C’EST VRAIMENT N’IMPORTE QUOI : LES COLLINES DE FUKUSHIMA OUVERTES AU PUBLIC POUR VISITER LA FLORAISON / COMMENT AGIT LA RADIOACTIVITE

 

Ou on espère que ce sera le cas à Fukushima.

Pendant longtemps le pays est resté incompréhensible pour le monde extérieur. Il l’est devenu même pour certains citoyens après l’accident de Fukushima.
Les collines en question, Hanami-yama, sont célèbres pour la floraison de ses arbres, mais elles se situent aussi dans le district de Watari, le district le plus contaminé de Fukushima City. Le Pr Mori de l’université de Tokyo a ramassé un ver de terre dans ce district dont les déjections possédaient 1,37 million de becquerels par kilo de césium radioactif. C’est également l’endroit où on a récolté du riz dont le césium dépassait 1500 Bq/kg.

Selon le ministère de l’éducation, le niveau de radiations à l’heure actuelle dans le parking où démarre un sentier est de 0,528 microsievert/h à 1 mètre du sol, une diminution d’environ 0,7 microsievert/h après décontamination à ce qu’il paraît les 13 et 14 janvier 2013. Le niveau a réaugmenté insidieusement depuis.
De toutes façons, voilà ce qu’un journal de Fukushima rapporte le 30 janvier :

Hanami-yama réouvert totalement, espoir d’un déclenchement d’un renouveau explosif

Hanami-yama à Fukushima City est surnommé le  »paradis caché ». Il sera totalement ouvert aux visiteurs dès février, conformément à la décision de l’association pour la promotion du tourisme prise lors de l’assemblée générale du 29 janvier. L’entrée était interdite l’année dernière pour que les arbres puissent récupérer, mais cette année les habitants du coin, dont le propriétaire du terrain M. Ichiro Abe (93 ans) qui a répondu à une forte demande de la part des passionnés (les spectateurs de la floraison). L’industrie touristique qui a souffert de rumeurs sans fondement après l’accident de la centrale de Fukushima espère que la réouverture déclenchera un renouveau du tourisme local.

Hanami-yama est une destination populaire au printemps. En 2010, il y a eu 320.000 visiteurs. Il n’y en eut que 94.000 après la catastrophe et l’accident du 11 mars 2011. En 2012, 101.000 personnes sont venues. Avec l’augmentation du nombre de visiteurs, les arbres se sont affaiblis. L’année dernière, l’entrée était interdite, et seule était autorisée une promenade à la périphérie.

Les arbres vont nécessiter environ trois ans pour récupérer correctement, mais les agriculteurs du lieu, dont M. Abe ont décidé de rouvrir vu le nombre de gens qui ont écrit à la ville pour demander une réouverture et pour réaliser un renouveau après la catastrophe et l’accident nucléaire.
Le parc sera ouvert le 1er février. Du 5 au 29 avril, un contrôle de la circulation sera en place et des navettes de bus seront en service. L’association de promotion du tourisme fournira des information sur les radiations sur sa page d’accueil. Le parking sera décontaminé en avril pour la pleine saison afin de dissiper les peurs.

M. Mitsuru [?] Tsuchida (80 ans) est plein d’espoir. Il a dit,  »Nous avons reçu des encouragements de gens partout dans le pays. Nous aimerions recevoir autant de gens que possible. » Le maire de Fukushima City Takanori Seto a dit,  »L’animation du printemps va être de retour, ce qui va encourager les habitants de la ville. J’aimerai aussi remercier les habitants du lieu [dans le district de Watari]. » M. Kazuhiro Watanabe (62 ans), président de l’association touristique, a dit,  »Le dommage au tourisme a été considérable depuis la catastrophe. Nous cherchons une collaboration avec d’autres régions [aux floraison célèbres] comme les cerisiers de Minaru et Aizu, populaires aujourd’hui grâce à une émission de NHK.

Donc, selon le journal (je suis sûr que c’est le plus populaire et acceptable à Fukushima), la raison de la fermeture des collines aux visiteurs l’année dernière était pour donner du repos aux cerisiers, car ils ont souffert de stress par la venue de trop de visiteurs entre les 320.000 en 2010 et les 94.000 en 2011. Cela a-t-il un sens ?

Je me demande si M. Abe, 93 ans et M. Tsuchida, 80 ans, savent vraiment combien les collines sont contaminées.

De nouveau on retrouve la notion de  »visiteurs venant de loin qui mettront du baume au cœur des habitants du lieu ». Exactement comme les enfants d’école primaire de la préfecture d’Osaka qui allaient mettre du baume au cœur des habitants dans une autre cité fortement contaminée de Fukushima et comme le gouvernement municipal de Tokyo qui veut accueillir les Olympiades 2020 pour que les habitants de Tokyo et les japonais soient encouragés et revigorés par les visiteurs mondiaux qui rendront visite à Tokyo pour l’occasion.

Hanami-yama avant l’accident nucléaire (2010), photo envoyée par un blog :

 

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Trouvé sur Bistro Bar Blog

 

 

COMMENT AGIT LA RADIOACTIVITE

 

Pour vous rendre compte du danger !

1- On y voit les rayonnements émis par une pointe d’aiguille radioactive grâce à une chambre à brouillard ultra simple.
2- Puis une animation nous montre comment les rayonnements abiment les chromosomes, supports de notre hérédité.

 

 

Source : vivre-apres-fukushima.fr

 

Trouvé sur les moutons enragés

 

Le monde est devenu fou comment peut-on encore envoyer sciamment des gens dans cette région.  Ah oui j’oubliai l’argent est plus important que la vie….

Etincelle

LE POUVOIR DE L’INTENTION / WAYNE DYER

 

Les gens déterminés sont souvent perçus comme des pitbulls, prêts à tout pour réussir et résolus à ne jamais abandonner le dessein qu’ils ont en tête. Par conséquent, on croit, qu’il faut travailler dur et posséder le désir infatigable d’atteindre l’excellence pour réussir. Le Dr Wayne W. Dyer propose dans cette conférence donnée à Boston, un point de vue fort différent sur l’intention. Pour lui, celle-ci est une force universelle qui permet à l’acte créateur de se manifester. L’intention, nous explique Wayne Dyer, n’est pas quelque chose que nous faisons, mais quelque chose dont nous faisons partie. Nous sommes tous le fruit d’un dessein qui s’est manifesté à travers la puissance invisible de l’intention, un champ d’énergie auquel nous pouvons avoir accès pour co-créer notre vie !

 

 

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Trouvé sur Connaissances sans frontières

 

A méditer

Etincelle

CHINE : PEKIN EN PLEINE ASPHYXIE, DES MILLIONS D’HABITANTS APPELES A RESTER CHEZ EUX, LES HOPITAUX DEBORDES

 

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Les autorités de Pékin conseillaient mercredi 30 janvier à des millions d’habitants de rester si possible à leur domicile, face à la forte pollution atmosphérique persistante contre laquelle quelques mesures locales ont été par ailleurs annoncées. La capitale chinoise étouffe depuis trois jours sous un épais brouillard de particules nocives, après avoir connu à plusieurs reprises en janvier d’autres pics de pollution d’une densité inédite.

A Pékin, mégalopole de 20 millions de personnes où circulent plus de 5 millions de véhicules, le gouvernement municipal a déconseillé de sortir aux enfants, aux personnes âgées et aux résidents à la santé pouvant être affectée par les particules nocives, et d’en tout cas limiter leurs sorties. Et les radios du matin invitaient les habitants à rester le moins possible dans les rues, où de plus en plus d’habitants se déplacent le visage recouvert d’un masque filtrant, certains le conservant même à leur travail ou à leur domicile.
Niveau de pollution « dangereux »

Mardi, les autorités locales ont affirmé avoir imposé la fermeture de 103 usines et avoir interdit à 30% du parc des voitures officielles de circuler. Ces mesures timides n’ont pas permis d’éviter de nouveaux taux préoccupants. L’ambassade des Etats-Unis, qui calcule et publie son propre indice de qualité de l’air, jugeait que la pollution atmosphérique avait atteint un niveau « dangereux » mercredi après-midi.

Le gouvernement chinois peut de moins en moins ignorer la mobilisation croissante des Chinois contre ce fléau, surtout face aux centaines de vols annulés ou retardés ces dernières semaines et aux habitants en détresse respiratoire qui affluent dans les hôpitaux.

Deuxième économie de la planète et premier marché automobile mondial, la Chine voit son environnement menacé par ses nombreuses industries polluantes, son trafic routier en constante expansion et son laxisme pour protéger les écosystèmes. La Chine consomme désormais autant de charbon que l’ensemble des autres pays de la planète. Le pays en tire plus de 70% de son énergie.

Les hôpitaux connaissent un afflux de patients…

Les pics de forte pollution atmosphérique ces derniers jours à Pékin ont provoqué un afflux dans les hôpitaux de patients en détresse respiratoire, a rapporté jeudi la presse officielle. Le nombre de cas de personnes souffrant de problèmes pulmonaires ou de difficultés respiratoires a enregistré une hausse de 20% dans la capitale chinoise, selon une enquête du journal Pékin-matin. Les problèmes respiratoires concernaient 50% des admissions au service des urgences d’un grand hôpital pour enfants, a aussi précisé le quotidien.

 

Trouvé sur Nature Alerte

 

Et oui la pollution un souci de notre planète

Etincelle

UN ENORME « SINKHOLE » EN CHINE

 

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CHINE – Un énorme sinkhole à Guangzhou, en Chine, a englouti des immeubles et a supprimé le courant chez des milliers d’habitants. Selon le journal de Shangaï, le sinkhole fait environ 300 m² et une grande profondeur. Une vidéo montre une foule qui tourne en rond autour du sinkhole avant qu’il ne s’étende, faisant s’ébouler un immeuble comme s’il avait été bombardé.

Les bâtiments voisins ont été évacués et les rues bloquées par la police.  »On pouvait sentir le gaz à 30 mètres et entendre des bruits assourdissants quand la terre continuait de se fendre et d’être engloutie, » rapporte le journal de Shangaï.

Les sinkholes ne sont, malheureusement, pas nouveaux. Selon le Geological Survey américain, certains sinkholes sont causés par l’homme.  »De récents sinkholes ont été reliés à des pratiques de développement urbain, particulièrement par le pompage de nappes phréatiques et la construction. »

Ils se produisent aussi dans des régions où la roche sous la surface des terres peut être facilement émiettée par les nappes d’eau souterraines.

Causés ou non par l’homme, on parle beaucoup des sinkholes dans les médias ces temps-ci. L’année dernière dans la province du Guangxi en Chine, un sinkhole s’est formé après qu’une école ait creusé un puits pour combattre sa pénurie d’eau.

On pense qu’à Pékin, d’immenses abris anti-atomiques,  »construits de peur d’une imminente attaque nucléaire durant les tensions élevées entre la Chine et l’union soviétique », ont pu contribué au problème.

Mais ils ne sont certainement pas limités à la Chine. En 2011 un sinkhole en Floride a avalé des conteneurs à poubelles, un chêne, le mur arrière d’un immeuble avec un salon de coiffure et un local de rangement. Une femme à Guatemala City a découvert derrière son lit un sinkhole de 1 mètre de large et de 1,20 m de profondeur. Et dans l’Ohio, un énorme sinkhole a fait s’effondrer en partie une autoroute.

 

 

 

Source : The Extinction Protocol

Trouvé sur Bistro Bar Blog

 

Et voilà ça continue avec les Sinkhole

Etincelle

L’ESCLAVAGE MODERNE ENTRETENU PAR LE SYSTEME BANCAIRE

 

 

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Dans un monde où 1% de la population possède 40% de la richesse de la planète, dans un monde où 34.000 enfants meurent chaque jour de pauvreté et de maladies évitables et où 50% de la population mondiale vit avec moins de deux dollars par jour.

Une chose est clair : Quelque chose ne tourne pas rond…

Vulgarisation des procédés de création d’argent par la banque centrale américaine – la Réserve Fédérale – Où comment l’argent est crée à partir de dette et pourquoi il a été virtuellement impossible de s’en débarrasser… Du moins jusqu’à maintenant !…

 

 

via  http://rustyjames.canalblog.com/

Trouvé dans La Presse Galactique

 

Voilà une bonne vidéo qui explique bien comment ça fonctionne…

Etincelle

UN POISON RADIOACTIF DANS NOS SMARTPHONES

 

1160-ottoMétaux indispensables à nos appareils électroniques, les terres rares sont à l’origine d’une catastrophe environnementale dans les pays où elles sont traitées. Reportage en Malaisie.

Un après-midi de la fin du mois de février 2012, par une chaleur étouffante, je m’arrête dans une station essence Esso de la petite ville malaisienne de Bukit Merah. Mon guide, un boucher du nom de Hew Yun Tat, me prévient que le gérant a la réputation d’être un grippe-sou. Nous sommes venus lui poser des questions sur un sujet qu’il n’aime pas aborder : le travail qu’il faisait dans les années 1980 lorsqu’il était propriétaire d’une société de transport routier. Il avait obtenu un contrat avec Asian Rare Earth, une usine locale codétenue par [le groupe japonais] Mitsubishi Chemical, qui fournissait des minéraux rares au secteur de l’électronique grand public.

Asian Rare Earth lui offrait trois fois ce que lui rapportaient ses autres clients. Il devait uniquement évacuer des déchets loin de l’usine, sans que personne lui dise où ni comment s’en débarrasser. “Parfois, on nous disait que c’était de l’engrais, alors on emmenait ça dans des fermes du coin, explique Hew Yun Tat. Comme mon oncle cultivait des légumes, je lui en déposais une partie.” Il est aussi arrivé que les responsables de la raffinerie lui donnent ce qui était censé être de la chaux vive, un des camionneurs avait même peint sa maison avec. “Il avait trouvé ce produit parfait, car il repoussait les moustiques et les souris.”

Opération de nettoyage

En réalité, Hew Yun Tat et ses employés transportaient des déchets toxiques et radioactifs, ce qu’ils ont découvert un an plus tard lorsque Asian Rare Earth a voulu construire une décharge dans une ville voisine. Là-bas, les habitants s’y sont opposés et quelques militants ont apporté un compteur Geiger à l’usine, ce qui leur a permis de découvrir que le taux de radioactivité était extrêmement élevé, parfois 88 fois plus que les taux autorisés par les normes internationales. En 1985, les habitants ont lancé une action en justice qui a poussé le gouvernement à fermer l’usine jusqu’à ce qu’Asian Rare Earth procède à un nettoyage.

Mais les villageois étaient inquiets. Des femmes qui vivaient près de l’usine avaient fait des fausses couches, d’autres avaient donné naissance à des enfants chétifs, aveugles ou frappés de maladies mentales. Certains souffraient de leucémie. L’administration a fait savoir aux habitants que les déchets faisaient l’objet d’un retraitement adapté. Pourtant, en 2010, un journal local s’est rendu à la décharge d’Asian Rare Earth et a trouvé 80 000 bidons contenant près de 16 millions de litres d’hydroxyde de thorium, un produit radioactif. Cette année-là, Mitsubishi Chemical a lancé la construction d’un espace de stockage souterrain et sécurisé pour entreposer les déchets de son ancienne filiale. En mars 2011, The New York Times a déclaré que ce projet, dont le coût s’élevait à 100 millions de dollars [75 millions d’euros], était “la plus grande opération de nettoyage jamais menée dans l’industrie des terres rares”.

C’est mon iPhone qui m’a conduit en Malaisie. Je savais déjà que son allure élégante cachait une histoire problématique. J’avais lu des articles sur les usines d’Apple en Chine où des adolescentes passent quinze heures par jour à nettoyer des écrans avec des solvants toxiques. Toutefois, j’ignorais la genèse de mon téléphone avant qu’il ne soit assemblé. J’ai découvert que son parcours louche avait commencé bien avant son arrivée dans une usine chinoise. Les éléments qui servent à fabriquer tous nos gadgets high-tech sont issus d’un secteur peu reluisant, qui permet aux pays riches d’extraire les précieuses ressources des Etats pauvres, pour ensuite les laisser se charger du nettoyage.

“Plus jamais ça.”

C’est une rengaine qu’on entend souvent à Bukit Merah, dont les habitants subissent depuis vingt ans les conséquences des décisions prises par Asian Rare Earth. Mais le gouvernement malaisien n’est pas de cet avis. En 2008, il a autorisé une entreprise australienne, Lynas Corporation, à ouvrir une raffinerie de terres rares sur la côte est du pays. L’extraction aura lieu en Australie, mais le raffinage se fera à Kuantan, une petite ville tranquille au bord de la mer. Une fois construite, cette usine sera la plus grande de sa catégorie et subviendra à 20 % de la demande mondiale en terres rares.

Courrier International

Wikistrike

 

Trouvé sur Le nouveau paradigme

 

voilà pour l’info

Etincelle

L’INFLUENCE DE NOS CROYANCES DANS NOS VIES

Gregg-Braden

Gregg Braden

Serait-il possible que nos croyances soient à l’origine des évènements de notre vie ? Aurions-nous la capacité de réorienter le cours de notre existence par le simple fait de modifier nos croyances ? Gregg Braden nous invite à prendre conscience de nos propres limitations et de notre pouvoir dans son livre « La guérison spontanée des croyances ». Extrait.

Ce sont nos croyances qui déterminent le genre de vie que nous menons. Il suffit de réfléchir quelques instants à la vérité que recèle cet énoncé pour reconnaître immédiatement une réalité surprenante : quoi que nous fassions dans notre existence, ce sont les croyances à l’origine de nos actions qui constituent le fondement de tout ce que nous aimons, rêvons, devenons et réalisons.

Que ce soit le rituel matinal par lequel nous amorçons chaque journée, ou bien les inventions que nous utilisons pour améliorer notre qualité de vie, ou même la technologie conçue pour détruire la vie durant les conflits militaires, l’ensemble de nos routines personnelles, des coutumes de notre communauté, de nos cérémonies religieuses et même de notre civilisation est fondé sur les croyances que nous entretenons. Non seulement ces croyances permettent-elles de structurer notre existence, mais les études scientifiques qui rejetaient auparavant la validité de nos expériences spirituelles nous démontrent aujourd’hui que les sentiments que nous éprouvons à l’égard du monde qui nous entoure sont une force déterminante dont l’influence s’exerce précisément sur ce monde.

La science a donc fini par reconnaître la valeur des traditions spirituelles et autochtones selon lesquelles l’univers qui nous entoure est simplement un reflet des croyances auxquelles nous adhérons.

Ayant accès à un tel pouvoir déjà présent en chacun de nous, c’est peu dire que d’affirmer que nos croyances sont importantes dans nos vies. Ce sont elles qui les façonnent ! Toute vie commence et se maintient grâce à elles. Qu’il s’agisse de la réponse immunitaire de l’organisme ou bien des hormones qui en règlent le fonctionnement et en préservent l’équilibre vital, tout autant que l’aptitude de notre corps à régénérer ses os, ses organes et sa peau, et même à concevoir la vie, le rôle croyances humaines occupe une place de plus en plus importante dans les nouvelles frontières explorées aujourd’hui en biologie et en physique quantiques.

Si nos croyances possèdent un tel pouvoir, et si nous fondons notre existence que ce que nous croyons, alors la question suivante s’impose d’elle-même : D’où nos croyances proviennent-elles ? La réponse pourrait vous surprendre.

A quelques exceptions près, elles tirent leur origine de ce que la science, l’histoire, la religion, la culture et notre milieu familial nous enseignent. En d’autres termes, nos capacités et nos limites pourraient bien être essentiellement basées sur ce que les autres nous disent. Cette prise de conscience débouche sur la question suivante que nous devons manifestement nous poser :
Si notre vie est fondée sur ce que nous croyons, alors que se passe-t-il si nos croyances sont erronées ?

Se pourrait-il que notre existence se déroule dans un brouillard de limites artificielles et d’idées fausses que d’autres personnes ont formées au fil des générations, des siècles, ou même des millénaires ?

Ainsi, on nous a enseigné par le passé que nous nous sommes qu’une insignifiante et éphémère étincelle de vie, limitée par les « lois » physiques, chimiques et génétiques. Selon cette vision des choses, notre passage en ce monde n’aura que fort peu d’effet, et une fois que nous aurons disparu, l’univers ne remarquera même pas notre absence.

Bien que cette description puisse sembler un brin extrême, elle est néanmoins très proche de ce que beaucoup d’entre nous ont été conditionnés à considérer comme vrai. C’est justement à cause de telles croyances que nous éprouvons souvent le sentiment d’être petits et impuissants face aux grands défis de l’existence.

Et si nous étions davantage que cela ? Se pourrait-il que nous soyons des êtres vraiment très puissants qui s’ignorent ? Et si nous étions les représentants d’une force potentiellement miraculeuse, venus au monde avec des aptitudes allant bien au-delà de nos rêves les plus fous, des facultés que nous avons tout simplement oubliées en raison des conditions qui nous ont plongés dans un sentiment d’impuissance ?

Dans quelle mesure nos vies changeraient-elles si nous découvrions, par exemple, que nous avions le pouvoir inné d’éliminer la maladie, si nous pouvions choisir que la paix et l’abondance règnent dans le monde, et même décider de la durée de notre vie ? Que ferions-nous si nous prenions conscience que l’univers même est directement influencé par un pouvoir dont nous nous sommes caché à nous-mêmes l’existence depuis si longtemps que nous avons fini par oublier que nous le possédons ?

Des découvertes aussi extraordinaires transformeraient tout. Cela changerait la perception que nous avons de nous-mêmes, de l’univers et du rôle que nous y jouons. C’est précisément ce que les découvertes les plus récentes nous indiquent.

Pendant des siècles, bien des gens ont refusé d’accepter les limites ayant traditionnellement défini le sens que nous donnons à la vie en ce monde. Ils ont refusé de croire que nous apparaissons comme cela en ce monde, grâce à une mystérieuse naissance qui défie toute explication. Ils ont rejeté l’idée qu’une émergence aussi miraculeuse puisse avoir pour unique but de vivre dans la souffrance et la solitude jusqu’à ce que nous quittions ce monde aussi mystérieusement que nous y sommes arrivés.

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Disponible ICI

Pour répondre à leur quête de vérité, ils ont dû s’aventurer par-delà les frontières de leur conditionnement. Ils se sont isolés, de leurs amis, de leur famille et de leur communauté, et ils ont complètement cessés de croire à tout ce qu’on leur avait enseigné à propos du monde. Et lorsqu’ils y sont parvenus, quelque chose de précieux et de très beau s’est produit dans leur vie. Ils ont découvert une nouvelle liberté qui leur a permis d’ouvrir pour les autres les portes de toutes les possibilités. Et tout cela a commencé quand ils ont posé la question qui était tout aussi audacieuse à leur époque qu’elle l’est encore aujourd’hui : Et si nos croyances étaient erronées ?

 

La Guérison Spontanée des Croyances, Gregg Braden
Editions Ariane

Source: http://www.inrees.com/

Touvé dans LaPresseGalactique.org , Titre: L’influence de nos croyances dans nos vies

 

Encore à méditer sur une autre manière de nous voir

Etincelle

PLAIDOYER POUR L’ÂME DE LA MER/ UN DAUPHIN DEMANDE DE L’AIDE A UN PLONGEUR

 

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© Underwater Project

L’océan est un mot magique qui fait rêver, or il s’agit d’un monde que nous connaissons encore très peu. Les dauphins et les requins ont beaucoup à nous apprendre si on ose les approcher et les observer. Rencontre avec Frédérique Pichard et Pierre Frolla, deux aventuriers de la mer.
 
Alors que les océans représentent quasiment les trois quarts du globe terrestre, et que nous avons tendance à exploiter ses ressources, que savons-nous réellement des espèces qui les peuplent ? Ces animaux marins auraient-ils des enseignements à nous transmettre ?

Les dauphins et l’ouverture du cœur

« Ce dauphin a plongé son regard dans le mien et cela a été incroyable. Quand je suis sortie de l’eau, j’ai pleuré pendant plusieurs minutes. Cet œil, cette profondeur de regard m’a emmenée dans mes propres profondeurs, comme si une mémoire était ravivée dans quelque chose d’infini et de très fort » raconte Frédérique Pichard, fondatrice de l’Institut Dony, près de trente ans après cette rencontre qui a bouleversé sa vie. A cette époque, elle est accompagnatrice de groupes de voyages et commence à observer le comportement des dauphins vis-à-vis des touristes. Elle s’aperçoit alors qu’ils se conduisent différemment avec chaque individu, comme si « ils étaient miroirs de qui nous sommes dans l’instant présent ».

Plusieurs années passent, et alors qu’elle s’apprête à s’installer en République Dominicaine, elle entend parler d’un dauphin libre et sauvage, aperçu au large des côtes de Royan. Guidée par son intuition, elle décide d’aller à sa rencontre avec sa fille, alors âgée de six ans. Après s’être mises à l’eau tout doucement, c’est finalement Dony qui est venu à leur rencontre : « C’était comme si j’avais retrouvé un de mes amis que je n’avais pas vu depuis longtemps » explique-t-elle. Aux côtés de ce dauphin ambassadeur – un dauphin qui se détache ponctuellement de son groupe pour venir au contact des humains – elle vit « un voyage de la conscience » lui donnant l’impression d’être ramenée au monde originel dans un état de plénitude et de sérénité. A l’époque, Frédérique Pichard se forme à la relaxation spécialisée en visualisation créatrice. Une technique consistant à imaginer et à ressentir un état d’être de façon à augmenter les chances qu’il s’accomplisse. Dans ce cadre, elle entraîne son cerveau à émettre des ondes alpha permettant d’être dans un état proche de celui dans lequel nous nous trouvons lorsque nous méditons. Un état de relaxation naturel chez les dauphins qui nous aiderait, à leur contact, à nous reconnecter à notre véritable essence, d’après Frédérique Pichard. Elle le sent, elle a trouvé son « maître » et confie « j’ai tout de suite senti que Dony était venu m’apprendre quelque chose ». Ainsi, régulièrement, le soir après son travail, elle part à la rencontre de Dony pour partager des moments avec lui. Pour le retrouver, elle lui donne tout simplement rendez-vous … par télépathie : « Pendant deux ans, je donnais mes rendez-vous à Dony, à telle heure, tel endroit, et à chaque fois, il était là ». Et même si cette mère de famille a pu observer cette façon de communiquer chez ses jumeaux, la télépathie reste pour elle extraordinaire. Elle aime d’ailleurs plaisanter : « Avec les dauphins, nul besoin de portable ni d’internet ! ».

De ces différentes rencontres, Frédérique Pichard en a retiré des enseignements. Au plus profond de ses cellules, elle a ressenti des messages qu’elle a traduits et notés à sa sortie de l’eau. D’après elle, les dauphins permettent aux humains de reprendre contact avec « cette conscience de la nature et du vivant » souvent oubliée. Chaque dauphin aurait un message particulier pour chacun. Selon elle, les personnes qui ont la chance de nager avec des dauphins sont souvent profondément bouleversées par cette rencontre : « Elles sont touchées au cœur. Elles retrouvent cette dimension d’amour, d’ouverture qui leur permet d’aller plus loin dans la compréhension de l’univers ». Et si elle insiste sur le fait que « ce n’est pas le dauphin qui va tout guérir », elle ajoute que « l’un des messages fondamentaux des dauphins est de prendre conscience du potentiel infini et extraordinaire que l’on a à l’intérieur de soi ».

Les requins : de la peur à la passion

Alors que la plupart d’entre nous sommes effrayés par les requins et paralysés à l’idée de pouvoir se retrouver un jour nez à nez avec l’un d’entre eux, certaines personnes décident d’affronter leur peur.
Quadruple recordman du monde d’apnée, Pierre Frolla, traumatisé par le film Les Dents de la Mer, a longtemps vécu un « paradoxe ». Alors qu’il devait plonger tous les jours pour s’entraîner, sa peur des requins l’empêchait de progresser. Il a alors décidé d’aller à leur rencontre. Très vite, à leur contact, il se rend compte que « les requins se comportent comme d’autres poissons que l’on a l’habitude de rencontrer. Curieux, ils viennent près de nous pour nous sentir ». Ses craintes laissent place à la curiosité et à l’admiration : « lorsqu’il est proche de nous, nous réalisons à quel point cet animal, qui est au sommet de la chaîne alimentaire, est puissant et plein d’énergie. C’est le patron de la mer, mais lui ne le sait pas et c’est ce qui est intéressant. Nous sentons plutôt un animal craintif et peureux » témoigne Pierre Frolla, fasciné par l’aspect majestueux de l’animal. Pour cet amoureux de la nature, les requins sont « ses meilleurs compagnons de plongée ». Ils sont d’une fidélité incroyable, explique-t-il : « dès lors que nous nageons au milieu des requins, ils ne vont cesser de nous accompagner du début à la fin de notre plongée. Avec d’autres plongeurs, il nous est arrivé de dériver sur plus de 14 kilomètres et d’avoir toujours les mêmes requins qui tournaient autour de nous et restaient avec nous ».

Curiosité, sentiment de sécurité, ou tout simplement l’espoir d’obtenir de la nourriture pêchée, pour Pierre Frolla, il existe bel et bien plusieurs hypothèses expliquant ce comportement. Dans tous les cas, il est impossible de nier cette fidélité. Il a même pu vivre des moments exceptionnels avec eux : « il y a eu des rencontres fortuites avec des grands requins blancs ou des requins tigres où j’ai eu la chance de pouvoir les attraper par la nageoire dorsale et « danser » avec eux ». Conscient de ces rencontres extraordinaires, Pierre Frolla aime rappeler que « le requin est un animal qui se mérite » parce qu’il faut « avoir le courage de se présenter à lui et faire preuve d’humilité pour que cet animal puisse venir au plus près de soi et pouvoir ainsi évoluer en paix et en harmonie avec lui ». De ces différentes plongées avec les requins, il en a retiré plusieurs leçons qu’il applique dans sa vie personnelle et transmet à ses élèves au sein de l’Ecole Bleue. Cette académie de la mer a entre autres pour objectif de sensibiliser les personnes à la beauté mais aussi à la fragilité du monde marin et de ses occupants, et d’affronter ses peurs : « aller à la rencontre des requins m’a permis de me rendre compte que tant que nous ne connaissons pas les choses, nous ne pouvons pas les juger. Nous avons principalement peur de l’inconnu. Mais dès lors que nous connaissons et maîtrisons les choses, elles ne nous font plus du tout peur ».

Découvrez l’Institut Dony, qui étudie et protège les dauphins ambassadeurs
Et l’Ecole Bleue (Académie de la Mer)

 

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Dauphins ambassadeurs, Messagers de la mer, Frédérique Pichard, Claude Thomas
Democratic Books (Novembre 2010 ; 156 pages)

 

 

 

 

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Pirate des abysses, Pierre Frolla
Editions du Rocher (Décembre 2011 ; 136 pages)

 

Trouvé sur inrees.com

 

 

SUR LE MÊME SUJET :  UN DAUPHIN DEMANDE DE L’AIDE A UN PLONGEUR

 

Un groupe de plongeurs occupés à observer des mantas géantes au large d’Hawaï a assisté à une scène rare: un dauphin gêné par une ligne de pêche qui demande à un plongeur de le libérer.

Keller Laros, le plongeur qui menait le groupe, le 11 janvier au large des côtes de Hawaï, a raconté à la télévision locale KITV: «La manière dont il s’est approché de moi et les cris qu’il émettait ne laissent aucun doute sur le fait qu’il voulait que je l’aide. Il m’a fallu plusieurs minutes pour retirer le fil de l’aileron parce qu’il était très serré. Il y avait des plaies des deux côtés et j’ai fait attention à ne pas le faire souffrir trop…»

Le plongeur explique que le dauphin s’est laissé faire le plus calmement possible: «J’ai vu souvent des dauphins s’approcher de moi et ce sont des animaux remarquablement intelligents.» Le spécialiste des raies et professeur de plongée a pu retirer la ligne la plus serrée. Mais au moment où les autres plongeurs se sont approchés pour aider à retirer les autres filins, l’animal est parti…

 

 

Trouvé sur Le Matin.ch

 

Et voilà il existe bien des choses extraordinaires à découvrir dans notre monde

Etincelle