l’armature conceptuelle du projet, en particulier au niveau des éléments idéologiques ayant tendance à se contredire mutuellement (par exemple le principe de confrontation contenu dans le slogan révolutionnaire « patria o muerte », versus l’esprit de complémentarité prôné par la philosophie indienne du « vivir bien »)14.

Le troisième défi que la Bolivie doit impérativement relever est celui de la dépolarisation du climat politique, de la régénération des espaces de concertation et de l’assainissement des modalités de gouvernance. Seule façon de permettre la reconstitution de volumes de sérénité et de lucidité suffisants pour relancer intelligemment le processus.

En quatrième lieu, sur la base d’une lecture du chemin parcouru, une redéfinition de priorités s’avère nécessaire. En plus de l’affermissement de la souveraineté nationale et du maintien réfléchi de la justesse des politiques économiques, d’autres sujets réclament un traitement privilégié : la préservation de l’indépendance des organisations de la société civile et une plus grande responsabilisation personnelle vis-à-vis des changements en cours font partie de ceux-ci. En effet, la loi contre le racisme, la loi sur la prévention de la consommation excessive d’alcool et la loi contre les violences faites aux femmes, entre autres, nécessitent aujourd’hui, pour ne pas devenir des écrits sans âme, une mise en action qui n’est plus à ce stade du ressort de l’Etat mais de chaque citoyen !

Finalement, pour ceux qui aspirent aux plus hautes fonctions de l’Etat, il y a un enjeu méthodologique majeur autour de la manière de gouverner, en particulier de la façon de prendre l’avis de la rue, y compris celui de cette partie de la population qui résiste encore à la mise en place d’une nouvelle Bolivie.

Au regard de ce qui précède, il est clair que ce qui devrait concentrer l’attention des Boliviens en ce début d’année est bel et bien la mise en place d’un large échange d’idées permettant l’identification des ajustements concrets capables de donner de nouvelles impulsions aux évolutions en cours. Les inévitables querelles autour de la détermination de l’organisation politique ou du leader le mieux à même de conduire avec succès ces réglages, bien qu’incontournables, ne devraient pas prendre l’ascendant sur l’urgence de débats citoyens à propos de la manière de revigorer et réorienter le processus.

 

 

Et les primaires donc…

Pilotées par un Tribunal suprême électoral qui vit depuis plusieurs mois une crise aigüe marquée notamment par une impressionnante série de démissions, investies à contrecœur par les partis d’opposition dont certains espèrent toujours obtenir l’annulation, suivies avec réticence par les citoyens n’adhérant à aucune des formations en lice, les primaires de janvier 2019, malgré leur valeur intrinsèque, ne semblent pas être de nature à marquer les esprits15.

Le TSE, en acceptant le 4 décembre 2018 la candidature du binôme Evo Morales-Alvaro Garcia, a déclenché comme tous le prévoyaient la colère et la mobilisation des différents secteurs de l’opposition bolivienne16. Du pain béni pour tous ceux qui – à l’intérieur et à l’extérieur du pays – s’accommodent bien des tensions, de la violence et de l’absence de débats. Une circonstance catastrophique pour la majorité de la population bolivienne qui en a par-dessus la tête des conflits dont elle sait qu’ils n’apporteront rien de positif.

Côté partis, le MAS semble prêt pour l’exercice et affiche déjà une incommodante confiance. En ce qui concerne les partis d’opposition, ils font preuve d’une douteuse ambivalence : très critiques quant à l’introduction accélérée du dispositif, la plupart d’entre eux ont pourtant déjà demandé et obtenu le droit d’y participer. Bon signe ? Une partie de l’énergie qu’ils consacrent à attiser les feux de la confrontation pourrait-elle être ainsi investie dans les débats internes propres aux primaires ? Absolument pas car tous les partis pouvant participer à ces primaires (MAS y compris) ne présenteront que des candidatures uniques, le débat interne n’aura donc pas lieu. Le débat entre partis non plus car pour l’heure les formations de l’opposition refusent d’investir ce terrain. Ainsi dévitalisées, réduites à de simples exercices d’intronisation partisane, ces primaires n’apporteront visiblement pas grand-chose, ni en termes d’apaisement, ni en termes d’échange d’idées.

Au-delà de leur valeur principalement symbolique, ces primaires constitueront tout de même un premier test s’agissant de la capacité des partis d’être à la hauteur des enjeux qui secouent la Bolivie. Sauront-ils être vecteurs de sérénité ? Proposer une vision pour le pays ? Apporter des idées pour renforcer la solidité du processusbolivien ? Sauront-ils générer dans l’esprit de l’ensemble de la population un nouvel enthousiasme fédérateur ? Là encore, le doute est de mise car la formulation de programmes de gouvernement, condition sine qua non pour la tenue de débats sérieux sur l’avenir du pays, est pour l’instant désertée par les partis de l’opposition. Ce faisant, non seulement ils affaiblissent leur crédibilité auprès des citoyens non partisans, mais pire encore, ils privent l’ensemble du pays de ce dont il a le plus besoin en ce moment : des débats de fond permettant de dégager des terrains d’entente sur lesquels une saine gouvernance peut être reconstruite.

La manière originale dont ces primaires ouvriront la campagne en vue des élections d’octobre 2019 et les résultats sans surprises qu’elles produiront, ne manqueront cependant pas de donner des indications intéressantes pour la suite. L’importance et le profil de la participation par exemple permettront d’avoir une première idée du poids spécifique des partis en lice. Le nombre des voix qu’ils obtiendront aidera à soupeser leur ancrage citoyen et obtenir une première estimation du vote dur sur lequel ils pourront compter plus tard. La qualité des interventions publiques de leurs candidats donnera quant à elle un premier aperçu de la capacité de ces derniers à susciter l’intérêt de leurs éventuels alliés ainsi que la sympathie d’un électorat dont tout indique qu’il ne fera aucun cadeau au moment de glisser son vote dans les urnes.

Les candidats en compétition ont-ils la stature nécessaire pour gouverner un peuple qui a appris à ne pas se laisser faire ? Pour l’heure, neuf binômes sont encore tentés par l’idée de prendre les rênes du pouvoir. Néanmoins peu d’entre eux sont réellement en condition d’obtenir des scores respectables au premier tour. En outre, et c’est assez surprenant, parmi les candidats conservateurs les plus suivis, il y en a qui donnent l’étrange impression de manquer de conviction. Ils enchaînent les actes manqués et adoptent des postures susceptibles de leur faire perdre des voix, tout en parlant déjà de fraude massive. Seraient-ils plutôt dans une logique insurrectionnelle qu’électorale ? Le double jeu auquel ils se livrent, propre à des tactiques de déstabilisation bien connues, pourrait le laisser penser. Ou bien auraient-ils tout simplement peur de gagner ? On pourrait, là aussi, le concevoir tant il est sûr que, dans un pays devenu exigeant, le vainqueur sera, à coup sûr, attendu à chaque tournant y compris dans ses propres rangs17. Affaire à suivre.

 


Références:

1. Pour déchiffrer correctement ce qui est en train de se passer aujourd’hui en Bolivie, il est indispensable de bien prendre la mesure des dégâts durables produits par l’asservissante ingérence qu’elle subit depuis plusieurs siècles mais aussi de la portée émancipatrice de la singulière révolution dont elle est, depuis 2005, l’héroïque protagoniste. Bien saisir la « longue et difficile marche » du peuple bolivien vers sa concrétisation nécessite qu’on lui accorde le droit de nous surprendre.

2. Le sociologue Fernando Mayorga dans l’introduction de son essai “Cambio politico y transicion estatal en Bolivia” insiste sur le rôle décisif du gouvernement actuel dans la métamorphose du pays : http://www.flacsoandes.edu.ec/system/tdf/agora/files/1233169354.1210707745_1__2.pdf?file=1&type=node&id=61149

3. On parle ici des discordances entre des notions telles que socialisme communautaire et capitalisme indien ; entre approches économiques misant sur l’extractivisme et approches centrées sur la préservation de l’environnement ou encore entre des philosophies conçues autour de la confrontation et d’autres articulées sur la complémentarité. Katu Arkonada, dans un article sur le processus bolivien, évoque certaines de ces contradictions :  http://www.rebelion.org/noticia.php?id=131899

4. Parmi leurs modes opératoires figure le recours au montage de campagnes médiatiques s’inscrivant dans la droite ligne de ce « parajournalisme » dont les fake-news constituent l’expression contemporaine la plus visible. Earle Herrera, professeur à l’Université Centrale de Venezuela, nous dit dans son article ce qu’il pense de cette particulière manière de faire : http://www.radiomundial.com.ve/article/paraperiodismo

5. Viviana Diaz Frias nous dit un peu plus sur le modèle économique bolivien : https://frances.prensa-latina.cu/index.php?option=com_content&view=article&id=881249:le-modele-economique-social-communautaire-productif-et-le-qmiracle-bolivienq&opcion=pl-ver-noticia&catid=69&Itemid=101

6. Luis Alberto Arce Catacora, ancien ministre de l’économie, explique ce choix et d’autres particularités du modèle bolivien dans la revue « Eco-Plural » publiée en août 2015.

7. Gerardo Quelca Salazar, Directeur de Recherche à l’Autorité de supervision du système financier bolivien, dans un article publié en janvier 2018, commente l’effet stabilisateur de la corrélation entre continuité politique et performances économiques : https://www.paginasiete.bo/opinion/2018/1/29/estabilidad-poltica-estabilidad-sistema-financiero-168072.html#!

8. Francisca Guerrero de la revue « Pulso » décrit et analyse les caractéristiques de cet apparent paradoxe :  http://www.pulso.cl/economia-dinero/milagro-economico-los-doce-anos-evo-morales-poder/

9. Des interviews faits en Bolivie entre août et septembre 2018 soulignent l’importance de concrétisations fortes telles que l’approbation d’une nouvelle et très originale constitution, la nationalisation des ressources premières et la reconnaissance formelle des nations indiennes et leur présence désormais effective dans les sphères du pouvoir. Ils signalent aussi des efforts remarquables tendant à moderniser l’administration publique ainsi que la mise en place des mécanismes de décentralisation qui permettent aujourd’hui aux communautés paysannes d’accéder, beaucoup plus que par le passé, à des ressources avec lesquelles de vrais projets de développement locaux peuvent enfin commencer à être envisagés.

10. Synthèse personnelle sur la base d’interviews faits en Bolivie entre août et septembre 2018.

11. En effet, l’immorale manipulation de l’opinion publique, ayant biaisé les résultats de la votation du 21 février 2016, empêchant Evo Morales de briguer un nouveau mandat, et la discutable sentence du Tribunal constitutionnel plurinational du 28 novembre 2017 l’autorisant finalement à le faire, ne sont pas – et de loin – les faits les plus glorieux de l’histoire politique bolivienne.

12. Synthèse personnelle sur la base d’interviews faits en Bolivie entre août et septembre 2018.

13. Par exemple le couloir ferroviaire interocéanique reliant le port de Santos au Brésil avec des ports péruviens : https://blogs.mediapart.fr/guillermo-saavedra/blog/221217/corridor-bi-oceanique-projet-qui-unit-les-ports-de-latlantique-et-du-pacifique

14. L’archipel de compromis sur lequel repose le processus bolivien contient des éléments dont la logique n’est pas encore suffisamment rendue cohérente.

15. Appréciation personnelle sur la base d’un suivi des actualités sur le sujet.

16. Evo Morales arrive en 2019 au terme du nombre de mandats prévus par la constitution bolivienne, mais son parti, moyennant un mécanisme d’interprétation constitutionnelle, a obtenu l’autorisation de soumettre sa candidature au verdict du peuple une nouvelle fois.

17. Synthèse personnelle sur la base de discussions informelles maintenues en Bolivie entre août et septembre 2018 avec un large éventail de citoyens boliviens.

LA PUCE RFID – ATTENTION DANGER !!! – IMPLANTATION DE PUCES RFID, LA PRESSE DU SYSTEME LANCE UNE OFFENSIVE MAGEURE

 

« Maintenant viennent les porteurs de puce ! » titrait le journal Swiss BLICK sur la page d’accueil de son site web le 14 mai 2018. Les trois premières pages du journal ressemblaient à une campagne publicitaire pour des puces RFID implantées : « Une petite puce pour lui – une grande mise à jour pour l’humanité »

« Quiconque a peur d’une mauvaise utilisation des données doit se méfier de Facebook et de l’assistante vocale Alexa d’Amazon et non de ces puces. » Les soi-disant spécialistes disent : « Les implants à micro puce ne nous donnent pas moins de sécurité numérique, mais beaucoup plus. »

« C’est ce qu’on ressent quand on devient cyborg », a publié RedBull dans une campagne publicitaire. « Un implant de biopuce fait de vous plus qu’un humain. On va vous montrer comment ça marche. » « Le seul moyen pour les humains de suivre les machines est de les intégrer en nous. » 

Cliquer sur le lien :

 

Les reporters grand public se font implanter des puces radio devant la caméra et en public, par exemple Tim Kuchenbecker dans l’émission ARD Tagesschau. Kuchenbecker a le mandat d’une agence médiatique pour être l’exposant lors du salon CeBIT. Le journaliste de presse voit de nombreux avantages à être pucé. « Je crois vraiment que c’est l’avenir. J’en suis convaincu ».

Une jeune journaliste de youFM : « Là-dedans se trouve une puce NFC minuscule. Plus ou moins de la taille d’un grain de riz. J’espère que je vais pouvoir ouvrir des portes, envoyer des données à des smartphones… Et maintenant cette puce est ici dans ma main. » « Oh Alléluia. Ah, je suis si contente ! »

Ceux qui prédisaient il y a quelques années que dans un avenir proche nous serions implantés sous la peau avec une puce radio ont été qualifiés de conspirationnistes. Aujourd’hui, la presse du système fait la promotion de l’implantation de puces radio RFID de manière ciblée et coordonnée. De telles campagnes publicitaires conduisent au génocide de groupes nationaux, raciaux ou religieux et doivent être stoppées par le peuple !

Comment faire ?

Un tel génocide se déroule de manière sournoise et suit son cours de nos jours avec l’abolition de l’argent liquide. Si vous refusiez avec véhémence tout paiement sans numéraire de nos jours, vous ne pourriez exister que de façon très restreinte et bientôt plus du tout.

En effet, votre employeur ne verse votre salaire mensuel plus que sur un compte bancaire. Votre propriétaire demande le loyer mensuel par virement bancaire. Vous ne pouvez réserver votre voyage d’affaires sur Internet que sans argent liquide. Aimeriez-vous payer en liquide pour une nouvelle voiture ? En France, avec un plafond de 1 000 € en espèces, vous ne pourriez acheter qu’un tas de ferraille sur roues.

La restriction de votre liberté personnelle se fait de manière insidieuse et prétendument à votre avantage. Mais sans moyens de paiement tracé, vous n’existeriez bientôt plus. Nous expérimenterons le même processus avec l’implantation des puces RFID :

La première génération d’implants rendra les clés superflues et permettra de mettre en réseau les appareils de la maison. La nouvelle génération remplace votre portefeuille, votre carte de crédit, votre carte d’assurance, etc. et fait de vous un citoyen totalement transparent. Au plus tard à la troisième génération de puces, vous pourrez être localisé et contrôlé partout dans le monde.

Ceux qui, pour des raisons religieuses, éthiques ou autres, ne veulent pas se faire implanter une puce seront tôt ou tard exclus de la société et ne pourront plus participer à la vie publique. Appelez ça aussi aujourd’hui une théorie de conspiration. Ce sera une conspiration si on ne l’arrête pas ! STOP RFID – cela conduit au génocide !

Dans ce contexte, étudiez également nos émissions Kla.TV bien documentées sous les liens qui s’affichent et protestez contre toute nouvelle avancée de cette technologie anti-humaine :

http://www.kla.tv/338 // RFID – Quoi de neuf ?
http://www.kla.tv/10679 = 10824 en Français // Le développement d’implants à puce présente un énorme potentiel d’utilisation abusive
http://www.kla.tv/1804 /// Stop RFID

Kla.TV

Puce RFID, l’humanité sous contrôle.

La micro-puce sous-cutanée RFID (″radio frequency identification″ ou ″dispositif d’identification par radiofréquence″) ne date pas d’hier, cela fait plus de 40 ans que l’on travaille dessus. Déjà surnommée ″puce-espionne″, elle commence à être imposée dans certains pays et promet des risques majeures pour les libertés et la santé des individus !

Introduction

Les puces électroniques sont aujourd’hui devenues si ″banales″ que nous n’y prêtons même plus attention. Elles sont partout : dans nos machines à calculer, nos ordinateurs, nos appareils ménagers etc. Nous les trouvons aussi sur nos cartes de banques, nos cartes d’identité, nos clés de voiture et de multiples autres supports.

Il existe un type de micro-puce plus spécifique qui se place par exemple sur les produits de consommation, pour des raisons  ″de logistique ″ : les puces RFID.

Les étiquettes munies de puces RFID les plus grandes sont constituées d’un papier autocollant de quelques centimètres carrés et qui possède une antenne de forme à peu près carrée et enroulée sur elle- même. Ce système des ″tags RFID″ est déjà employé par l’armée américaine et les militaires en général depuis un bon bout de temps.

Les puces RFID les plus petites sont infimes (elles ont la taille d’un grain de poussière). Après l’armée, les entreprises privées s’y mettent aussi, désormais : les rasoirs ″Gillette″ et vêtements ″Benetton″, ainsi que les supermarchés ″Carrefour″ont déjà équipé des puces minuscules sur les emballages de leurs produits, également dans les produits eux-mêmes, et ces puces sont appelées à remplacer les codes-barres que nous trouvons sur tous nos produits.

Ces puces émettent des signaux ce qui, entre autres choses, leur permettent de signaler qu’il faut réapprovisionner les magasins dès que ceux-ci sont en rupture de stock. Chose intéressante, les puces RFID, historiquement, ont commencé à être utilisées dans le domaine militaire (fuselage des avions, notamment) et… pour l’espionnage.

Certains groupes de consommateurs comme l’association américaine CASPIAN, crient déjà, avec raison, au scandale et à l’invasion de la vie privée… D’ailleurs, plusieurs entreprises utilisant la RFID ont déjà été surprises en train de violer la vie privée des gens, en utilisant ces puces à l’insu des clients.

Ndlr : La RFID est déjà en train d’être remplacée par la ″COMPUTATIONAL RFID″ ou CRFID, par laquelle les puces RFID sont transformées en de véritables mini-ordinateurs avec davantage de possibilités.

Depuis déjà quelques années on implante dans les animaux des micro-puces RFID encapsulées dans du verre (ou transpondeur) et comportant une antenne enroulée, qui contiennent des données sur l’animal (nom, vaccinations etc.) et permettent de l’identifier, de le localiser et de le retrouver, éventuellement par satellite, lorsqu’il s’est perdu ou échappé. Bref, ce qui n’était hier encore que de la science-fiction est aujourd’hui bien réel.

Le problème c’est que l’obligation d’appliquer cette technologie RFID au corps humain commence à se répandre.

Voici 2 vidéos démontrant que l’implantation de micro-puces sous-cutanées pour humain a déjà commencé. La première est celle que les médias mainstream essaient de vous ″vendre″ en ne parlant que des ″avantages″ et des ″pouvoirs″ que vous procure la puce. La deuxième est nettement plus explicite et détaillée, avec des explications sur les dangers potentiels que la micro-puce RFID représente.

Ndlr: A priori, cette hypothèse d’une micro-puce implantée à grande échelle sur des humains pourrait relever de la ″paranoïa″… Mais après la lecture de ce qui suit et après la découverte des dangers colossaux que représentent ces puces, sans doute changerez-vous d’avis.

Histoire de la RFID

Le docteur Carl W. Sanders, qui a participé au développement de la puce RFID, est un ingénieur en électronique et un inventeur qui a travaillé auprès de nombreuses organisations gouvernementales et de compagnies telles que IBM, General Electric, Honeywell et Teledyn. Durant 32 ans, il a œuvré dans le domaine bio médical.

En 1968, le docteur Sanders participe à un projet de recherche concernant un pontage spinal, afin de soigner une dame dont l’épine dorsale était endommagée. Le but était de trouver une solution pour relier les nerfs moteurs. Ce projet aboutit à la création d’une micro-puce (microchip) qui se recharge de façon autonome grâce aux changements de température du corps humain, ce qui lui donne une durée de vie pratiquement illimitée.

Pour ce faire, elle possède un circuit de rechargement thermo électrique, ainsi qu’une petite pile au lithium rechargeable. Il fut confirmé au Dr. Sanders par un docteur du Centre Médical de Boston que si la micro puce venait à se briser dans le corps humain, en raison du lithium, cela provoquerait une grave plaie, douloureuse et remplie de pus. Mais ″on″ décida malgré cela d’utiliser une pile au lithium pour la micropuce…

On découvrit ensuite que les 2 endroits du corps humain où la température change le plus rapidement sont le front (juste en bas de la naissance des cheveux) et le revers de la main. Par suite de considérations financières (la puce ne ″rapportait pas assez″), il fut signifié aux responsables du projet qu’ils devaient trouver de nouvelles applications pour cette puce.

Comme il avait été remarqué que le changement de fréquence de la micro-puce avait des effets sur le comportement une fois implantée dans le corps, ″on″ orienta les recherches sur la possibilité de modifier le comportement humain à l’aide de la micro-puce. Cette dernière pouvait diffuser un signal qui stimulait certaines parties du cerveau. On pouvait, par exemple, augmenter le taux d’adrénaline, ce qui provoquait un changement de comportement…

De plus, selon les découvertes effectuées par Carl Sanders et son équipe, le contrôle des naissances peut-être effectué via l’utilisation de la puce qui arrête le rendement de la glande pituitaire (hypophyse), ce qui produit une ménopause instantanée. Ceci a été examiné en Inde et dans d’autres parties du monde.

Lors d’une réunion devant des membres de la C.I.A. et d’importantes personnalités telle que Henry Kissinger (ancien secrétaire d’Etat américain partisan d’un nouvel ordre mondial au passé plus que douteux qui dirigea les chefs d’état major de l’armée et supervisa personnellement les opérations majeures de la C.I.A. et du F.B.I.), on fit remarquer au Dr. Sanders que, pour pouvoir contrôler un peuple, il fallait d’abord pouvoir l’identifier.

Il fallut donc encore une fois réorienter le projet et ajouter à la micro-puce la faculté d’emmagasiner et de restituer des données qui pourraient inclure le nom et le visage de la personne, son numéro de sécurité sociale (avec les codes internationaux), ses empreintes digitales, sa description physique, la généalogie de sa famille, son adresse, son occupation, des informations concernant ses rapports d’impôt et son dossier médical. La ″restitution″ des données peut se faire à l’aide d’un scanner spécial qui analyse et traite les données contenues dans la puce.

Deux types de scanners différents conçus afin de lire le numéro unique de la RFID et afin de relier ce numéro à une base de données en ligne. A gauche, le modèle portatif ; à droite, le modèle ″portail″.

Parmi ses composantes, la micro-puce possède un émetteur-récepteur qui envoie un signal numérique à base de pulsions transmettant 85 éléments de données. Il émet aussi, à intervalles réguliers, un signal analogue créé numériquement. Utilisé comme un relais et via les bases terrestres, les antennes-relais et les satellites, ce signal envoie des informations essentielles, servant éventuellement à localiser le porteur. Le porteur de la RFID devient donc une ″antenne vivante″ !

Le docteur Sanders assista à 17 réunions à travers le monde (dont Bruxelles et le Luxembourg) où ces sujets furent discutés dans l’esprit d’un gouvernement mondial unique (nouvel ordre mondial) et d’une monnaie mondiale unique.

Ndlr : L’idée d’une monnaie mondiale unique n’est pas nouvelle, regardez l’évolution en Europe, par exemple… la plupart des monnaies nationales ont été remplacées par une monnaie supranationale : l’euro. En 2009, une étape très importante a été entamée, soi-disant ″afin d’aider à régler la crise économique mondiale″, mais elle a été peu signalée : les premières déclarations et les premiers pas vers l’adoption d’une monnaie unique mondiale.

A la base, le G20 et le FMI avaient parlé du SDR (special drawing right, ou droit de tirage spécial) pour remplacer le dollar en tant que monnaie de réserve mondiale. D’autres dirigeants, dans le monde entier, se positionnaient en faveur d’une monnaie mondiale, sans expliquer exactement ce que celle-ci devrait être. Une monnaie mondiale nommée ″euro dollars″ fût présentée aux participants du G8.

Lire aussi:  Un adolescent de l’Illinois décède d’une encéphalomyélite aiguë disséminée 3 semaines après avoir été vacciné contre le HPV

L’organisation des nations-unies (ONU) a proposé par la suite une monnaie unique mondiale en or (L’ORO) et en argent (L’UNO). http://www.futureworldcurrency.com

Une monnaie qui sera sans doute une monnaie de singe mais qui permettrait le passage à ″autre chose″. Cette monnaie a été confirmée par le World Gold Council. Quant aux déclarations en faveur d’un Nouvel Ordre Mondial, elles sont trop nombreuses pour pouvoir les inclure ici. Visionnez la vidéo ci-dessous où vous entendrez de nombreux chefs d’Etat faire appel à ce gouvernement mondial ou au Nouvel Ordre Mondial.

Carl Sanders, après avoir terminé le projet, devint pasteur et décida de faire de la prévention et d’avertir les populations des dangers que représente la micro-puce. Cette micro-puce, grâce à la miniaturisation,  contient 250.000 pièces et peut être implantée sous la peau à l’aide d’une seringue hypodermique et sous anesthésie locale.

http://trumpetministries.net (site web de Carl Sanders).

La situation aujourd’hui

La puce sous cutanée commence à être proposée, voir, à devenir obligatoire !

Ainsi, le président colombien Uribe a proposé, afin de s’assurer que tous les travailleurs colombiens qui partaient travailler de façon saisonnière aux U.S.A. reviennent bien en Colombie, qu’on puce ces travailleurs afin de pouvoir les pister et afin de pouvoir les repérer et les récupérer dans le cas où ils tenteraient de rester de façon illégale aux U.S.A.

Les U.S.A. ont repris ce concept : on parle à présent de pucer les travailleurs immigrés afin de s’assurer qu’ils retournent bien dans leur pays et qu’ils ne restent pas aux U.S.A. en tant qu’immigrés illégaux.

Le Mexique a décidé que les travailleurs et visiteurs provenant du Guatemala et du Belize devaient également se faire pucer.

PositiveID est en pleine discussion avec Washington afin de pouvoir pucer les soldats américains (la puce remplacerait ainsi les ″dogtags″ (médaillons pour chiens), ces médaillons qui reprennent les données spécifiques de chaque soldat).

Un projet visant à pucer tous les employés des aéroports américains est à l’étude devant le Congrès des USA. En effet, les consignes de sécurité démesurées prises depuis le 11 septembre 2001 contre le terrorisme mènent soi disant à la prétendue nécessité de contrôler et de pister tous les membres du personnel des aéroports.

La Malaisie a acheté des micro-puces (d’une marque différente de celles de PositiveID) qui peuvent s’utiliser de différentes manières, mais aussi sous la peau et à des fins de repérage et d’identification.

Certains pays d’Asie ont signé un accord avec Applied Digital Solutions et Verichip Corp./PositiveID pour l’achat et la distribution, étalée sur 3 ans, de 65.825 verichips/Health Links et de 4.687 scanners minimum. Ces pays sont la Malaisie, l’Indonésie, la Thaïlande et la Corée du Sud.

Le Canada, via la Colombie Britannique, a également été touché : en effet, Applied Digital Solutions vient de faire une offre pour acheter une compagnie basée en Colombie Britannique et appelée EXI Wireless Inc. Cette acquisition a ajouté environ 200 revendeurs et distributeurs à VeriChip Corporation/PositiveID. Le but clairement avoué est de répandre et de distribuer la verichip/Health Link au maximum dans les hôpitaux canadiens.

En novembre 2003, lors d’un salon de la sécurité qui se déroulait à Paris, le patron d’Applied Digital Solutions a fait une déclaration fracassante en révélant que la verichip/Health Link pourrait être le ″moyen de protection ultime″ et qui, en plus, pourrait amener les gens à une société sans argent cash et sans chèques. Il semble donc bien que le but d’utilisation de la micro-puce sous cutanée pour humains en tant que ″monnaie unique″ signalé par Carl W. Sanders soit en train de se confirmer.

Et désormais, l’Afrique, Singapour, Taiwan et l’Arabie Saoudite possèdent eux aussi leur distributeur agréé Verichip/PositiveID.

Enfin, en ce qui concerne l’Europe, Applied Digital Solutions a trouvé un distributeur agréé en Espagne (là où les attentats ″terroristes″ de Madrid se sont produits). Une chaîne de boîtes de nuit appelées

″Baja Beach Club″, utilise également la Verichip/Health Link comme un portefeuille électronique ainsi que comme un abonnement pour ses fidèles clients et pour ses ″V.I.P.″.

Le gouvernement du Royaum-Uni a décidé de suivre le mouvement mondial et de pucer les prisonniers. Des accords commerciaux avec la compagnie londonienne Surge IT Solutions pour la distribution de la Verichip ont été signés : 9000 micro puces sous-cutanées et 110 scanners ont été commandés.

La Suisse et la Russie se sont également jointes au nombre de pays concernés en commandant un certain nombre de micro-puces sous-cutanées ″Verichip″ et de scanners ″Verichip readers″.

Plus de 30 pays de par le monde sont donc déjà touchés par le fléau de la micro-puce RFID !

La Food and Drug Administration (organe officiel chargé d’étudier tous les médicaments et appareils médicaux, de les valider ou de les réfuter pour le marché américain) a donné la permission à la puce RFID VeriChip d’être utilisée dans les hôpitaux U.S. à des fins soi-disant ″médicales″, tout en reconnaissant que cet implant représente de façon certaine des dangers pour la santé.

Car une autre composante du problème est que les puces RFID sont cancerigènes. Ceci a été révélé par plusieurs études universitaires effectuées sur des animaux de laboratoire. Ces animaux (rats, souris et chiens) avaient développé des tumeurs malignes à l’endroit de l’implantation et tout autour de la puce. http://www.nextinpact.com

L’organisation américaine CASPIAN a diffusé un rapport de 52 pages sur les études universitaires menées, et qui prouve que le caractère cancérigène des puces RFID implantables est bien une réalité. Ce rapport peut être visionné et téléchargé sur http://www.antichips.com.

Suite à ce rapport, CASPIAN a lancé un appel afin que les puces RFID implantables soient complètement abandonnées pour les humains, et que les programmes de puçage obligatoire des animaux soient eux aussi supprimés. Nous connaissons d’ailleurs la raison pour laquelle ces implants sont cancérigènes : les ondes radio fréquences employées dans tout dispositif RFID, cassent les hélices d’ADN des cellules, permettant ainsi la mutation des cellules et le développement de tumeurs. Vous pouvez consultez le rapport ainsi qu’une interview sur l’étude ici : http://www.next-up.org

L’autre problème, c’est que ces personnes qui se font pucer sont bien souvent très mal informées et ignorent souvent les risques que les puces RFID représentent. On ne leur donne que les prétendus ″avantages″ de la puce avant de les implanter.

Comment nous faire accepter cette maudite puce RFID

Les arguments financiers sont très importants pour le développement de la micro-puce : n’oublions pas que dès sa conception, elle fut pensée en termes de gouvernement mondial et de monnaie unique. Comme nous l’avons dit ci-dessus, on nous présentera la micro-puce sous-cutanée sous ses meilleurs aspects afin de nous la faire accepter et de faire passer la pilule. Mais n’oubliez jamais une chose : si vous vous faites implanter cette saleté dans le corps, s’en sera fini de votre libre-arbitre, de votre vie privée et de votre liberté !

Voici donc quelques arguments ″mielleux″ qui ont été présentés par A.D.S. et sa filiale, PositiveID. La Health Link sera susceptible d’être utilisée pour :

• la sécurité dans le domaine du réseau Internet et dans toute transaction impliquant des échanges électroniques (commerce électronique).
• la recherche et le sauvetage d’individus incluant les enfants perdus.
• le monitoring médical de patients à risque.
• la surveillance, le pistage et le suivi de militaires, de diplomates ou de tout autre membre important d’un gouvernement.
• le pistage, la surveillance et la vérification de l’authenticité de biens de haute valeur.
• la localisation des enthousiastes de sports à risques, qui auraient pu se blesser gravement à la suite d’un accident (avalanches, escalade, randonnée de montagne, navigation en haute mer etc.).
• le pistage et la localisation d’enfants kidnappés (ou assassinés).
• la lutte contre le terrorisme.

Mais quel humanisme !

Ce ne sont que quelques exemples d’arguments bénéfiques qu’on va essayer de vous vendre mais remarquez bien que les mots ″surveillance″, ″pistage″, ″recherche″, ″localisation″ et ″vérification″ reviennent de façon récurrente.

On fera accepter la puce au peuple pour des raisons de ″sécurité″ : on reliera ses ″bienfaits″ à des événements graves qui se seront produits (des événements même créés ou délibérément voulus ; des attentats terroristes, un meurtre particulièrement odieux ou un enlèvement spectaculaire, par exemple), mais aussi à des facilités, notamment financières (avec cette puce sur vous, on ne vous volera plus votre argent ni votre carte de banque… à moins bien sûr de vous faire mutiler !)

Et puis, la micro-puce, ce sera ″cool″ ! C’est l’incarnation du progrès ″que l’on ne peut de toute façon pas arrêter″…

Reste à savoir de quel type de progrès on parle !

Lors du salon Cebit à Hanovre (Allemagne), début mars 2010, on a posé la question aux visiteurs de savoir s’ils accepteraient une puce sous leur peau. Bien que 78 % des visiteurs aient refusé, entre 16 et 23 % étaient d’accord de se faire implanter la puce si celle-ci leur apportait de quelconques avantages.

C’est bien de cette façon que l’on essaiera que les gens acceptent par eux-mêmes cette puce malfaisante : en les tentant avec de soi-disant ″avantages″ et de prétendus ″bénéfices″ !

Il suffira de passer sa main devant un scanner ad hoc, et votre ″compte en banque virtuel″ sera débité automatiquement du montant de vos achats. Très vite, on tentera de remplacer les cartes de banque, la monnaie et leurs ″faiblesses″ par la micro-puce ″imbattable et hyper pratique″.

Vous croyez qu’il s’agit ici d’une pure spéculation ? Pas du tout !

Ainsi, par exemple, un certain professeur Kevin Warwick, du département de cybernétique de l’université de Reading (et qui s’était fait implanter la micro-puce) a déclaré le 10 octobre 1999 lors d’une émission sur la chaîne Arte (intitulée ″Souriez, vous êtes surveillés″) ″que bientôt les cartes bancaires (et bien sûr aussi la carte d’identité, le passeport, la carte de sécurité sociale etc.) seront remplacées par un implant électronique dans le corps″ !

Et que voyons-nous aujourd’hui ? Que la micro-puce RFID a déjà contaminé plusieurs dizaines de pays et qu’elle se répand sur la planète !

Ndlr : Pour avoir une idée de la production mondiale des puces RFID à l’heure actuelle, visitez ce site vous n’en croirez pas vos yeux ; 126 puces vendues par secondes, soit plus de 3’000’000’000 depuis le 1er janvier 2015.)

On a déjà adopté des cartes bancaires ″sans contact″ contenant des puces RFID. Le hic, c’est que ces cartes bancaires sont piratables et permettent le vol d’identité, et même le vol de votre argent tout court ! N’importe quel pirate informatique qui s’y connaît un peu peut parvenir à vous voler de l’argent !

Ceci a été dénoncé par l’organisation américaine de défense des consommateurs, CASPIAN. Mais malgré les dangers et la possibilité persistante de piratage que représentent ces cartes à puce RFID, celles-ci continuent de se répandre sur la planète. En 2010, un ingénieur britannique a volontairement implanté un virus informatique dans une puce RFID placée sous sa peau, démontrant alors la possibilité de corrompre les fonctionnalités d’un tel dispositif.

Les articles suivants confirment clairement que la micro-puce, qui est déjà implantée sur des milliers de personnes, n’est pas sécurisée ! Il n’existe à l’heure actuelle aucun anti-virus capable de protéger les porteurs de la micro-puce d’une intrusion malveillante. http://www.sciencesetavenir.fr

Lire aussi:  Quick et Burger King convertis 100% halal

Soyez-en sûr la micro-puce RFID sera proposée dans un premier temps, puis imposée systématiquement comme l’unique moyen de paiement et d’achat ″valable″, et ce pour les (fausses) raisons citées plus haut.

Sans compter les profits colossaux que PositiveID (et d’autres firmes fabricant des micro-puces sous-cutanées) retireront de toutes ces opérations. Cela représente un marché extrêmement juteux. Les brevets furent acquis par A.D.S. pour la modique somme de 130 millions de dollars. On ne dépense généralement pas une telle somme s’il n’y a aucun gros profit à l’horizon.

Mais dans une société où cette puce sera presque généralisée, pour ceux qui refuseront la micro-chip, que se passera-t-il ?

Ils ne pourront ni vendre ni acheter sans ce foutu micro-implant, et devront survivre comme des marginaux, en faisant du troc, par exemple…

Des théories et hypothèses affirment que cette micro-puce ne nous sera proposée, puis imposée, qu’après un énorme krach, une catastrophe économique mondiale… ou que l’on joindra à la micro-puce encore d’autres fonctionnalités pour la rendre encore plus séduisante. Et, quelle infortunée ″coïncidence″, nous sommes justement en train de vivre une période de… crise économique mondiale !

Ndlr : rappelez-vous la vidéo du Nouvel Ordre Mondial plus-haut et les arguments avancés pour justifier la mise en place de ce nouveau gouvernement.)
Enfin, les derniers prétextes pour pucer les gens sont des élucubrations médicales (donc humanistes, et à caractère ″irréfutable″, puisque l’on parle de la santé des gens).

La puce permettrait de ″sauver des vies″ en donnant des informations capitales sur l’état de gens qui arrivent à l’hôpital inconscients : leurs allergies, leur type sanguin, leur passé médical etc. La micro-puce pourrait mesurer le taux de glycémie des diabétiques, repérer des virus dans le sang, ou ″améliorer″ aussi le traitement des dossiers des patients… Evidemment, tout ceci n’est que prétexte pour répandre un dispositif dont les dangers pour la santé ont déjà été démontrés et prouvés.

Ndlr : le système actuel des puces nécessite absolument une base de données centralisée et placée sur Internet. Ce n’est pas une ″malencontreuse coïncidence″ que l’on soit en train de pousser l’adoption des dossiers médicaux électroniques, qui sont justement placés sur des bases de données centralisées.

Les enfants un enjeu primordial

Les enfants et adolescents ont toujours été un public particulier et privilégié pour les fabricants et vendeurs des puces RFID. Pourquoi les enfants sont-ils-donc si importants à leurs yeux ? Tout simplement parce qu’ils sont le nerf de la guerre des puces !

Nous aimons nos enfants et voulons naturellement qu’ils soient en sécurité. C’est là l’ouverture parfaite pour les toutes les entreprises qui commercialisent les micro-puces sous-cutanées. ″Nous vivons dans un monde peu sûr, plein de terroristes, de kidnappeurs, d’agresseurs sexuels, de pédophiles et autres croque-mitaines″, qu’on nous dit.

Pour protéger vos enfants de façon sûre, vous devriez les faire pister électroniquement, voire les pucer, nous affirment-ils.

Ils nous font croire naïvement au mythe et au leurre de la sécurité maximale et ils tentent de nous persuader que, grâce cette puce, le problème de l’insécurité sera soi-disant ″résolu″ !

Ils jouent donc sur la corde sensible des parents ! Et de plus, il s’agit là d’un moyen ″indirect″ de toucher les adultes. A partir du moment où les parents ont fait implanter leurs enfants et constatent que, finalement, le « puçage » ne semble pas être quelque chose de bien dangereux, mais au contraire ″protège″ leurs enfants, ils seront eux aussi tentés de se faire implanter ! Et c’est là l’erreur ! Car les risques, eux, sont bien présents !

Aux U.S.A. ou au Japon, des parents commencent déjà à sacrifier (souvent sans s’en apercevoir, ou en minimisant le fait) la liberté de leurs enfants pour leur soi-disant ″sécurité″ . Voilà aussi comment, au Mexique et au Brésil (pays où les kidnappings d’enfants sont monnaie courante), on a réussi à convaincre certaines personnes de faire pucer leur(s) enfant(s).

Si la génération adulte actuelle montre encore certaines réticences par rapport à cet implant infernal, les enfants, eux, peuvent être endoctrinés beaucoup plus facilement : ils ne possèdent pas d’esprit critique bien forgé, et peuvent être attirés de façon assez simple. En montrant aux enfants des films et des dessins animés dans lesquels les thèmes relatifs aux puces et RFID sont présents, on les sensibilise. Observez bien les derniers films sortis au cinéma, les jeux vidéo ou les dessins animés récents et vous allez tomber des nues !

Faites porter aux enfants des RFID et même des micro-puces sous-cutanées dès leur plus jeune âge, et en moins d’une génération tout le monde trouvera que porter cet immonde implant est normal ! Voilà l’un des grands buts que les gens qui commercialisent les micro-puces sous-cutanées pour humains, ainsi que les membres du Nouvel Ordre Mondial, poursuivent !

Ne tombez pas dans le piège et ne vous laissez pas avoir par les arguments mielleux des industriels et des autorités qui, pour de soi-disantes excuses de sécurité, d’humanisme, de protection médicale ou de facilités (financières, mode), viendront vous tenter afin que vous fassiez pucer vos enfants, ou petits enfants.

En conclusion

Cet article est destiné à vous informer des dangers bien réels que les médias de masse cachent ou déforment. Le but est que vous puissiez à votre tour informer un maximum de personnes du danger qui est à nos portes, et réagir face à ce que certaines autorités mondiales ont ourdi à nos dépens…

La réalité vous paraît sombre ? Soit. Mais ce n’est pas pour cela que rien ne peut être fait. Nous sommes les acteurs qui construisons le monde chaque jour, et le système immonde que l’on nous prépare ne pourra pas passer si la population du monde entier est contre ce système. Mais il faut changer d’optique et réagir, il faut avoir le courage de quitter notre petit confort personnel et manifester haut et fort notre désapprobation. Et plus encore, nous tenir informés, mais en nous méfiant de l’information propagée, en faisant preuve d’esprit critique et en vérifiant tout systématiquement (n’oublions pas que les gros médias sont tenus par les détracteurs des gouvernements ou par de grosses entreprises multinationales qui sont à l’origine du problème, et donc que ces médias censurent l’information ou diffusent de l’information déformée, voire de la fausse information).

Si votre cœur et votre conscience ont vibré ou se sont éveillés à la lecture de ces quelques lignes, alors poursuivez de grâce dès maintenant cette tâche d’information en prévenant vos amis, vos proches, vos collègues ou en diffusant en tout cas un maximum le message (en français ou dans une langue étrangère, car le message doit être entendu partout, le monde entier doit savoir et réagir).

Alors, et seulement si nous réagissons tous contre les horreurs que certains ont planifié pour notre futur, alors nous pourrons éviter une catastrophe à l’échelle planétaire. Par ailleurs, il existe de nombreux sites et ouvrages bien documentés à ce sujet (dont certains repris ci-après) où vous pourrez trouver un complément d’information.

Et dans le cas où vous auriez encore des doutes quand à la véracité de cet article, ces sites et ouvrages vous aideront peut-être aussi à y voir plus clair.

Soyez heureux, soyez libres et surtout… restez vigilants !

Sources et références

 

En francais

Sites web :

http://www.piecesetmaindoeuvre.com(site de Pièces et Main-d’œuvre, l’excellent collectif grenoblois qui lutte contre les puces implantables, la RFID, les nanotechnologies, les NBIC et autres technologies de mort et d’esclavage.)

http://contrelepucage.free.fr (site français contre le puçage des animaux : à visiter absolument pour se tenir au courant de l’actualité et des actions prévues.)

https://secure.gn.apc.org (forum francophone de Bilderberg.org – ce forum concentre des informations contre la puce, renseignements et opposition concernant le Nouvel Ordre Mondial, lutte contre le liberticide… à ne pas manquer.)

http://catholiquedu.free.fr (traduction partielle en français du témoignage essentiel de Carl W. Sanders.)

Ouvrages :

Collectif Pièces et Main-d’œuvre, ″Terreur et Possession, Enquête sur la police des populations à l’ère technologique″, Editions l’Echappée, 280 pages ; ISBN-13 : 978-2915830-16-3. Voir sur http://www.lechappee.org Un livre à mettre entre toutes les mains, et qui nous permet de comprendre le stade vers lequel l’horreur technologique et totalitaire sedirige aujour d’hui. A ne surtout pas manquer.

Collectif Pièces et Main-d’œuvre, ″RFID : la police totale Puces intelligentes et mouchardage électronique″, Editions l’Echappée, 80 pages ; ISBN-13:978-2-91583026-2. Voir sur http://www.lechappee.org

Collectif Pièces et Main-d’œuvre, ″Nanotechnologies/Maxiservitudes″, éditions L’Esprit Frappeur, 2006, 137 pages ; ISBN-10 : 2-84405-226-6. (Un livre excellent à lire absolument et à mettre entre toutes les mains, et qui ne coûte que 5 euros environ ! La plupart des textes sont repris sur le site du collectif Pièces et Main-d’œuvre. Pour les références du livre, voir http://www.piecesetmaindoeuvre.com On y parle des dangers des puces sous-cutanées, de la RFID et des nanotechnologies.)

Anne GIVAUDAN (avec la collaboration du docteur Antoine CHAKRAM), ″Celui qui vient, tome 2 : Les Dossiers sur le Gouvernement Mondial″, éditions S.O.I.S., Plazac (France), 1996, 352 pages, ISBN-10:2951467494 ; ISBN-13 : 978-2951467491. (Excellent ouvrage contenant des articles de presse et, entre autres, une partie consacrée à la micro-puce. Cependant, le sujet de ce livre est bien plus large, et extrêmement intéressant et interpellant.)

Serge MONAST, ″Agence Internationale Presse Libre Nord-Américaine″, numéro spécial, volume 2, n° 4-8, avril-août 1994, 153 pages. (cf. http://fr.scribd.com/doc/32667260/Vaccins-Cristaux-Liquide-Serge-Monast et http://www.mediafire.com/view/?zyfton4cjmo.) Ce numéro spécial comporte des indications concernant les puces implantables et les vaccins à cristaux liquides.

En anglais

Sites web :

http://trumpetministries.net(le site de Carl W. Sanders, qui explique les dangers des puces implantables, y compris les risques de contrôle comportementaux.

http://www.angelfire.com/d20/philadelphians/MMEA.html(site chrétien expliquant les dangers effroyables de la puce cérébrale M.M.E.A.-Multiple Micro Electrode Array–y compris le danger de contrôle du corps et de l’esprit.)

http://www.antichips.com(site activiste anglophone contre la puce sous-cutanée.)

http://vkpatriarhat.org.ua/en (site du Patriarcat catholique byzantin d’Ukraine, qui a reconnu les puces RFID et les puces implantables comme étant la marque de la bête.)

http://www.nocards.org(le site de CASPIAN, organisme américain de défense des consommateurs.)

http://www.spychips.com (site de lutte contre la RFID, mené par Katherine Albrecht et Liz Mc Intyre.)

http://www.veriteqcorp.com/index.html(site de VeriTeQ, l’infâme compagnie qui commercialise certaines puces implantables sous-cutanées pour humains.)

http://www.trovan.com (site de Trovan, une compagnie européenne qui commercialise également une micro-puce sous-cutanée pour humains.)

http://www.prisonplanet.com (le célèbre site d ‘Alex Jones, qui dénonce les manigances du Nouvel Ordre Mondial et les technologies liberticides et de dictature.)

Ouvrages :

Katherine Albrecht et Liz Mc Intyre, ″Spychips, How major corporations and government

plan to track your every purchase and watch your every move″, éditions Thomas Nelson, 2005, 288 pages, ISBN-10:1595550208 ; ISBN-13:978-1595550200. (C’est un des livres de référence en la matière, et qui a reçu le ″Lysander Spooner Award″ qui récompense les œuvres qui font avancer la littérature de la liberté.)

Katherine Albrecht et Liz Mc Intyre, ″The Spychips Threat : Why Christians Should Resist RFID and Electronic Surveillance″, éditions Thomas Nelson, 2006, 288 pages, ISBN-10:1595550216 ; ISBN-13:978-1595550217. (Il s’agit de la version mise à jour du livre Spychips, avec en prime un avertissement spécifiquement orienté pour les chrétiens concernant les dangers de la RFID.)

Jose M. R. Delgado, ″Physical Control of the Mind – Toward a Psycho civilized Society″,

éditions Harper & Row, 1969, 281 pages, ISBN-10:0060110163 ; ISBN-13:978-0060110161

(cf. http://www.mediafire.com/view/?phq9v7qp1cadkdc) Le livre qui prouve, sans le moindre doute possible, que le contrôle biologique total de l’individu est possible via des puces cérébrales, et que ce fait est connu depuis la fin des années 1960.

 

Toujours pour votre information 
  Etincelle

NATIONS UNIES : COMMENT L’ADMINISTRATION DE L’ONU ORGANISE LA GUERRE

Pour ceux qui sont convaincus de l’utilité de certaines organisations qui sont censées maintenir la paix, réfléchissez sur ce qui est dit dans ce document. Partagez. Volti  (Et oui en effet et peu de personnes en sont conscientes…. ) Etincelle

**************

Auteur Thierry Meyssan pour Voltairenet via Aphadolie

 

Le document interne des Nations unies que nous venons de publier atteste que l’administration de l’Organisation travaille contre les buts de celle-ci. La gravité de cette situation appelle à une explication du secrétaire général, António Guterres, a exigé le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov. Faute de quoi les États-membres pourraient remettre l’Onu en cause.

Thierry Meyssan

***********

Le 2 juillet 2012, l’ancien assistant d’Hillary Clinton, Jeffrey Feltman devient le numéro 2 des Nations Unies. Il prête serment devant le secrétaire général, le très corrompu Ban Ki-moon, sur la Charte de l’Organisation

En octobre 2017, le sous-secrétaire-général des Nations unies pour les Affaires politiques, Jeffrey Feltman, rédigeait secrètement des instructions à toutes les agences de l’Onu sur le comportement à adopter par rapport au conflit en Syrie.

Jamais les États-membres de l’Organisation, ni même ceux du Conseil de sécurité, ne furent informés de l’existence de ces instructions. Jusqu’à ce que le ministre des Affaires étrangères russe, Sergueï Lavrov, les révèle le 20 août dernier [1].

Nous venons de nous en procurer une copie [2].

Ce document trahit la Charte des Nations unies [3dont il inverse les priorités. Alors que celle-ci a pour but principal de « maintenir la paix et la sécurité internationales », il place au-dessus de ce but le « respect des droits de l’homme ». De la sorte, ces droits deviennent un instrument contre la paix.

L’expression « droits de l’homme » existait bien avant de trouver un sens juridique (c’est-à-dire avant d’être opposable dans un tribunal). Le ministère britannique des Affaires étrangères en fit un grand usage, au XIXème siècle, pour justifier certaines de ses guerres. C’est pour les défendre, assurait-il, qu’il était prêt à batailler contre l’Empire Ottoman. En réalité, il s’agissait uniquement d’un choc entre l’Empire britannique et la Sublime porte. Jamais les peuples prétendument « libérés » par Londres, furent plus heureux sous ce maître que sous un autre. Au XXème siècle, les « droits de l’homme » furent d’abord la marque de fabrique des ONG« sans frontières », puis le slogan des trotskistes ralliés à la CIA, les néo-conservateurs.

Si la Charte des Nations unies emploie six fois l’expression « droits de l’homme », elle n’en fait pas un idéal en soi. Leur respect ne peut advenir qu’en temps de paix. La guerre, faut-il le rappeler, est une période de troubles durant laquelle les droits individuels sont occultés. C’est une situation terrible où, pour sauver un peuple, on doit se résoudre à en sacrifier une partie.

C’est pourquoi on distingue la police de l’armée. La police protège des droits individuels, tandis que l’armée protège des droits collectifs. La police doit respecter les « droits de l’homme », tandis que l’armée peut les ignorer. Il semble que nos contemporains, engoncés dans leur confort, ont perdu le sens de ces distinctions élémentaires.

Si le « droit-de-l’hommisme » était initialement un habillage de conquêtes territoriales, poussé à l’extrême, il est devenu l’idéologie de la destruction des structures étatiques nationales. Pour que nos droits soient respectés, nous devons être « citoyens du monde » et accepter une « société ouverte », « sans frontières », administrée par un « gouvernement mondial ».

C’est faire fi de l’histoire et de la culture de chacun de ces « citoyens du monde », leur imposer ce qui nous semble être le meilleur pour nous… et donc pour eux.

Dans ce nouveau document de Jeffrey Feltman, les « droits de l’homme » sont encore une fois un prétexte. Cette personnalité a participé au gouvernement de l’Iraq au sein d’une société privée conçue sur le modèle de la Compagnie des Indes, la mal-nommée Autorité provisoire de la Coalition [4], montrant ainsi le peu de respect qu’elle avait pour les droits des Iraquiens. Il a exprimé son véritable but à propos de la Syrie dans une série de documents connus comme le « Plan Feltman » [5]. Il s’y propose d’abroger la souveraineté du peuple syrien et d’instaurer, comme en Iraq, une gouvernance étrangère.

Avec aplomb, il écrit : « Le Plan d’action humanitaire doit rester humanitaire afin de garantir que l’ONU puisse mener à bien les activités humanitaires essentielles pour sauver des vies et assurer les besoins essentiels des populations. Les activités de développement ou de reconstruction en dehors de cela devront être reflétées dans d’autres cadres qui, par nature, seront des négociations plus longues avec les gouvernements. Cela est essentiel compte tenu des questions juridiques et politiques complexes en cause ». En d’autres termes, donnez à manger aux réfugiés, mais ne combattez pas la famine qui les ronge ; qu’elle reste pour nous un argument lors des négociations avec l’État syrien.

Les Jordaniens, les Libanais, les Turcs et les Européens seront surpris de lire : « L’ONU ne favorisera pas le retour des réfugiés et des personnes déplacées, mais soutiendra les rapatriés en vue de garantir le caractère sûr, digne, informé, volontaire et durable du retour et de la réintégration, ainsi que le droit des Syriens de chercher asile ». Reprenant à son compte la théorie du professeur Kelly Greenhill [6], Feltman ne souhaite pas aider les exilés à revenir dans leur pays, mais entend utiliser leur exode pour affaiblir leur patrie.

« L’assistance des Nations Unies ne doit pas aider les parties qui auraient commis des crimes de guerre ou des crimes contre l’humanité. », précise-t-il, interdisant à titre conservatoire toute aide à quelque pouvoir que ce soit.

Il pose que : « Ce n’est que lorsqu’une transition politique véritable et inclusive sera négociée par les parties que l’ONU sera prête à faciliter la reconstruction. ». On est bien loin de l’idéal de la Charte.

Source Thierry Meyssan pour Voltairenet.org via Aphadolie

Référence :

[1] Sergey Lavrov news conference with Gebran Bassil, by Sergey Lavrov, Voltaire Network, 20 August 2018.[2] « Paramètres et principes de l’assistance des Nations Unies en Syrie », par Jeffrey D. Feltman, Réseau Voltaire, 3 septembre 2018.[3] « Charte des Nations unies », Réseau Voltaire, 26 juin 1945.[4] « Qui gouverne l’Irak ? », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 13 mai 2004.[5] “Draft Geneva Communique Implementation Framework”, “Confidence Building Measures”, “Essential Principles”, “Representativness and Inclusivity”, “The Preparatory Phase”, “The Transitional Governing Body”, “The Joint Military Council and Ceasefire Bodies”, “The Invitation to the International Community to Help Combat Terrorist Organizations”, “The Syrian National Council and Legislative Powers during the Trasition”, “Transitional Justice”, “Local Governance”, “Preservation and Reform of State Institutions”, “Explanatory Memorandum”, “Key Principles revealed during Consultations with Syrian Stake-holders”, “Thematic Groups” (documents non publiés). « L’Allemagne et l’Onu contre la Syrie », par Thierry Meyssan, Al-Watan (Syrie), Réseau Voltaire, 28 janvier 2016.[6] “Strategic Engineered Migration as a Weapon of War”, Kelly M. Greenhill, Civil War Journal, Volume 10, Issue 1, July 2008.Voir notamment :

Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948

Et aussi :

 

 

Trouvé sur les moutons enragés

Toujours pour votre information

  Etincelle